A dream comes « trou »
18 août 2022En pleine sieste pour reposer son talon douloureux, Achille est tiré des bras de Morphée par deux nymphes qui, sans plus de préambule, se ruent sur son membre version gros calibre. Un doute habite sa bite, est-ce un rêve ou la réalité ?
Après avoir regardé le grand péplum « Troie », Achille ne pouvait que se fantasmer en guerrier courageux, fils de Pélée et de Thétis, beau, presque invulnérable et désiré par toutes les femmes. Son sommeil était agité et sa queue bandait à lui en faire mal quand, soudain, une caresse surgit de nulle part.
Le songe devint subitement bien plus agréable lorsque le bruit de sa braguette de pantalon, qu’une main habile déboutonnait, le tira de sa somnolence.
Il ouvrit les yeux et découvrit, penchées au-dessus de lui, deux déesses tout droit descendues de l’Olympe. L’une blonde ne portant qu’un string jaune, l’autre brune, vêtue du même accessoire bleu électrique.
Il mit quelques instants à reconnaître Emma, sa colocataire tatouée et délurée avec laquelle il avait déjà connu des moments d’extase.
Quant à la chevelure auburn, aucune idée de qui cela pouvait bien être. Mais qui s’en souciait ? Pas lui en tout cas. Un prénom fut jeté en guise de présentation, Florence et sur ce, sa bite fut engloutie par deux bouches affamées.
Sa masculinité était désormais en mode “pleine puissance”, il savait que les dimensions de sa queue pouvaient effrayer comme faire craquer les filles. Pour ces deux-là, la seconde option était visiblement de mise.
Elles n’avaient d’yeux que pour ce monument dressé, déjà gonflé par son rêve dont l’érection avait été accentuée par la vision idyllique à son réveil.
Des mains le branlaient fort tout en imprimant des mouvements de rotation sur son prépuce et lorsqu’elles le décalottaient, son gland était aspiré par l’une ou l’autre de ses amantes tandis qu’une langue agile venait se perdre sur sa hampe et ses grosses bourses. La fellation dura longtemps, Emma et Florence le déshabillèrent et ôtèrent le peu de tissus qu’elles portaient encore.
Tous les trois nus, ils se jetèrent sur le lit. Les deux bombes avalaient le sexe imposant loin dans leurs gorges, Achille en concevait des frémissements en bas de ses reins, leurs doigts sur ses couilles étaient à la limite des chatouilles, mais tout son corps était arqué tant elles lui faisaient du bien avec leur maîtrise raffinée.
Au début inactives, les mains d’Achille entrèrent dans l’arène. Fébriles de prime abord, elles s’affirmèrent précises, mordantes, claquantes, sensuelles. Doucement le bienheureux cibla ses approches et entama une visite méthodique de leurs entrejambes. Les deux chattes étaient trempées, les mouilles onctueuses se mélangeaient sur ses doigts et les lubrifiaient au fur et à mesure qu’ils se faisaient plus pénétrants.
Comprenant vite que Florence (la brune) était tout à fait ouverte aux pratiques anales, Achille put, tout en continuant à se laisser pomper le dard de plus en plus fort, jouer avec les fentes de ces demoiselles tout en sodomisant de son majeur et de son index l’amie de sa colocataire.
Il ne réalisa que tardivement que les filles se doigtaient aussi entre elles, pas de doute, Achille devait être encore dans son rêve ou au paradis.
Les fines phalanges féminines se frayaient sans mal un chemin dans les sillons molletonnés et huileux.
Les gémissements devenaient plus gutturaux et les premiers signes de plaisir apparurent. Les paupières se fermaient, les jambes s’écartaient pour laisser libre cours aux pénétrations ou aux langues voraces. Les parfums des belles, la vision de leurs intimités totalement dévoilées, Achille allait devoir faire preuve de self-contrôle pour ne pas juter précocement !
Timing idéal, c’est l’instant qu’elles choisirent pour se brouter le minou en soixante-neuf, laissant un peu de répit à son membre qui frôlait la capitulation. Il se fit la réflexion qu’il était quand même terrible de voir deux femmes se bouffer la cramouille, mais que cela était bien moins délicat qu’on ne pouvait s’y attendre.
Elles ouvraient bien les fesses de l’autre, faisant saillir le clito comme une bulle prête à exploser, engouffraient leurs langues au fond du vagin rose à grand renfort de bruits buccaux explicites et très cochons. Il était ainsi aux premières loges, matant à l’envi cette scène digne d’un porno, elles jouirent presque ensemble, Florence, au-dessus, émit quelques petits jets de cyprine qu’Emma avala avec gourmandise et Achille put observer les convulsions de son petit trou et de sa chatte.
Il caressa doucement leurs peaux transpirantes, l’ambiance était électrique, la chambre embaumait leurs fluides et leurs intenses désirs. Sa queue était appelée à la barre. Après ces saphiques plaisirs, place à Priape et aux pénétrations musclées d’un vit glorieux.
Il ouvrit le bal avec Emma, l’ayant déjà “pratiquée”, il lui semblait plus facile de l’amener à son second orgasme. Sa position préférée étant la levrette, il l’agonit de coups de reins rageurs, pendant que Florence, glissée en dessous de ses cuisses, léchait son con ou la hampe ointe de jus épicé.
Mais la petite garce ayant pris son pied résista bien plus qu’il ne s’y attendait. Il lui fallut mobiliser toute la ressource de son corps athlétique pour ne rien lâcher et continuer à lui asséner de grandes envolées de bassin.
Sa queue entrait et sortait du minou à une cadence effrénée, la sensation de chaleur due au frottement faillit le faire cracher. Rien à faire, le plaisir de la belle brune montait puis refluait à deux doigts de l’extase. Il s’écroula à plat dos sur le lit, en sueur et le souffle court.
Pas de repos pour le guerrier, Achille fut harcelé telle la ville de Troie, Florence et Emma étaient les assaillantes et tenaient le siège. C’est cette dernière qui chevaucha l’étalon en premier, la bite guidée par la main de Flo, le rodéo pouvait commencer.
Ondulations du bassin, mouvements des hanches pour faire coulisser le mât en dehors du vagin. Lorsqu’il sortait en entier, la bouche vorace de leur “assistante” prenait le relais avant qu’elle ne le glisse de nouveau dans la caverne béante qui en voulait encore et encore.
L’amazone jouit ainsi, écrasant son pubis sur celui d’Achille, histoire de bien frictionner son clitoris, se pinçant les tétons en éructant des vocalises incompréhensibles.
Achille était toujours debout et vaillant, il décida de se lancer à l’assaut du petit oignon de Florence tout à fait disposée à se faire défoncer dans les règles.
Il rassembla toute son énergie, les filles se roulaient des pelles, se pelotaient leurs beaux nibards et se fouillaient par tous les trous. Cette exhibition saphique semblait les ravir. Mais à en être attirée par les femmes on n’en est pas moins avide d’une bonne bite. Très vite elles reprirent la direction du pénis rougi.
Quelques coups de langue bien amenés et Florence se glissa comme une chatte en chaleur sur le rebord du matelas, cambrée, le cul en l’air et s’amusant avec son anus dont le sphincter se fermait et s’ouvrait en alternance. L’appel de la nature !
Emma s’installa à nos côtés, elle laissa un long filet de salive tomber pile sur la pastille sombre de sa copine et empoigna ma tige comme s’il s’agissait d’un vulgaire outil pour en poser le gland avec précision au centre du puits. Florence a reculé son bassin avec détermination. Pas de doute, elle avait l’habitude de se faire enculer, on ne prend pas ainsi cette taille de phallus dans le fondement sans un solide entraînement.
Emma regardait la sodomie avec une intensité qui excitait Achille et, à intervalles réguliers, elle saisissait la hampe pour la forcer à sortir du petit fion serré et le pompait avec beaucoup d’écume. Avait-elle peur qu’Achille mollisse ou aimait-elle à ce point les saveurs de la rondelle de son amie ? Peu importe, mais quand elle remettait le gourdin dans le goulot étranglé, le tunnel était satiné et lubrifié à souhait.
Le rêve d’Achille ne se réalisait-il pas ? Il avait deux bombes rien que pour lui dans son lit ! Affamées, se gouinant à loisir et avides de prendre leur pied avec lui ?! Il empoigna les hanches de Florence et la baisa par le cul aussi fort qu’il le pouvait.
Il entraperçut les ongles bleus d’Emma, récoltant la mouille qui foisonnait, elle astiquait en cadence le clito de la douce sodomite tout en lui entrant un doigt dans le vagin.
Elle se transforma, l’espace d’un instant, en statue de pierre, tous ses muscles bandés, ses cuisses se mirent à trembler et elle poussa un cri de louve affamée. Un hurlement herculéen et libérateur accompagné de contractions qui se propagèrent jusqu’à ses antres de volupté.
Les secousses furent interminables, s’amenuisant lentement, le décollage avait été puissant, Emma et Achille s’appliquèrent à lui offrir l’atterrissage le plus doux possible. Le câlin entre les filles fut émouvant, Achille caressa son dos encore parcouru de frissons.
Il ne fallut pas longtemps pour que les regards des deux donzelles convergent vers la queue toujours droite comme un i. Elles rampèrent sur le lit telles deux couleuvres et demandèrent à Achille de s’astiquer devant elles.
Au bord de l’éjaculation depuis un petit moment déjà, il dut néanmoins se concentrer pour arriver à cracher. Il fixait les deux chattes ouvertes, les phalanges qui entraient et sortaient ou faisaient saillir les perles roses qui viraient au carmin tant elles avaient été sollicitées.
L’instant était venu, Florence et Emma le sentirent, elles se ruèrent sur le gland et recueillirent son sperme abondant. Achille prit un pied fou à éjaculer tantôt dans une bouche, tantôt dans l’autre, plaisir boosté lorsqu’il vit les deux filles se rouler une pelle en partageant sa crème avec gourmandise.
Épuisés, les trois amants s’endormirent, leurs corps entremêlés. Achille ouvrit les yeux aux alentours de vingt et une heures, son esprit mit un peu de temps à émerger, des images, des odeurs lui revenaient. Non, tout cela n’avait été qu’un rêve …
Une main caressa son sexe, était-il devenu un automate aux gestes involontaires ? Il pencha la tête, les ongles étaient peints en bleu !