Hugo le timide et le cul de Dominique

La rédaction 10 septembre 2023

Hugo, 38 ans est un garçon plutôt timide. Lorsqu’il rencontre Dominique il se transforme en un véritable briseur de cul…

Moi c’est Hugo, 38 ans et ça c’est mon histoire de sexe : « Cent fois, sur le métier, remettez votre ouvrage … ». Cette phrase du grand poète aux inventaires célèbres n’a jamais été si juste ! Pour moi, conquérir une femme s’apparente plus souvent à Waterloo qu’à Austerlitz !

Trop timide, maladroit, aussi habile dans mon rôle de commissaire aux comptes que gauche dès que je dois m’adresser au beau sexe. Tout est arrivé par Fred, un de mes clients et amis qui a coopté mon cabinet auprès d’un de ses fournisseurs.

Je me souviens encore de ce premier rendez-vous, on m’a fait patienter dans un hall d’accueil à la végétation exubérante, offert un café brûlant et la porte affichant “Direction” s’est ouverte. Quel choc quand j’ai réalisé qui en sortait ! Le piège des prénoms épicènes, LE fameux Dominique que je devais rencontrer n’était autre qu’une Dominique !

Est-ce ma façon de manier les chiffres avec aisance et naturel ou mes bourdes perpétuelles ? Toujours est-il que la divine Dominique et moi avons accroché en quelques heures. Passionnée de Provence et de toute la culture méditerranéenne comme moi, nous n’avons pas vu le temps passer et avons décidé d’un commun accord de prolonger la journée de travail par un restaurant aux spécialités qui vous parlent « avé l’accent ».

(In)accessible…

La suite a coulé de source, elle m’a invité à prendre un dernier verre chez elle, c’était désuet, inattendu, excitant ! Le prétexte… n’en était qu’un. À peine étions-nous entrés chez elle que Dominique me roulait une pelle d’anthologie, de celles qu’on ne voit qu’au cinéma.

J’avais un peu trop bu, j’ai osé l’impensable pour moi, je lui ai caressé le bas des reins, puis, devant ses plaintes de désir, ses fesses, ses hanches, ses seins. Nos langues ne se quittaient plus, nos vêtements, quant à eux, se sont échappés de nous, nous laissant nus, fourbus de volupté, en quête d’un absolu extatique, d’une catharsis sexuelle et sensuelle.

Tout s’est enchaîné très vite, Dominique avait gardé ses bottes hautes et seul son string noir faisait encore rempart entre moi et le temple de sa féminité. Allongés tous deux sur son lit, j’ai embrassé son corps magnifique, souligné par sa longue chevelure brune, et j’ai cartographié les grains de beauté qui parsemaient sa peau de stuc.

L’une de ses mains est partie à la découverte de formes quelconques, elle en concevait une excitation qui me surprenait et me ravissait en même temps. Jusqu’à ce qu’elle s’empare de mon vit. Je bandais, bien sûr, mais elle a affiché un sourire mutin en commençant à me masturber au rythme des baisers que mes lèvres dispersaient aux quatre coins de son épiderme.

Inaccessible quelques heures auparavant, cette superbe créature s’offrait à moi sans la moindre pudeur désormais. Serpentant sur les draps, elle s’est doucement reculée pour se caler contre les oreillers, la lumière crue que diffusaient les lampes de chevet de part et d’autre du lit me révélait tout d’elle, sans fard, avec une sincérité bouleversante.

J’ai recensé encore quelques grains de beauté plus intimes, les décomptant du bout des doigts pour finir à l’orée de son autel sacré. Magnétique et irrésistible, j’ai baisé son triangle d’or, les effluves de son delta d’amour, plus bas, sont venus chatouiller mes narines, guidant mes lèvres jusqu’à sa source chaude.

Le slow sex

La faille rose surmontée d’un fin bocage noir comme la cascade de ses cheveux était d’une beauté pure, à couper le souffle. Je n’ai jamais été un grand technicien de la féminité, plus intimidé qu’autre chose devant ce sexe qui se gonflait et s’empourprait au fur et à mesure de mes caresses, j’ai laissé parler mon instinct. Ma langue a ouvert la voie, séparant les nymphes et les libérant d’une ambroisie épaisse, dessinant des arabesques compliquées, des pleins et des déliés qui eurent pour effet de faire éclore sa corolle et son étamine.

Elle m’a alors tendu son téléphone et m’a dit « Viens ! Prends-moi et prends-nous. » Si tôt émis, son vœu a été aussitôt exaucé. J’ai aligné ma queue sur sa longue ligne de poils sombres, joué quelques instants avec mon gland dans les circonvolutions de sa chatte affamée et je me suis glissé en elle.

Dominique aime le slow sex, la douceur et la simplicité dans l’acte de chair et cela me convient à merveille. Simple, mais coquine et caressante, elle a passé ses mains sur mon torse, dans mes cheveux, a palpé mes couilles du bout des doigts, m’embrassant sans cesse, sa langue fine et agile s’enroulant autour de la mienne.

Ses seins n’étaient pas en reste, entre légers mordillements et aspirations délicates, Dominique se les effleurait ou les rapprochait pour les faire saillir vers moi. Une beauté que cette femme, sensuelle et généreuse dans l’acte.

Elle a senti que j’allais déposer le bilan, fermant les yeux et se titillant le clitoris, elle s’est amenée aux portes de la volupté absolue avec ma queue encore en elle et lorsque j’ai voulu me retirer elle m’a invité à éjaculer au plus profond d’elle, ses premiers gémissements orgasmiques emplissant la pièce et mon esprit.

J’adore cette photo où l’on voit ma semence s’écouler d’elle. On a souvent critiqué mes choix d’orientation quand j’étais plus jeune, mais in fine, la comptabilité mène à tout, même à l’amour.

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