La plus heureuse des femmes
14 avril 2020Lola,30 ans.
J’ai longtemps hésité avant de vous raconter mon histoire, mais le déclic s’est fait. Je suis mariée depuis trois ans, et mon mari et moi sommes libertins. Disons que nous avons toujours été ailleurs chacun de notre côté, mais jamais ensemble avec d’autres… Jusqu’à ce soir-là. Nous étions tous les deux en mode “télé”, tranquillement, et attendions Pierrot, un ami qui devait passer. Il est arrivé vers 21 heures. Nous avons discuté autour d’un café, assis sur le canapé, et un sujet en entraînant un autre, nous avons dévié sur le sexe. Nous avons bien rigolé, j’avoue, et des idées coquines me sont venues en tête. Cela devait se lire sur mon visage, car mon mari a fait un clin d’œil à notre ami. De là, tout s’est déclenché…
Pierrot m’a embrassée, a posé sa main sur ma poitrine, et je suis devenue bouillonnante à l’intérieur. Ses doigts qui jouaient comme ça avec mes tétons, ça m’excitait de plus en plus. Les caresses et les baisers se sont enchaînés. Il est vite descendu voir ce qu’il pouvait trouver plus bas. D’abord de ses doigts, puis il s’est agenouillé et a enlevé mon pantalon. Désormais, c’était sa langue qui me dévorait la chatte, je mouillais comme une dingue, ce mec me rendais folle, quel coup de langue ! Depuis le début, mon mari observait sans rien dire. Là, il nous a rejoints, a éteint la lumière en passant (nous n’étions désormais éclairés que d’une bougie), s’est mis à mes côtés, et je l’ai sucé tout en me faisant bouffer… Quel pied !
Les deux hommes ont changé de place, et j’ai enfin pu goûter mon ami. Sa bite était tendue et gonflée, je n’en revenais pas de ce diamètre. Je pompais comme je le pouvais, excitée et intimidée à la fois. L’ambiance était torride. Puis, il m’a pénétrée, à genoux devant moi, a fait des va-et-vient de plus en plus rapides, il me défonçait la chatte et j’adorais ça, avec en plus la bite de mon homme en pleine bouche. J’aurais voulu que cet instant ne s’arrête jamais, l’excitation était tellement grande, tellement intense ! Nos corps emboîtés suivant le même rythme, je voyais le reflet de ses fesses dans la télé… Il a joui, j’ai senti les contractions de son sexe et ses gémissements de plaisir. Au même instant, mon mari a fait gicler sa semence sur mes seins. La plus heureuse des femmes à ce moment-là, c’était moi, c’est certain.
Nous nous sommes rhabillés, et Pierrot est parti. Je ne suis pas arrivée à l’orgasme cette fois-ci, mais depuis, je me suis bien rattrapée. Nous nous voyons régulièrement, à deux ou trois, et je ne changerais d’amant ni de mari pour rien au monde.
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« Tu m’as demandé d’offrir à notre ami ce qu’il n’avait jamais vu : une jouissance féminine poussée jusqu’à l’éjaculation ! Tu m’as bien branlée, fort, avec trois doigts. Quand il a vu ma jouissance, il m’a demandé de venir le sucer tellement il était excité. Ce dernier plaisir l’a fait jouir dans ma bouche. » Estelle.
« Elle a saisi ma queue et pressé mes couilles. Puis, me demandant de me retourner et de me pencher, elle a écarté mes fesses pour palper mon anus et me pénétrer du bout des doigts. Je me suis retrouvé à genoux entre ses cuisses. » Frédéric.
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Il s’en passe de belles dans les clubs hippiques ! Et ce n’est pas ces belles cavalières qui vont vous dire le contraire, elles qui ont l’habitude de monter leur fidèle destrier ont décidé de changer de monture et de se faire chevaucher par de tout autre étalon.