Plaisirs corse

La rédaction 13 octobre 2022

Les vacances en famille en Corse, c’est très agréable, mais cela peut vite devenir pesant surtout quand la chambre qu’on occupe est adjacente à celle des oncles et tantes. Sam et Chiara décident donc de prendre la poudre d’escampette pour quelques jours de camping sauvage où ils pourront donner libre cours à leur désir aussi brûlant que le soleil de Porto-Vecchio.

L’endroit était idyllique, loin de la ville avec suffisamment d’ombre pour ne pas mourir de chaud sous la tente, une clairière entourée de bosquets certes un peu desséchés, mais néanmoins protecteurs pour s’installer et préparer leur premier pique-nique. Les légumes achetés le matin même au marché étaient gorgés de fraîcheur et au fur et à mesure que courgettes et aubergines passaient de mains en mains, l’imagination de nos deux tourtereaux commença de galoper.


C’est Chiara qui, la première, fit une allusion franche au sexe en comparant un champignon au gland de Sam.

Ce fut ensuite à son tour d’évoquer la forme phallique des cucurbitacées tout en mimant une masturbation végétarienne, un concombre caché dans son short déformé par ce pénis priapique au possible ! Chiara glissa une main hasardeuse et ne se trompa pas de fruit, tâtant directement la tige constituée de sang et de peau.

Son sourire, sa gorge offerte, tête renversée, sa poitrine nue sous un t-shirt léger qui laissait très clairement entrevoir les tétons pointus, il n’en fallait pas plus à Sam pour s’enflammer.

Il embrassa sa petite amie avec passion, il sentait son short distendu par une érection prometteuse tout en passant les doigts sous le fin coton blanc à la recherche des seins menus, mais fermes de Chiara.

Il savait sa compagne joueuse et apte à être dévorée par un désir aussi intense que rapide. Son point faible ? Les mamelons ! Dès qu’on les lui pinçait, dès qu’on les triturait légèrement, dès qu’on les lui malaxait, son abricot rendait tous ses sucs et la corolle de son sexe gonflé de sang s’ouvrait comme par magie. Alors les succions !

Rien ne pouvait plus l’arrêter sur le chemin du plaisir lorsqu’on lui taquinait les tétons en les aspirant et en les léchant. Sam n’était pas tombé de la dernière pluie et savait très bien y faire. En quelques secondes Chiara était topless, la bouche de son copain collée comme une ventouse à ses deux organes érectiles, il ne lui en fallait pas plus pour se tortiller afin d’enlever son short et sa culotte pour offrir sa jolie chatte totalement imberbe au soleil et au talent en matière de cunnilingus de Sam.

Enfin nue, cuisse et désir libres, Chiara n’avait plus qu’un but, celui de jouir et faire jouir. Elle adorait le corps d’adonis de Sam, sportif et sculpté, elle adulait son regard posé sur elle qui disait mieux que mille mots tout l’élan d’amour qui le portait vers elle, en elle.

Mais voilà que la langue de son amant goûtait la peau de son ventre, fouillait son nombril, répétition de ce qui allait se dérouler plus bas. Que cette attente était longue, qu’il prenait son temps, le cochon, à la faire languir ainsi, dessinant de sensuelles courbes jusqu’à frôler sa vulve lisse.

Elle l’entendait la humer, cela aussi la rendait toute molle, elle savait qu’il adorait ses parfums intimes, elle savait qu’il se touchait tout en rapprochant ses cercles diaboliques de plus en plus près de la cible. Enfin ! Sa langue l’électrisa en se posant pile sur son clitoris saillant ! C’était le moment idéal, l’instant précis de la rupture.

Sam était un lécheur d’exception, il connaissait d’instinct le rythme à adopter, la pression à appliquer, ni trop ni trop peu, il maîtrisait à la perfection cette alternance qui lui tournait la tête, aspirer son bourgeon pour mieux l’abandonner au profit de l’entrée de la grotte rose d’où suintait son miellat liquoreux. Jambes désormais relevées, pieds tendus, comme une danseuse étoile au fait de son art, Chiara s’ouvrait au maximum afin que Sam puisse la butiner de partout, même dans ses anfractuosités les plus secrètes et inaccessibles.

Elle adorait qu’il se perde dans les contrées interdites de son anatomie, se faire manger ainsi était tellement impensable pour elle qu’elle en concevait un plaisir coupable, donc décuplé. Le puits rose exhalait un délicieux parfum musqué qui s’accordait à merveille avec l’iode de son coquillage et les fragrances des épineux qui les entouraient.

Ce bouquet enivrant donnait des ailes à la langue de Sam, virtuose habité d’une vie propre, l’appendice dansait maintenant de toute part, enchaînant les entrechats, courant de l’anus à la vulve, tourbillonnant autour du bouton bandé, s’enfonçant loin dans le moelleux du vagin.Pas de doute, il connaissait bien, très bien les femmes, mais l’allant qu’il mettait dans tous ses gestes trahissaient autre chose, un véritable amour, une passion pour le sexe dit faible, pour cette conque aux pouvoirs magiques qu’était une belle petite chatte épilée et trempée de désir.

En cet instant, Chiara ne pouvait que fermer les yeux et se mordre la paume tant ce qu’elle vivait présentement était un pur bonheur. La séquence dura longtemps, Sam dosant son effort, s’éloignant de l’épicentre du plaisir lorsqu’il sentait le corps sylphide se tendre et les muscles se durcir. Douce torture, lent chemin de croix jalonné de gestes précis qui frôlaient le gouffre cent fois sans jamais s’y précipiter. Enfin, l’acte de délivrance arriva, dans une envolée lyrique, deux doigts pénétrèrent l’anfractuosité pour s’y agiter de façon désordonnée, mais fichtrement efficace pendant que des lèvres veloutées emprisonnaient la perle pour l’aspirer avec tendresse.

L’orgasme prit la forme d’une fission nucléaire, une dissociation corps-esprit que Chiara n’avait connue qu’avec Sam. Son âme flottait, emportée par un fleuve fougueux et inextinguible tandis que son corps convulsait mécaniquement entre les bras de Sam, indiquant à ce dernier la saturation de sensations rendant tout nouveau contact douloureux.

Le calme revint en elle et Chiara réintégra son enveloppe charnelle, aucune chance qu’elle en reste là, cet homme méritait le meilleur, s’agenouillant sur le plaid en patchwork, elle patienta le temps que Sam se lève et lui présente son vit royal.

Il n’avait rien de spécial, ni gros, ni fin, ni grand, ni petit, il était juste à la mesure de ce qu’elle attendait.

Bien bandé, raide et diffusant un léger parfum de savonnette, il laissait apparaître un gland à moitié libéré de son prépuce mobile, elle en saisit la base et fit émerger entièrement le casque sensible, ouvrit les lèvres et entama ses mouvements de succions, attentive aux moindres gestes et réactions de Sam.

Nu en plein maquis, un ciel bleu limpide en toile de fond des pins charnus et Chiara à genoux devant lui en train de lui administrer une fellation de haute voltige, que de demander de mieux ?

Elle était une amante exceptionnelle, elle adorait le sexe et prendre un vit en bouche était pour elle une véritable gourmandise, et cela se ressentait. Tout était parfait, la salive abondante qui venait aider le membre raide à coulisser entre les lèvres, les effleurements de ses doigts sur toute sa tige et les ongles qui s’insinuaient régulièrement pour agacer les bourses gonflées, un regard de temps en temps, qui disait tout le plaisir et l’excitation qu’elle éprouvait à lui offrir une gâterie incomparable de sensualité.

Un instant elle lui titillait le dessous du gland avec des gestes vifs de la langue, celui d’après elle happait la bite au fond de sa gorge s’assistant de ses mains posées sur les fesses de Sam qui lui tenait les cheveux longs en queue de cheval pour empêcher que ces derniers ne la gênent.

Quand elle se mit à le branler, ses saccades furent aussi rapides que précises, sans accentuer la pression sur la hampe, il fut pris de frissons dans le bas des reins et ne put rien faire contre l’éjaculation qui le surprit tant il était plutôt endurant à ce petit jeu.

Chiara raffolait de son foutre, pas une seule goutte ne lui échappa. Poursuivant ses va-et-vient, elle recueillit la précieuse crème onctueuse et la savoura longtemps avant de tout avaler. Elle continua de sucer son jouet préféré pour maintenir l’érection et finit par s’allonger sur la couverture, usant de tous ses charmes.

Elle aimait se caresser devant ses compagnons, elle savait toute l’excitation qu’un homme tire d’être un voyeur privilégié. Écartant ses nymphes, elle exposait son chat tout mouillé aux rayons du soleil qui dardaient de plus en plus, elle s’amusait avec les lèvres élastiques et décalottait son clitoris brillant puis s’enfilait un ou deux doigts dans la fente et même dans l’anus.

Elle était chaude comme la braise et avait envie de faire l’amour encore un long moment avant de goûter à un repos bien mérité. Sam commença à s’astiquer gentiment, s’agenouillant entre les cuisses de sa déesse pour mieux profiter de ce spectacle onaniste des plus excitants.

Chiara se mit à quatre pattes afin de lui offrir tous ses orifices en tortillant du derrière. Elle jouait avec son petit sphincter et son périnée, chatte et cul semblaient animés d’une vie propre. Sam approcha son visage et le glissa dans la raie de ce si joli petit derrière, ça sentait la femme dans tout ce qu’il aimait le plus. À la fois fort et raffiné, animal et policé, il n’avait qu’une envie, lui bouffer son fessier sexy et Chiara était visiblement toute disposée à le laisser faire.

Elle posa ses seins contre les carreaux multicolores de leur couche improvisée et écarta ses globes au maximum. De nouveau, Sam se retrouvait avec l’intimité recouverte de rosée secrète, il darda son muscle et l’enfonça comme une mini bite dans l’anneau serré.

Une poussée de Chiara et il se sentit happé un peu plus dans la grotte veloutée. Il entendait gémir là-bas contre le plaid, d’un doigt, il massa le petit pignon rose et fit slalomer sa langue jusqu’à l’ouverture du vagin qui coulait de plus en plus.

Il recueillit la sève et s’en abreuva avant de ficher plusieurs phalanges dans les deux cibles élastiques. Chiara en eut le souffle coupé, Sam avait une dextérité hors norme pour un garçon, il savait doser la puissance de ses gestes à la perfection et avait un don pour que chaque coup de boutoir finisse sa course exactement sur ses zones les plus érogènes.

Il lui arracha un second orgasme, elle prit son pied encore plus fort que lors du premier !

Se sentir ainsi, l’intimité totalement exhibée, la rendait hystérique. Jamais elle ne se serait crue capable de baiser en plein jour, complexée par son physique malgré les compliments des hommes à son égard, l’acceptation du regard de son amant sur elle avait été une révélation et s’abandonner à lui en plein air lui procurait encore plus de sensations.

Elle finissait à peine de trembler, laissant les oripeaux de son délice s’échapper lentement de son corps, que Sam l’aidait à s’installer confortablement sur le dos, il lui replia les cuisses et mata longuement son con aqueux avant de la pénétrer avec une hésitation calculée. Ce fourreau ! Chiara était serrée et épousait toute sa bite comme un gant crémeux.

Il resta un moment à profiter de ce don précieux, puis recula doucement, ils chérissaient tous les deux l’amour fougueux, mais savouraient également une certaine atonie, cultivant un art consommé de la langueur. Elle appréciait les poils légers de Sam venant chatouiller son mont de Vénus, affûté, il pouvait tenir d’interminables minutes à la prendre ainsi en missionnaire, le buste arqué au-dessus d’elle. C’est ce qu’il fit, son pieu coulissait à merveille dans l’antre lubrifié par ses caresses buccales et la cyprine abondante de Chiara, il dégustait chaque centimètre gagné dans le maelström ouaté qui l’accueillait.

Ils changèrent de position, la belle amazone, le chevauchant. Autre configuration, autre plaisir, Chiara pouvait désormais contrôler la pénétration et jouer avec ses seins tout en dansant au-dessus d’un Sam ravi de cette pause.

Il laissait faire, profitant des déhanchés sensuels et d’un angle différent de sa queue fichée encore plus profondément. Chiara ondulait de plus en plus amplement, frottant son clitoris sur le duvet du pubis de son amant, elle renversa d’un coup sa tête en arrière, sa chevelure venant caresser les couilles de Sam.

Elle chercha les mains de Sam, leurs doigts se nouèrent et une troisième vague orgasmique emporta cette fée.

Elle resta longtemps cambrée, les seins offerts à l’astre solaire, laissant agir le flux intense qui la parcourait en tous sens.

La chaleur devint bientôt intenable pour les deux amoureux, ils se séparèrent à regret pour se réfugier à l’ombre de leur tente, le cocon doré serait idéal pour la conclusion de cet après-midi de sexe débridé. Sam n’avait juté qu’une seule fois et même si Chiara avait goûté son plaisir, elle voulait que sa peau soit, elle aussi, honorée par la semence chaude.

De nouveau, elle offrit sa croupe tendue, cassant ses reins pour recevoir encore une fois les coups de queue puissants. Elle ne fut pas déçue, pour ce baroud final, Sam fut impérial. Chiara gémissait et l’encourageait, lui intimant de la baiser fort, de la défoncer, lui disant à quel point sa bite était bonne et comment il la faisait jouir.

Méthode Coué ou facilité à atteindre le septième ciel déconcertante, avant que Sam ne vienne, un énième ouragan la balaya. Plus sourd que les précédents, il n’en fut pas moins délicieux et profond.

Sa chatte se raffermit, enserrant la queue plus fortement, elle cria et griffa le sol ­agitant sa chevelure de lionne en tous sens, lorsque sa main fraîche alla cueillir les deux fruits de Sam, ce dernier sorti sa tige rougie de tant de fornication et, la branlant entre les fesses vigoureuses, laissa fuser son sperme brûlant maculant de plusieurs giclées la peau pas encore bronzée par le climat corse.

Trempés de sueur et éreintés par tant d’effort sous cette chaleur écrasante, les deux amants partirent se baigner dans la petite rivière voisine, l’eau vivifiante revigora leurs corps, réveillant leur désir. Sam affichait de nouveau une barre droite comme un i et Chiara prit sa main pour la porter à son sexe. « Fais-moi gicler mon amour »


Sam glissa deux doigts dans la cicatrice encore gonflée de leurs joutes précédentes et, les crochetant, joua du poignet et de la pulpe, les bouillonnements des tumultes de l’ondée sauvage furent bientôt couverts par les cris de plaisir.Fluides et profondes, les digitales pénétrations prenaient de l’ampleur et leur rythme s’accélérait lorsque la caverne s’emplit lentement de liquide, le clapotis annonciateur et si caractéristique laissa son chant cristallin s’épanouir et des cataractes s’échappèrent de la chatte de Chiara, agrippée au torse de Sam tant ses jambes ne la portaient plus.

Elle n’arrivait pas à croire que tous ces jets puissants sortaient d’elle, elle aimait à regarder ce phénomène désarmant que Sam avait révélé chez elle. Son matelas à Paris en gardait encore les stigmates.

Cet amant formidable savait décidément tout faire. Chiara s’assit sur une pierre lisse et le ressaisit en bouche. Allait-elle réussir à récolter son jus pour la troisième fois ? Elle comprit que Sam cherchait à lui doigter le cul, elle se pencha le plus possible pour lui offrir un accès facile. Ce n’est pas un doigt qu’elle sentit la sodomiser, mais deux puis trois. Elle laissa faire, heureuse de savoir que le plaisir de Sam allait être de nouveau au rendez-vous.

Elle fit preuve de patience et de beaucoup de douceur afin d’octroyer à Sam une prestation inoubliable. Ce havre de paradis, eux deux nus comme des vers, était-ce l’Eden ? Toujours est-il que Sam éjacula une nouvelle fois dans sa bouche, plus timorée que ses deux premières explosions, Chiara eut tout de même une belle dose de foutre à avaler.

Cette fois-ci ils étaient repus et fourbus de tant d’efforts et de plaisir, la queue de Sam resta flasque et, pour être honnête, Chiara avait autant mal aux cuisses qu’aux petites lèvres, soumises à rude épreuve. Ils rentrèrent dans leur tente et finir de couper leurs légumes, la salade fut vite engloutie, quelques canistrellis aux amandes en dessert et ils se câlinèrent jusqu’au crépuscule avant de s’endormir, blottis dans les bras l’un de l’autre.

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