Et mes jambes, tu les aimes mes jambes ?

La rédaction 16 novembre 2018

Fadela a décidé de tenir compagnie au petit copain de sa sœur pendant que cette dernière s’en est allée faire du shopping. La délicieuse et dévergondée brunette en profitera pour pousser les présentations beaucoup plus loin que prévu…

Alexandre est le mec de ma sœur depuis 3 ans déjà. Je l’ai toujours trouvé extrêmement attirant, pour ne rien vous cacher. C’est un type barbu, bien bâti, un peu simple peut-être, mais très sensuel dans sa manière d’être, de se déplacer et même de me regarder.

Je ne sais pas si je me fais des films, mais j’ai très souvent eu l’impression que je lui plaisais et qu’il me regardait en douce. Après tout, je suis comme sa copine, en plus jeune et plus mince peut-être… Ce sont là des mauvaises pensées, mais je ne pouvais pas m’empêcher de me sentir flattée par ces œillades que je croyais percevoir quand ma frangine avait le dos tourné. Nous ne nous étions jamais vraiment parlé, lui et moi, mais je ressentais malgré tout comme une tension dans l’air.

Un samedi, ma sœur est partie faire du shopping tout seule et il se trouve que je devais passer chez elle ce jour-là. J’ai proposé de rester tenir compagnie à Alexandre pendant qu’elle serait dehors – l’occasion de « faire plus ample connaissance », selon ses propres mots.

Nous étions assis sur le canapé du salon et j’avais sur moi l’attirail parfait pour le challenger, sans l’avoir fait exprès. Un haut minuscule découvrait mon nombril et un mini-short laissait voir le tatouage que j’ai sur la cuisse.

On était assis et je voyais bien qu’il était troublé à mesure que nous parlions.

À un moment donné, nous avons commencé à parler de sexe et j’ai mis les pieds dans le plat en lui demandant s’il avait déjà fantasmé sur un plan à trois avec ma sœur et moi.

Il a rigolé, toujours gêné, mais je voyais bien que ça avait dû traverser son esprit pendant ses séances de branlette. De façon tout à fait inattendue, j’ai décidé de le tester et de le chauffer un peu.

J’ai relevé mon haut et j’ai découvert mes petits seins ronds et nus. Il a rougi mais n’a pas pu s’empêcher de les regarder. « Est-ce qu’ils ressemblent à ceux de ma sœur ? » j’ai demandé. « Tu ne veux pas t’approcher un peu plus près pour en juger ? » Alexandre a tendu la main.

Il avait franchi la barrière ; je savais désormais qu’il rêvait de me sauter. J’ai rabaissé mon haut et j’ai commencé à retirer mon short pour découvrir mon string noir. « Et mes jambes, tu les aimes mes jambes ? »

Fasciné, mon beau-frère m’a reluquée des pieds à la tête et s’est fait plus assuré. Il m’a ordonnée de me tourner. En souriant et en jouant la chaudasse docile, je lui ai présenté mon petit cul bien ferme. « C’est incroyable, a-t-il glissé. Tu es faite comme ta sœur mais ton petit cul est tellement fin… C’est très mal ce que tu fais là, tu sais ? »

Il a accompagné sa question d’une petite fessée bien placée qui m’a traversée d’une pointe douloureuse d’excitation dans la chatte et dans tout le bassin.

Il a ensuite agrippé mes fesses offertes de sa main musculeuse et a écarté mon string pour dégager ma minette. « T’es sûr de ce que tu fais ? » ai-je demandé en feignant l’effarouchement. « Tu l’as bien cherché petite salope, puisque toi aussi, visiblement, tu fantasmes sur moi, il faut bien qu’on relâche la pression tous les deux », a-t-il répondu avant de plonger dans ma fente humide.

Alexandre s’est mis à me lécher comme un pro. Comme ma sœur était chanceuse ! Il baladait sa langue sur ma vulve, mon clito, mes lèvres… Il était partout à la fois, répandant sa salive gourmande sur mes parties.

Mon excitation était à son comble et ses caresses me faisaient perdre la tête.

Le fait qu’il soit mon beau-frère ajoutait encore à ma folie. Je frissonnais d’adrénaline, de ce sentiment délicieux de faire un truc interdit et en même temps d’avoir cette langue folle sur la partie de mon corps la plus secrète… Comme je me trouvais à quatre pattes sur le canapé, ma chatte et mon cul étaient totalement à la merci de ses assauts.

Alexandre s’est d’ailleurs mis à me lécher le cul avec les mêmes coups de langue, tantôt énergiques, tantôt légers comme un titillement irrésistible.

Je gémissais de bonheur sous ce petit serpent de chair qui se contorsionnait contre mes deux trous.

Je me suis redressée et je me suis mise à le sucer pour lui montrer ma reconnaissance. J’ai planté mon regard dans ses yeux avec ce petit air coquin dont j’ai le secret et je l’ai sucé avec avidité et avec la même gourmandise qu’il avait mise à me lécher quelques instants plus tôt.

Il me regardait lui aussi avec la bouche entrouverte, hallucinant je pense, d’être dans la bouche de sa jeune belle-sœur, dont il avait reluqué les jambes et le petit cul à maintes reprises.

« Ah oui, c’est trop bon, tu ne diras rien hein ? » a-t-il demandé, en accompagnant ses mots de petits coups de reins pour mieux me baiser la bouche.

J’ai baladé ma langue sur son gland en faisant signe que « non, je ne dirai rien », avec la tête. J’étais en train de lui faire la pipe de sa vie, tout en me dandinant les fesses en arrière et en glissant de temps à autre ma propre main sur ma chatte pour continuer de m’exciter pendant que j’avalais sa belle queue. Ma sœur ne devait pas s’emmerder avec un engin pareil ! J’ai redoublé mes coulissements de bouche sur sa tige dressée et ferme.

Alexandre s’est débarrassé de mon string et m’a couchée sur le canapé face à lui. Il a écarté mes cuisses pour contempler ma petite chatte luisante et mes petits seins à nouveau découverts. J’avais toujours mes chaussures à talons aux pieds pour l’exciter encore plus. S’il avait pris l’habitude de sauter ma sœur tranquillement dans son lit, avec moi il avait l’aventure, la pleine lumière sur ma nudité et mes fringues sexy qui accentuaient mon côté petite pétasse super chaude.

Là, il a commencé à me pénétrer. Que c’était bon de l’avoir comme ça, me surplombant avec son torse, ses épaules et ses bras si bien bâtis qui me dominaient !

Il pouvait faire ce qu’il voulait de sa petite belle-sœur trempée de désir. Son chibre m’a remplie de luxure.

Je le sentais profondément en moi et il a pris son temps pour me fourrer, avant de donner des petits coups rapides et de me baiser en règle, en m’arrachant des petits cris aigus.

La position était idéale pour qu’il vienne bien buter dans ma chatte et je m’en régalais. Mon beau-frère m’agrippait sous les cuisses pour mieux s’enfoncer en moi et je sentais tout mon entrejambe et l’intérieur des cuisses frémir sous cette pression de ses mains pour mieux accueillir sa grosse queue tendue dans le creux de mon corps.

Il m’a redressée et retournée sur le canapé pour continuer son travail en levrette. Il a mis un genou sur le canapé pour me défoncer à quatre pattes, complètement soumise à cet homme dont j’avais seulement imaginé le sexe dans mes rêves les plus fous et les plus irréalisables. Il a poursuivi ses coups de reins dans cette position en m’attrapant les fesses pour mieux se défouler à l’intérieur de moi et il s’est mis à me baiser franchement, en me pénétrant avec vigueur et conviction.

J’étais sa chose, je me dissolvais sous ses coups de boutoir et c’était trop bon, j’en oubliais jusqu’à ma pauvre sœur qui ne devait se douter de rien en faisant son shopping tranquillement dans son coin.

J’ai continué à recevoir ses coups de queue ainsi, puis j’ai resserré les jambes et ai collé mes genoux pour le sentir encore mieux et avoir ma petite chatte bien serrée autour de sa bite délectable. Il m’a sautée encore de cette manière et je le sentais s’enfoncer dans mon fourreau, et ses couilles claquer contre mes fesses, c’était délicieux et je cambrais encore plus mon cul pour lui faire comprendre qu’il pouvait encore y aller plus fort tellement j’étais mouillée. J’adore ce moment où un mec me défonce avec sa queue dans ma chatte trempée, prête à subir tous les sévices, à avaler des kilomètres de bites !

On s’est retrouvés sur le tapis à poils longs du salon de ma sœur. J’ai grimpé sur Alexandre pour m’empaler sur lui. J’avais mes deux pieds chaussés de mes talons de chaque côté de lui et je pouvais ainsi encore mieux guider mes mouvements et m’enfoncer sur sa bite dressée vers le ciel.

Je me suis empalée sur lui dans plusieurs va-et-vient fermes.

Je le sentais me pénétrer sur toute la profondeur de mon vagin et je me laissais totalement aller. Mais il ne fallait pas non plus trop traîner avant le retour de ma sœur. J’accentuais alors mes propres coups de reins pour bien le sentir en moi et qu’il sente bien ma petite chatte serrée et jeune lui aussi. Qu’il profite, quoi !

Il m’a agrippée les fesses à nouveau pour mieux se frotter et mieux me faire coulisser sur sa queue. Je gémissais, mes cheveux étaient en bataille sur mes yeux, et je lui hurlais de me baiser mieux que ça, mieux que ma sœur, et mieux que quiconque.

J’ai repris la main et je me suis retournée pour m’empaler à nouveau sur lui, de dos, alors qu’il était toujours allongé. J’écartais les jambes à fond et redoublais les tractions pour sentir sa pénétration, pendant que lui me tenait par la taille pour accompagner mon mouvement. J’allais et venais comme cela pendant plusieurs minutes, à engloutir joyeusement son braquemart dans mon abricot.

Puis je me suis retirée pour le finir en le suçant et je me suis remise à genoux pour le regarder et qu’il n’oublie jamais ce regard, qu’il y pense même quand il sauterait ma sœur. J’ai donc plongé mes yeux dans les siens et, pendant que je le suçais, je me branlais en même temps, accroupie sur mes doigts agiles pour jouir en même temps que lui. Pendant que je le pompais fiévreusement, je continuais à m’astiquer le clito avec enthousiasme, toujours sans lâcher des yeux cet homme qui était devenu ma proie le temps d’un après-midi…

J’ai fini par éclater dans un orgasme puissant et sonore pendant qu’Alexandre me baisait la bouche.

Lui aussi a fini par éclater dans cette bouche offerte et grande ouverte pour recevoir son foutre, dont il a répandu le tout sur mon visage et mes seins dans un moment de total abandon.

Nous avons juste eu le temps de nous rhabiller et d’effacer les traces de nos méfaits que ma sœur était déjà de retour !

Je pense que ni lui ni moi n’oublierons jamais ce moment de complicité transgressive.

À retrouver sur notre plateforme VOD

Cette fois-ci c’est une trentenaire, une étudiante espagnole et une jeune secrétaire qui ont été accostées par notre « photographe-vidéaste maison », après quelques réticences elles se retrouveront vite à ses genoux et s’offriront à lui sans aucune retenue.

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La rédaction


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