C’est l’Amérique !

La rédaction 13 juin 2021

Chloé, 31 ans fait une rencontre inoubliable à New York au cours d’une balade près de central Park. Elle nous raconte sa nuit avec ce mystérieux new yorkais.

Au début du printemps de 2017, j’étais à New York pour faire du tourisme et découvrir cette ville mythique. J’étais dans un état d’esprit très ouvert et disponible. Le nez au vent, j’arpentais les rues de jour comme de nuit. Je me sentais toute mignonne dans mes jupes longues, mes talons hauts et mes t-shirts blancs, mes longs cheveux détachés qui prenaient l’air de la liberté.

Un soir, je suis rentrée d’une soirée où j’avais été invitée, perchée sur ces mêmes talons. Une brise tiède soulevait par moment ma jupe verte fluide. J’étais une jolie passante parmi d’autres sur le bitume et je rejoignais mon logement dans le Upper East Side à pied. Je marchais lentement, prête à faire une rencontre, à savourer ce moment en me prenant pour une héroïne de film. Je vous raconte mon histoire porno. 

C’est alors que j’ai senti une présence derrière moi. À quelques mètres, en retrait, un homme déambulait, tel un rêveur solitaire, sur le trottoir. Un bien joli promeneur : il avait le visage blafard sous des cheveux de jais, mais un regard perçant et un visage d’une grande beauté. Il est arrivé à ma hauteur et il m’a souri. Nous étions côte à côte, à marcher dans la même direction. Il m’a demandé une cigarette, car j’étais en train de fumer, ce qui me distinguait des Américaines. Je lui ai allumé la sienne avec mon briquet et il a engagé la conversation, comme un vrai Américain. Il était drôle et séduisant. Je n’avais pas envie de le quitter. Nous nous sommes arrêtés acheter une bouteille de bière. Il m’a proposé de prolonger ce moment dans Central Park qui était sur notre gauche.

Nous nous y sommes engouffrés en buvant notre bière discrètement à même le sac en papier du magasin. Il m’a rapidement embrassée et son baiser à la bière m’a apporté une vague de fraîcheur et un élan au creux du ventre qui m’a fait planer. Nos bouches ne voulaient plus se délier.

C’était le piquant et la spontanéité des moments qui ne peuvent se produire qu’une fois. Je lui ai donné ma bouche et mes seins, qu’il semblait adorer de ses mains. Je n’avais pas envie de le ramener chez moi et visiblement, lui non plus, nous voulions saisir le moment présent. Sa main a disparu entre mes cuisses. C’était bon, mais on risquait gros, dans ce pays de tarés. Un procès pour exhibitionnisme pouvait nous emmener loin. Alors, nous nous sommes mis en quête du premier hôtel décent et avons partagé le prix de la chambre, comme ça, à 3 heures du matin.

Dans la chambre, nous nous sommes jetés sur les draps blancs dans une étreinte passionnée. Une fois nue, il m’a dit qu’il adorait mon sexe et il m’a demandé s’il pouvait le prendre en photo. J’ai ri tout en acceptant. Après tout, il ne connaissait même pas mon nom. Je lui ai montré ma chatte et mon cul sous toutes les coutures. Pendant qu’il prenait les photos, je me masturbais et il restait admiratif devant mes mains qui bougeaient sur ma chatte, il me trouvait tellement libre et désirable. Ni tenant plus, il a fini par abandonner son appareil pour se jeter à corps perdu sur moi.

Il a approché son sexe bien dardé de ma chatte qui en avait l’eau à la bouche et que j’avais déjà bien stimulée, après ses premières caresses dans le parc. J’ai accueilli sa bite dans mon sexe avide de le découvrir. Il m’a prise avec tendresse et force, son corps fin et son beau visage au-dessus du mien. C’était arrivé comme ça et tout semblait à sa place, sa bouche contre la mienne et sa bite en moi, à me faire du bien et à me polir l’abricot avec ténacité. J’adorais le sentir en moi, je l’avais tellement désiré, et j’avais tellement désiré vivre une nuit aussi trépidante. J’ai roulé sur lui et je l’ai talonné, je me suis encastrée sur sa queue, j’ai pompé toute la sève de son désir et de sa raideur et l’ai aspirée dans mon sexe. Puis il m’a prise à quatre pattes sur le lit, et il a pris des photos de son sexe entrant en moi.

Et il m’a limée, épuisée, explorée tout entière, nous renvoyant tous les deux à la déraison de notre attraction. Et il m’a baisée et je l’ai baisée en remuant des hanches et mon sexe ne faisait plus qu’un avec le sien. Il a éjaculé sur mon cul juste après que j’ai joui moi-même, tant ses percées entêtantes m’avaient excitée. J’avais joui dans cet hôtel de Manhattan, de sa queue en moi, de cette douce surprise, de mon audace et de mon corps affranchi de toute convenance.

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