Le réveil des sens

La rédaction 3 juin 2021

Alors que les premiers rayons de soleil printaniers commencent à poindre, Ludivine a choisi d’emmener son correspondant Allemand, Klaus, sur les sentiers perdus de sa douce Provence. La jolie coquine va, en pleine nature, faire découvrir au garçon d’outre-Rhin tous les charmes de notre beau pays !

Les rayons du soleil baignaient les environs de Marseille. Le printemps commençait à poindre le bout de son nez et mes sens étaient en éveil. Je sortais peu à peu de la torpeur de l’hiver et, comme chaque année, mes appétits érotiques étaient comme neufs et renouvelés à cette saison.

J’étais en fac de langues et un échange avec une autre fac de Berlin avait été programmé au sein de ma classe d’allemand. Nous allions recevoir des correspondants, puis nous rendre chez eux, comme dans les voyages scolaires du collège ! Je me souvenais que ces voyages étaient des moments de liberté, mais de liberté contrainte sous la surveillance des profs.

Cette fois, devenus adultes, nous serions bien plus libres de faire ce qu’on veut, loin des parents et des enseignants. J’avais hâte de rencontrer ma correspondante et de faire la fête avec elle. Mais quand le bus qui transportait nos nouveaux amis allemands est arrivé, c’est un garçon qui s’est présenté à moi en me tendant la main après avoir tourné en rond dans le groupe des Français !

En fait, on nous avait mis ensemble sans nous prévenir, alors nous étions tous les deux étonnés de nous être vu assigner une personne de l’autre genre. Je ne m’y attendais pas, mais j’étais ravie, tant mon correspondant paraissait sympathique. Entendons-nous bien : sympathique, dans ma bouche, ici, veut dire séduisant, à se pâmer !

Il s’appelait Klaus. Petit, brun, chou à croquer, les bras dessinés, les épaules musclées, bronzé, un corps sec qui dégageait une force tranquille. De mon côté, je voyais qu’il me regardait avec curiosité et enthousiasme : mes cheveux aux reflets roux, mes taches de rousseur, mes dents du bonheur qui font mon charme, mon mini-short et ma peau claire.

On est rentrés, il est venu camper sur le canapé de mon studio, et c’était un peu bizarre au début d’avoir cette présence masculine chez moi, mais nous avons été très vite à l’aise, et proches, à rigoler ensemble et à corriger nos fautes d’allemand et de français respectives.

Nous étions inséparables.

Il me plaisait de plus en plus, mais comme il avait cette allure un peu lisse à l’Allemande, ne laissant rien paraître de son intérêt pour moi, je ne savais pas s’il fallait que je me lance. On m’avait dit que les Allemands ne faisaient jamais le premier pas et qu’ils laissaient aux femmes le soin de les entreprendre.

Un jour, j’ai décidé d’organiser une rando sur les jolis sentiers de Provence. Nous avons pris ma voiture en vue de cette excursion d’une journée.

Sur place, nous sommes partis tous les deux sur les chemins gorgés de soleil, silencieux. J’avais envie de lui prendre la main. Il était tellement beau, dans son petit marcel noir et dans ce décor magnifique ! Mon désir et ma peur poissaient mes paumes. Je les ai essuyées sur mon short en jean et je me suis lancée : j’ai saisi ses doigts entre les miens.

Il s’est arrêté net en me regardant, légèrement tourné vers moi. J’ai posé une main sur son cou brûlant et me suis approchée de lui pour l’embrasser du bout des lèvres. Il m’a rendu mon baiser, ses lèvres ont épousé les miennes dans une caresse si sensuelle que le coup de chaud s’est propagé dans tout mon corps. J’allais fondre comme neige au soleil ! Klaus a posé une main timide sur mes fesses.

La chaleur de son propre corps s’est diffusée à travers sa peau et à travers le tissu de mon short.

J’étais ­vraiment comme une fleur au printemps, les pétales sur le point de s’ouvrir, prête à me faire cueillir et effeuiller par un beau randonneur qui s’extasierait sur la beauté de mes formes.

Le baiser s’est fait plus pressant, alors nous sommes allés nous installer sous un pin parasol où nous avons sorti une couverture pour nous allonger dessus. Le souffle court, je me suis glissée près de lui en essayant d’éveiller ses sens et de lui communiquer mon érotisme. Je me trémoussais, de sorte que mon mini-short me rentrait presque dans les fesses. Klaus s’est montré un peu plus entreprenant en soulevant mon débardeur blanc sur mes tout petits seins ronds qui ne nécessitent pas de soutien-gorge.

Il les a manipulés délicatement, embrassant leurs pointes, tournant avec précaution les tétons entre ses doigts avant de les lécher, massant leur rondeur… Un vrai esthète, que mon camarade d’outre-Rhin ! J’adorais qu’on prenne ainsi soin de mes seins et il n’y avait pas pour moi meilleure excitant.

Ses mains s’égaraient entre les plis de mon jean, cherchant ma chatte, qui était là, toute proche, et qui battait comme un cœur amoureux dans ma culotte. Ses doigts me frottaient à travers le short tandis que mes tétons recevaient ses caresses qui stimulaient directement toutes leurs terminaisons nerveuses.

J’étais un sac de sensations, une boule de débauche en puissance.

J’ai enlevé entièrement mon débardeur et lui son marcel, et nos deux bustes étaient nus au milieu des pins. J’avais tellement envie de lui que j’ai encore pris les devants en l’aidant à déboutonner son jean. Je me suis penchée sur sa jolie queue adorable, grosse juste ce qu’il faut, avec un joli gland bien ourlé que j’ai léché tendrement. J’ai pris son épaisseur dans ma bouche et je lui ai fait du bien en le suçant avec élan, et il devait se dire que les petites Françaises étaient bien aventureuses !

Peu à peu j’arrivais à le rendre moins en contrôle et plus audacieux, lui aussi. Il m’a fait basculer sur le dos pour retirer mon short et ma culotte. J’adorais me sentir désirée par lui, être venue à bout de sa retenue et voir le désir le ronger à son tour. Ma culotte a glissé le long de mes jambes, que je tenais en l’air, et il pouvait enfin voir ma chatte au centre de mes cuisses, et mon corps entièrement nu sur lequel les branches des arbres dessinaient des ombres chinoises.

Quelques puits de lumière dansaient par endroit sur ma peau blanche comme neige. Ce tableau a eu raison de sa politesse, et il est venu entre mes cuisses avec une convoitise qui marquait ses traits, comme habité par l’unique envie de moi, la bouche tendue vers mon sexe qu’il a goûté, léché, vénéré pendant de longues et délicieuses minutes.

Mon regard se perdait dans les feuillages des arbres qui trempaient dans le ciel bleu et je me disais qu’aucun de mes petits copains français ne m’avait jamais fait un si bon cunni.

Le soleil et le plaisir qui montaient en même temps au zénith me donnaient une sensation d’étourdissement. J’avais envie que nos deux corps ne fassent plus qu’un en communiant dans ce milieu naturel ! J’étais étendue sur le dos, sur la mince couverture qui me permettait tout de même de sentir les aiguilles de pins sous ma peau et je le voyais, lui, tout nu aussi, bouger dans la lumière, au milieu de la verdure et de l’air chargé des parfums du printemps, de la terre qui se réchauffe.

Il s’est détaché de mon sexe pour coulisser contre moi. La chaleur et la douceur de sentir sa peau contre la mienne m’a donné le vertige. J’ai replié une jambe sur le côté pour lui donner plus d’espace entre mes cuisses. Le soleil inondait mon visage et, quand il bougeait, disparaissait derrière le corps de Klaus.

Il a pénétré en moi, sa queue s’est frayée un chemin dans mon sexe, humide de mon désir et de sa salive. La sensation était intense, l’encastrement de nos corps était voluptueux, bercé par la tiédeur environnante.

Il m’a pénétrée de manière câline, en me couvant du regard.

Je sentais l’avancée de son sexe en moi comme une bénédiction, les sensations qu’il provoquait affolaient mon vagin, mon périnée se refermait amoureusement sur lui, mon clitoris, que je sentais frémir de bonheur, s’emballait. Les percées de sa bite en moi semblaient si naturelles, et créaient un appel venant du fond de mes entrailles. Je voulais qu’il me baise pour de bon, qu’il me lime l’abricot, qu’il me terrasse, qu’il s’imprime de façon inoubliable dans ma chair.

Nous nous sommes installés en cuillère sur la couverture de pique-nique. J’étais dos à lui, cul contre sa bite, et il m’a pénétrée à nouveau dans cette posture alanguie sur le côté qui permettait à Klaus de me prendre et de balader une main sur mon corps. Sur mes tétons déjà pétris de plaisir par ses caresses, mon ventre, mon clito qu’il trouvait très facilement et qu’il caressait au passage. J’ai relevé une cuisse pour qu’il y ait accès et qu’il puisse bien me prendre avec sa queue qui s’enfonçait au cœur de mon corps en fusion.

J’étais bien heureuse finalement, de n’avoir pas de correspondante mais un correspondant aussi soucieux de me faire du bien et je bénissais le hasard de m’avoir offert de le rencontrer et de raviver les liens franco-allemands avec lui ! Lui semblait aussi très heureux de découvrir les charmes cachés de la Provence…

Sa main libre pétrissait mes fesses pendant qu’il s’engouffrait dans mon vagin, qui le réclamait à corps et à cri. Sentir sa peau dans mon dos, la tendresse ferme de sa queue dans ma chatte et ses mains habiles et moites sur moi, m’offraient un éventail de sensations qui m’emmenaient dans de nouvelles dimensions du plaisir.

Le soleil de midi se faisait plus cuisant, et Klaus me murmurait à l’oreille des mots cochons en allemand.

J’adorais découvrir cette autre facette de lui, ce côté salace, ce lâcher-prise auquel il avait fini par céder. J’avais gardé mes chaussettes blanches et hautes pour seul vêtement, qui ­épousaient mes mollets et dans lesquelles je me sentais étonnamment sexy. Derrière moi, il soupirait, gémissait, se laissant aller à l’intensité de ce coït, vivant le moment présent dans la beauté de l’instant. Son souffle se pressait contre ma nuque, ma chatte se ravissait de chacun de ses coups de queue, s’écartait et se serrait tour à tour, et la conquête de mon corps par le correspondant allemand était la plus belle des aventures pour entamer cette saison des amours. Je ne voulais pas qu’il reparte, jamais, et que ce moment dans les collines dure toujours.

Je le voulais plus intensément encore, alors je me suis mise à quatre pattes sur notre couverture, mes genoux et mes coudes posés sur le tissu, mes cheveux retombant autour de moi. Il s’est collé derrière moi contre mes fesses pour me prendre enfin en levrette.

Cette position m’offre une pénétration profonde et acérée, qui stimule des points sensibles de ma chatte et, quand elle est entêtante et plaisante comme avec lui, elle provoque des étincelles dans tous mon corps.

Klaus a posé ses mains sur mes fesses et le bas de mon dos pour accompagner nos mouvements d’emboîtement l’un dans l’autre. Notre comminterstron.ru était absolue, la nature se remplissait de nos gémissements de plus en plus sonores.

La sueur coulait de nos aisselles et des plis de nos peaux, et nos fluides sexuels se libéraient. Nos sexes se prenaient l’un l’autre dans un corps-à-corps animal, comme s’ils se reconnaissaient. Le sexe était finalement le meilleur des langages pour faire passer un message ! Un langage universel qui ne nécessitait pas de grammaire.

Il m’a pris avec acharnement, jusqu’à sentir l’orgasme monter et me prévenir, le mien venait aussi, je lui ai demandé de m’attendre. Il l’a fait et m’a baisée encore, jusqu’à l’épuisement.

La jouissance a allumé sa mèche dans mon clitoris pour éclater et déferler dans mes membres, ma poitrine, libérant un cri sans fin et sans entrave, que seuls les arbres entendraient. Lui a éjaculé dans la foulée sur mes fesses et j’ai senti la tiédeur du liquide qui a éclaboussé mon épiderme.

Fourbus, en nage, nous étions tellement heureux d’avoir cédé au désir qui nous attirait l’un vers l’autre, d’avoir consommé cet échange interculturel des plus enrichissants !

J’ai embrassé mon Klaus avec bonheur, lui susurrant des mots doux en français ou en allemand, mélangeant les deux langues au sens figuré comme au sens littéral.

Au lieu de terminer notre rando, nous avons remis le couvert deux fois sur la couverture, sous notre pin parasol, dans le printemps provençal.

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru