Retour de flamme 

La rédaction 9 avril 2021

Julia, 32 ans s’est séparé de son mec après le premier confinement, ils n’avaient plus de désir. Cette rupture va avoir un effet inattendu!

Avec mon ex, on s’est séparés à l’issue du premier confinement. En cause, notre absence de désir l’un pour l’autre alors que le sexe est hyper important pour nous deux. Nous étions frustrés et, vers la fin, c’était même devenu assez tendu entre nous. J’ai pris un nouvel appart à la sortie de cette épreuve et nous avons essayé de gérer ça en adultes. Mais cette prise de distance a eu un effet que nous n’avions pas vu venir…Voici mon histoire de sexe.

Une après-midi, il est passé dans mon nouveau chez-moi pour me ramener un carton de livres que je n’avais pas pu emmener avec moi pendant mon déménagement. Quand nos regards se sont croisés, il y avait encore beaucoup de rancune, mais aussi comme une lueur de quelque chose que je n’arrivais pas encore à bien distinguer. L’air entre nous était électrique. Je lui ai fait visiter. Il s’était fait beau, peut-être pour me faire regretter, et j’en avais fait tout autant. J’étais apprêtée, avec une petite robe et des bas noirs, mes cheveux blonds bien peignés mettaient mes yeux bleu piscine en valeur. Je voyais que mon ex n’y était pas insensible.

Je lui ai montré ma nouvelle salle de bain et, sur un carton qui traînait là, il a vu un gode que j’avais malencontreusement oublié là. Il était assez moche, veiné et “réaliste”, pas très ragoûtant. “C’est avec ce truc que tu me remplaces ?” s’est-il moqué. “Ouais, au moins il est de belle taille et ne débande jamais”, ai-je répondu du tac au tac. Il m’a foudroyée du regard et je ne sais pas pourquoi, ça m’a un peu excitée. J’ai soudain ressenti une bouffée de désir, à le voir comme ça, dans mon salon, détaché de toute contrainte domestique. “Tu veux que je te montre ?” Comme ça fait des années que nous nous connaissons, je n’ai eu aucune gêne à enlever directement ma robe.

Il a découvert mes jolis dessous noirs assortis, mes bas, mes petits seins libres de célibataire dans leurs balconnets de satin. Il avait envie de moi, ça se voyait, et le désir refaisait une apparition inattendue entre nous. Je voulais aller le titiller là où nous n’allions plus depuis des mois, justement. “Tu me comprendras peut-être mieux après ça.” Tout en le défiant du regard, je me suis mise à humidifier l’engin avec ma langue. Quelle salope je faisais ! Le gland en plastique a glissé contre mes dents. J’y ai promené ma langue. J’ai sensuellement glissé à quatre pattes sur le carrelage de la salle de bain, sur le tapis. Entre mes cuisses, j’ai manipulé la fausse bite pour me goder avec. Je l’ai enfoncée progressivement et l’ai fait me pénétrer en la tenant par en-dessous. “Tu vois, oh oui là, c’est fort. Cette grosse taille bien gonflée me fait tripper”, ai-je commenté en me faisant du bien avec mon gros jouet pas très élégant. Piqué au vif, mon ex a sorti son téléphone pour me prendre en photo. “Je veux garder une trace de ce moment. Je ne sais pas qui est le plus humilié de nous deux.” J’aimais la défiance entre nous, j’avais une envie de sexe plein de colère et de ressentiment, j’avais envie qu’il m’attrape et qu’il me corrige pour mon insolence. Je me suis retournée sur le tapis de bain pour me goder assise face à lui, jambes grand écartées, mon petit string décalé sur le côté pour laisser passer le gros chibre de plastique.

N’y tenant plus, mon ex s’est agenouillé sur le tapis de bain pour me voir de plus près, il voyait mon plaisir et il haletait lui aussi en même temps que moi. Je lui ai ordonné de se déshabiller. Etendu sur le sol de ma salle de bain, j’ai découvert avec joie sa bite enflée et raidie comme rarement. “Ah bah voilà ! Là, on se comprend !” Au-dessus de lui, le gode toujours fiché dans ma chatte que je remuais pour continuer à m’exciter, je me suis mise à le sucer avec une étonnante joie. Toute la pression du couple était envolée : je pouvais vraiment me lâcher ! Je voulais le faire me désirer jusqu’à la folie et que sa bite enfle jusqu’à exploser. Il me prenait toujours en photo sans pouvoir retenir des râles de plaisir qui venait du fond de ses tripes. Il nous avait fallu déménager pour avoir furieusement envie l’un de l’autre ! Mon ex m’a soulevé de terre pour m’emmener sur mon lit tout neuf. Il m’y a jetée.

Couchée sur le dos, il s’est approché au-dessus de moi pour me baiser la bouche. Sa bite sortait d’au milieu des poils de son pubis, bien droite, pour faire l’amour à mon visage. Il ne se serait jamais permis pareille position avant ! Il aurait pensé que c’était avilissant. J’adorais ça au contraire et recevais sa bite comme une bénédiction. Puis c’est moi qui l’ai allongé sur le lit et je me suis agenouillée entre ses cuisses, dos à lui, cul contre sa bite. Je l’ai attrapé par les cuisses et j’ai reculé mon cul pour qu’il me prenne. Ayant les jambes et les bras libres, je pouvais aisément jouer sur sa queue, monter et descendre au rythme que je voulais, me faire fourrer jusqu’à l’os ou au contraire juste effleurer mon clito de son gland. J’étais maîtresse du jeu. Pendant que je jouais des hanches sur lui en le prenant profondément en moi, j’ai repris le gode pour le frotter contre mon clito. Mon orgasme a été décoiffant ! Et l’accélération de mes mouvements sur lui au moment de jouir ont precipité son propre plaisir et il a éjaculé tout ce qu’il avait en réserve !

Après ça, j’étais à deux doigts de rentrer à la maison. Mais je me suis ravisée et depuis, nous vivons cette sorte de liaison entre ex, qui nous excite beaucoup. Comme quoi, il y a toujours de l’espoir.

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