Goal !

Impossible de mettre la main sur ce foutu ballon ! L’auteur d’un hat trick (ndlr : se dit quand un joueur marque trois buts au cours d’un même match) en cette finale voulait absolument récupérer le cuir du match, et je m’y étais engagé.

Lorsque mon assesseur m’a soufflé à l’oreille qu’il avait vu l’une des magnifiques pom pom girl filer dans les vestiaires avec l’objet du délit, je me suis précipité à ses trousses. En cette période de coupe du monde, l’ambiance était bon enfant pour ce tournoi amateur réunissant des équipes de plusieurs pays.

Tout le monde se prenait pour les plus grands internationaux et y allait de sa petite chorographie bien rodée après chaque but. Les participants comme les spectateurs avaient profité du week-end ensoleillé. Moi aussi !

Ma température corporelle avait grimpé en flèche à la vue du spectacle offert par les sublimes pom pom girls vêtues des maillots des équipes nationales. Lorsque je suis arrivé à bout de souffle dans les vestiaires, j’ai surpris la jolie brunette qui tentait de dissimuler le ballon dans un grand sac de sport.

La coquine tenait visiblement beaucoup à garder ce « trophée » ! En me découvrant à ses trousses, elle a dissimulé l’objet sous son maillot de l’équipe d’Argentine. Avec tact, j’ai tenté de faire comprendre à la miss que j’avais promis le ballon à un joueur de l’équipe victorieuse.

Mais la petite ne voulait rien savoir. Têtue comme une mule, elle refusait même les autres ballons qui traînaient dans les vestiaires, ne jurant que par celui qui se trouvait sous son maillot. A court d’arguments, j’ai tiré sur son T-shirt afin de récupérer ce que j’étais venu chercher…Sans bien comprendre pourquoi, j’ai moi aussi dissimulé le ballon dans mon…short !

Sans aucune gêne, la belle a tiré sur mon vêtement afin de reprendre son « bien », laissant par là même apparaître un bout de ma queue. Elle riait, s’amusait de la situation sans retenue.

J’avoue que son tempérament me laissait sans voix ! Incapable de lutter devant l’appétit de la demoiselle, je me suis laissé faire avec une certaine appréhension. Les vestiaires n’étaient pas vraiment le lieu propice pour profiter des charmes de miss Argentina !

Sans se soucier de ma gêne, la midinette a tiré sur l’élastique de mon short pour regarder ma queue. Son « Ay, qué bonito » était une invitation que je ne pouvais refuser ! Au diable la bonne tenue du corps arbitral ! L’homme en noir, pour ne pas prendre un carton rouge, devait répondre présent pour satisfaire cette bombe atomique prête à exploser, cette petite pile électrique branchée sur courant continu.

Bien décidé à tirer des pénalties au fond des cages personnelles de la demoiselle, j’ai enlevé son petit bout de tissu afin de goûter à son jus. A l’image du reste de son corps, l’abricot de la demoiselle était le fruit de la perfection même. Doux, rosé, avec un tout petit ticket de métro, aussi bien taillé que les jardins de Versailles.

Un délice ! Affamé, j’ai plongé mon visage tout entier entre ces cuisses à la peau si douce pour coller ma langue contre ce petit bout sorti de sa cachette. Sur ce petit bout de « pelouse » 100% naturel, j’ai longé les bords du terrain avant de revenir avec vigueur vers le rond central.

La brunette gesticulait comme un asticot sous les assauts. Les spasmes de son bas-ventre annonçaient le plaisir que je lui procurais. Gourmande, la coquine m’a retourné la politesse en se jetant sur ma queue tendue avec un entrain digne d’un attaquant avide de buts.

Sa main fermement agrippée à mon gourdin, elle s’est délectée à passer sa langue sur toute la surface de ma bite. Question pipe, la pom pom girl jouait plutôt dans le registre champion’s league que DH ! Une véritable experte ! Sa langue tournoyait autour de mon gland, me dévorait de haut en bas.

Sur le plan technique, la petite bombe jouait dans la cour des grandes. Elle y mettait tant d’entrain et de vigueur que j’ai dû la stopper dans son élan. Je l’ai invitée à venir s’empaler sur ma bite tendue à l’extrême après les coups de langue assassins de ma partenaire du jeu.

La coquine a engouffré mon poteau de corner, le happant tout entier au fond de son minou trempé. Là, nous sommes partis dans une pure chevauchée fantastique qui nous a conduits dans à peu près tous les recoins du vestiaire. Jamais je n’avais vu une nana avec un corps si parfait.

Un simple regard sur ses courbes était un appel au sexe. Son cul, aussi rond qu’un ballon, méritait à lui seul une coupe du monde.

Avec de tels arguments, l’équipe argentine avait toutes ses chances pour remporter un troisième titre !

Malgré la chaleur qui régnait dans les vestiaires, le terrain sur lequel je jouais était maintenant largement trempé. Chaque coup de queue que j’assenais à ma partenaire était ponctué d’un clapotis tout à fait délicieux.

Je m’amusais à m’enfoncer tout entier dans sa délicieuse petite chatte avant d’y rester quasiment sans bouger pendant quelques secondes, n’imprimant que des mouvements rotatifs du bassin. Ces « grands ponts » version sexuelle semblait être très appréciés par la miss qui gémissait de plus en plus bruyamment.

Je craignais que les bruits qui s’échappaient des vestiaires ne soient entendus par des joueurs. Imaginez un peu si l’arbitre officiel de la compétition se faisait prendre avec son sifflet dans une pom pom girl, cela aurait fait mauvais genre !

Ma charmante partenaire semblait, elle, se moquer totalement de notre aire de jeu. Très concentrée sur son plaisir, elle ne me laissait aucun répit et continuait à me chevaucher avec une frénésie qui mettait ma résistance à rude épreuve.

Les courses sur un terrain pendant une heure et demie, pas de problème, mais les va-et-vient de miss Argentina sur ma queue, c’était autre chose ! D’ailleurs, je ne m’étais jamais senti aussi proche de Maradona et de ses joueurs !

J’ai fermé les yeux, focalisant mon attention sur des actions du match afin de retenir encore un peu mon jus. Oui, je sais une telle méthode alors que l’on couche avec une nana si sublime, c’est un peu pathétique, mais bon, j’ai fais comme j’ai pu !

Je tentais par tous les moyens de m’octroyer du temps additionnel à cette partie, certainement l’un des plus beau matchs de ma carrière arbitrale.

Afin d’éviter que mon retard pour la remise de la coupe ne se fasse trop remarqué, j’ai calé mon gros sifflet intime dans la bouche de ma princesse brune avec la ferme intention de déverser l’intégralité de mon plaisir sur son si beau visage.

La bomba m’avait tant chauffé qu’elle n’a pas pû attendre bien longtemps avant que je ne décharge en abondance. Affamée de sperme, la coquine a tout avalé en se léchant les babines.

Mes jambes tremblaient tant le plaisir que je venais d’éprouver était intense.

Plutôt difficile après cela de ne pas accepter d’offrir à ma partenaire ce fameux ballon qu’elle convoitait tant…En revanche, lorsqu’elle m’a expliqué que son mec était celui qui avait inscrit les trois buts en finale, j’ai bien cru que j’allais avaler mon sifflet.

Cette troisième mi-temps resterait dans les anales du football, même si je n’ai pas visité, hélas, le petit trou de la miss ! A mon grand regret…