Quatre mâles pour moi

La rédaction 20 août 2019

Polo02, 46 ans.

Bonjour, je m’appelle Polo, j’ai 46 ans et je vous ai déjà raconté un épisode de ma vie dans un numéro précédent, que vous avez intitulé : « Le Mousquetaire qui distribue. » Je vous écris à la suite de l’histoire de Luc, 46 ans, publiée dans le numéro 326. Mon histoire s’est passée entre fin 2000 et courant 2006. Je travaillais dans une société à 50 kilomètres de chez moi et dans mon couple, c’était un peu plat. Ma femme était plus mère que femme et elle m’interdisait beaucoup de choses au niveau sexuel. Je pouvais à peine la toucher. Elle ne me faisait plus de fellation, et je n’avais pas le droit de la toucher devant les enfants, même une main aux fesses, c’était interdit ; la prison quoi !

J’ai peu à peu sympathisé avec une collègue. On s’est confié l’un à l’autre jusqu’à évoquer la question des rapports sexuels avec nos conjoints respectifs, et c’était galère des deux côtés… Un jour, on a parlé des fantasmes qu’on aimerait réaliser et on s’est dit : « Pourquoi pas le faire ensemble… »

Le lendemain, je me suis présenté chez elle. Nous avons fait l’amour comme des bêtes affamées. Puis, par la suite, on a commencé à réaliser les fantasmes de l’un et de l’autre. Elle voulait baiser avec deux hommes rien que pour elle, des sandwichs, des doubles vaginales et essayer la double anale. De toute façon, c’était une vraie cochonne… Elle le disait elle-même !

Cela tombait bien, c’était exactement ce que je recherchais dans ma vie sexuelle à ce moment-là. De mon côté, ça me trottait depuis longtemps d’essayer avec un homme, mais j’avais toujours reculé à la dernière minute. Un jour, en arrivant chez elle, j’ai vu qu’elle m’attendait derrière la porte d’entrée avec un foulard à la main. J’ai dû me mettre nu, et elle m’a bandé les yeux avant de me conduire à la chambre… Je vous précise que c’était le jour d’un de mes anniversaires. J’ai senti deux, quatre, six, puis huit mains qui se promenaient sur mon corps dénudé… Je commençais à me demander qui était là.

On me palpait l’entrejambe. Mon amie m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit, et j’ai été très surpris de me retrouver avec une bite devant la bouche pendant qu’une langue me léchait l’anus et que les autres me caressaient le corps ! Elle s’est approchée de mon visage et m’a murmuré à l’oreille : « Tais- toi et laisse-toi aller… » Je ne comprenais pas bien…

C’est à ce moment-là que j’ai senti un sexe me perforer le rectum avec délicatesse et millimètre par millimètre. J’ai eu l’impression que ce gourdin m’ouvrait comme un morceau de pain pour faire un sandwich. Quand le gars a été à fond de cale, elle m’a retiré le bandeau. Quelle surprise ! Il y avait là quatre beaux jeunes mâles de différentes tailles et grosseurs de bite, rien que pour moi. Celui qui était planté dans mon fondement n’était autre qu’un ami black avec qui j’avais déjà pris ma maîtresse en sandwich et en double afin de réaliser ses fantasmes. Je ne lui connaissais pas ce penchant bi ! C’est juste pour vous dire qu’avec un peu de confiance et de bonnes relations sincères, tout se passera très bien !

(Photo à la une : Getty Images)

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