A la douche !
11 octobre 2015Nadia vit une étrange relation avec son petit ami Vincent, Tour à tour grossier personnage et prince charmant, le jeune homme maltraite les sentiments de la miss qui est folle de lui. Et comme souvent, c’est à travers le sexe que se révèlent les comportements et les émotions les plus extrêmes. Incursion dans leur vie intime, où se mêlent petits jeux malsains et pur plaisir…
Depuis quelques mois, je vis une relation très “spéciale”. Je suis totalement accro à mon mec, alors que je sais qu’il me trompe. Et, en prime, il est parfois un peu, voire très brutal.
L’autre jour, après une énième engueulade, je suis allée prendre un bain pour me calmer.
J’avais pleuré, j’étais mal. Vincent est arrivé, à poil, la taille ceinturée d’une serviette. Je n’avais vraiment pas envie de discuter. Il m’avait encore trompée et je l’avais surpris. Cette fois, c’en était trop !
Il a commencé à tenter de m’embrouiller : “Mais j’avais trop bu, je n’ai pas réfléchi à ce que je faisais, c’était juste pour le cul. Regarde, tout cela, ce n’est là que pour toi !” Et il a dénoué sa serviette, exhibant son superbe sexe dont il sait que je suis folle amoureuse.
Il est entré dans la baignoire et s’est collé à moi : “Tu sais que je t’aime… On est fait pour être ensemble, je suis dingue de toi ma princesse…” Il a saisi un de mes seins en murmurant : “Moi, je ne peux pas me passer de ça. Ta peau douce, tes beaux nichons moelleux, tes tétons qui me disent « Bonjour Vincent ! ». Mmmmhh…”
Et, tout en parlant, il enserrait mon sein de sa main puissante et chaude. Ce mec, je l’ai dans la peau, au sens propre du terme. Dès qu’il me touche, mon sexe se crispe et mouille, ma tête tourne, je ferais n’importe quoi pour qu’il me baise encore. Il s’est mis à lécher et mordiller mon téton érigé. J’ai poussé un petit cri. Ma volonté et ma colère ne voulaient pas céder, mais je sentais couler une lâche démission entre mes cuisses… Le pire, c’est que je savais qu’il le savait. Mais impossible de lui résister. Vincent continuait à me téter les seins, passant de l’un à l’autre, enfonçant puissamment ses doigts dans ma chair, comme pour me rappeler (si besoin était) que c’était lui le mâle. Pourtant, ce n’est vraiment pas mon style de me laisser avoir par ce genre de gus, je suis lucide. Mais avec lui, allez comprendre !
Il a le don de faire tomber toutes mes résistances. Alors, quand il m’a murmuré à l’oreille : “Bébé, suce ma queue comme tu sais si bien le faire”, je me suis exécutée sur-le-champ.
J’ai pris ses couilles en main et la base de sa bite entre mes doigts, dirigeant ainsi son gland vers ma bouche, et j’ai entamé une pipe suave, lente et baveuse, pour faire durer le plaisir. Mais, comme cela arrive souvent, Vincent voulait du brutal. Son ton a changé et, me saisissant par les cheveux, il a ordonné : “Suce, salope, je vais te trouer la gorge avec ma bite, petite pute, je sais que t’aimes ça !” Et il a enfoncé son engin quasiment jusqu’à la garde, me baisant littéralement la bouche. Heureusement, il y avait longtemps que je maîtrisais les “gorges profondes”… Avec lui, il valait mieux !
Il appuyait sur mon crâne, logeant sa verge jusqu’à ma glotte. Je frôlais la nausée, mais il était hors de question que j’abdique. Seulement, je n’avais pas beaucoup de marge de manœuvre, ma bouche était pleine à craquer ! Évidemment, Vincent est sorti de ma gorge en me lançant : “Pauvre fille, tu suces mal ! Vas-y, branle-moi entre tes grosses loches de pute !” Cela ne m’a pas étonnée et, même si je savais qu’il mentait pour mieux m’humilier, j’en étais blessée.
J’ai vite enserré son engin entre mes deux nichons, et je l’ai fait aller et venir, bien au chaud dans mes mamelles. De temps à autre, je levais les yeux pour observer les réactions de Vincent. Ses grimaces de plaisir m’indiquaient qu’il appréciait, mais jamais il ne le reconnaîtrait. Quand il s’est aperçu que je le regardais, il a dégagé sa queue, s’est écarté de moi, s’est assis dans la baignoire et m’a lancé : “Allez, pipe, deuxième essai !” Ce type est vraiment odieux, je voudrais le quitter mais… je suis amoureuse, quoi ! Y’a pas moyen.
Je me suis penchée vers l’objet de mon désir. Ce sexe, j’en connaissais le moindre millimètre tellement je l’avais pompé, léché, branlé, secoué en à peine quelques mois. Alors, je l’ai enserré à sa base et, après avoir sécrété un maximum de salive que j’ai gardée en bouche, je l’ai gobé entre mes lèvres, l’enrobant de cette bave chaude et salvatrice, jouant de ma langue de l’intérieur. Vincent possède une maîtrise extraordinaire de sa queue. Il ne gicle que quand il le veut bien. Mais je sentais quand même sa bite tressauter sous l’effet conjugué de ma langue et de mes lèvres. Et c’est certainement pour cette raison qu’il a braillé :
“Arrête, debout, tourne-toi !” Évidemment, je me suis exécutée. “T’as envie que je te baise, hein, petite pute… Tu la veux ma queue, tu l’aimes ma queue ? Dis-le que tu l’aimes… Écarte tes fesses, princesse, je n’ai pas encore choisi où j’allais te la mettre…”
Son gland s’est approché de mon petit œillet, j’espérais que non, il avait cette habitude de m’enculer à sec et sans préparation, et je n’étais pas très fan. Ça me faisait mal et je crois que c’est ça qui lui plaisait. Après avoir joué avec mes nerfs, il a pointé sa bite à l’entrée de mon vagin trempé de tout… Il y a fourré son nœud, mais pas plus.
Il m’a encore tiré les cheveux pour que je le regarde et, me fixant dans les yeux, il a râlé un : “Je t’aime bébé” tout en s’enfonçant jusqu’aux couilles dans mon fourreau avide de lui. J’étais enfin pleine de son bâton de plaisir, et tout mon être tremblait de besoin. Besoin de lui, de sa verge habile, de sa peau dorée comme une brioche qui sort du four, de sa langue qui m’embrassait tellement bien que j’avais presque des orgasmes rien qu’avec ses baisers.
Impossible de le quitter. J’étais trop accro à lui. Est-ce donc cela aimer ? Ces questions me hantaient, mais j’ai décidé de les reporter à plus tard car Vincent me pilonnait en levrette et j’aimais ça. Pour le moment, rien d’autre ne comptait que ces coups de queue qui me tapaient au fond et frottaient mes parois suintantes de mouille. Le bain avait refroidi, et le contraste entre le froid de l’eau sur mes chevilles et la chaleur qui envahissait mon bas-ventre était très troublant.
Dans la pièce, on n’entendait plus que des bruits de clapotis, clapotis apaisant de l’eau, clapotis obscène du bas-ventre de Vincent contre mes fesses rondes.
Nous étions au cœur de la baise. Nous ne parlions pas, les respirations donnaient le ton. La buée avait envahi tous les miroirs de la pièce, et la condensation coulait sur le carreau comme le plaisir entre mes jambes.
Vincent me labourait de plus en plus fort, tirant mes cheveux pour tourner ma tête vers lui, m’embrasser à pleine bouche et emplir ainsi quasiment tous mes orifices. Sans prévenir, toujours son sexe en moi, Vincent s’est assis sur l’angle de la baignoire : “Baise-toi sur moi, chérie…”, jouant le chaud et le froid. Tout tendre, il murmurait : “Qu’elle est bonne ta chatte, que je suis bien dedans, je t’aime tant mon bébé, jamais on ne pourra se passer de ça…”
Et, à l’instant où il a prononcé ces derniers mots, il m’a flanqué un coup de reins tellement puissant que j’ai eu l’impression qu’il me transperçait jusqu’à la gorge. Il me regardait, l’air satisfait de lui. Puis, il m’a prise par les hanches et, donnant des coups de langue sur mon sein durci par le désir, il a rué à toute allure à l’intérieur de mon vagin, tapant rapidement de son sexe talentueux dans tous les recoins de mon fourreau crispé. Le plaisir refluait dans mon ventre, allait et venait au rythme de la queue de mon amour haïssable, qui jouait maintenant les amants attentifs. Cela faisait partie de son scénario. “Ça te plaît bébé ? Tu vas jouir hein ? Dis-moi que tu vas jouir. Mmmmh ta petite chatte, on dirait qu’elle a été moulée sur ma queue. On est bien tous les deux, jamais tu ne me quitteras…” Et moi, je me laissais baiser par ce pervers narcissique, et j’aimais ça. Après tout, c’était peut-être lui qui avait raison, on était faits l’un pour l’autre… Alors qu’il remuait toujours sa bite dans mes boyaux suintants, sa main est venue chatouiller mon clitoris tout dur et offert. Il savait que je risquais de craquer, mes “ah” et mes “oh” résonnaient dans cette pièce dédiée à l’hygiène, et où il me salissait de sa perversité. Alors que j’étais sur le point de jouir, il s’est arrêté brusquement. C’était le jeu, c’était son jeu.
Le ton a encore changé : “À genoux, vite !”
Je ne sais pas si vous vous êtes déjà agenouillé dans une baignoire, mais c’est plus que désagréable. Et là, il m’a enfilée de nouveau, me grimpant comme un animal, me tenant encore par les cheveux : “Oh, je monte ma chienne, elle aime ça ma chienne !” Ses coups de boutoir étaient si puissants que j’ai manqué tomber dans l’eau maintenant glacée. Mais le pire, c’est que j’y prenais du plaisir !
Je me suis agrippée à sa cuisse chaude, enfonçant mes ongles dans sa chair. “Mais elle me griffe ma chienne, ça lui plaît hein ? Mais dis-le que ça te plaît, salope !” Et un puissant coup de reins a couronné cette envolée lyrique (je suis accro à lui, mais je reste lucide quand même !).
Comme la posture était aussi peu confortable pour lui que pour moi, il s’est de nouveau assis sur le coin de la baignoire et je l’ai encore chevauché, mais dans l’autre sens. Il a empoigné ma poitrine et m’a laissé mener la danse (parce qu’il le voulait bien !). Je me baisais sur lui, bien décidée à prendre mon pied, me servant de lui comme d’un godemichet vivant et chaud. Je contractais mes parois sur son engin, voulant le pousser à l’éjaculation. Et si je gagnais la partie pour une fois ? Jouant de mes muscles, je broyais son sexe, me remplissant encore plus. Je me frottais à son bas-ventre pour masturber mon clito au passage. Lui, il pinçait mes tétons très fort, pour ensuite leur donner de légers coups de langue comme un petit chat. J’avais la sensation que son sexe grossissait de plus en plus en moi, mais en fait, c’était le mien qui se crispait à toute allure. Je gémissais malgré moi : “Ah oui, ah c’est bon, ouiiiiiiii, Vincent, encoore, oui, aaah…” Sans m’en rendre compte, je m’étais secouée en tous sens, mon ventre s’était révulsé tellement fort que j’étais à moitié écroulée dans la baignoire, ravagée par l’orgasme. Je me suis assise pour reprendre mon souffle. Il n’y avait presque plus d’eau.
Dans la “bagarre”, j’avais dû déplacer la bonde. Vincent me regardait, satisfait de lui. Il n’avait pas joui. Bien sûr. Le contraire m’aurait étonné. Fan de films porno, il aimait particulièrement me gicler dessus. Partager son plaisir avec moi, en moi, ça, c’est un honneur qu’il ne m’accordait que rarement.
Tenant sa queue à la main comme le trophée de la victoire, il m’a lancé : “Ouvre ta bouche, je vais te gicler sur la langue. Ou sur les seins, prépare-toi…”
Son autre main s’est calée sur ma nuque, prête à déplacer mon visage au besoin. Je n’étais qu’un objet. Il a fait coulisser sa main sur son sexe raidissime, son gland devenait violet. J’ai fermé les yeux, j’entendais le bruit indécent mais exquis de la branlette tout près de mon visage. Langue tendue, seins en coupe, prête à recevoir l’offrande. Sa respiration m’a indiqué l’explosion imminente. Un liquide tiède a touché la peau de mes seins, une goutte a chatouillé le bout de ma langue. Game over.
Vincent est sorti de la baignoire, me lançant : “Prends une douche, t’en as partout !”