Je t’aime, moi non plus !
17 mai 2015Maelle et Fred vivent un amour passionnel et, comme toute passion, cela fait des étincelles. Entre ces deux jeunes amants à fort caractère, les fréquentes disputes cèdent souvent la place à de longues étreintes. Ils nous racontent leur amour si particulier.
Fred et moi avons toujours entretenu une relation “je t’aime moi non plus”. Nous sommes passionnels, fusionnels même et, forcément, cela fait des étincelles. On s’aime, on se quitte, on se retrouve, on s’aime, on se déteste… Cela a toujours été notre mode de fonctionnement.
Ce jour-là, j’étais passée le voir avec une envie irrésistible de faire l’amour. Monsieur, lui, avait d’autres idées en tête et une partie de jeu vidéo en ligne avec des potes au programme.
Devant son refus de répondre à mes désirs, je me suis barrée tout habillée dans la salle de bain et je me suis calée dans la douche pour jouer avec le sublime gode que nous avions acheté ensemble dans un sex-shop parisien. J’enfouissais le bel objet entre mes chairs humides et je hurlais mon plaisir, en rajoutant volontairement afin d’aiguiser les sens de mon Fred qui ne savait jamais bien longtemps résister à mes appels.
Effectivement, mon doudou a vite dit adieu à sa partie en ligne pour venir me rejoindre. “Ah toi, quand tu as une idée en tête ou ailleurs…”, s’est-il exclamé en entrant dans la salle de bain. “Donne-moi ça, je vais t’aider, c’est quand même la moindre des choses !”
Joignant le geste à la parole, il a saisi le gros gode pour l’enfoncer profondément au fond de ma chatte ouverte. “Ouais, vas-y, défonce-moi bien, mets-le-moi tout profond, je veux que tu me fasses décoller comme une garce.” J’étais déjà super-chaude et j’espérais bien que mon Fred allait se décider à remplacer de sa queue l’objet orange qui coulissait en moi. Pour l’instant, c’était sa langue qui faisait des merveilles sur mon bouton d’amour gorgé de sang tant j’étais surexcitée. Depuis le temps que l’on se pratiquait tous les deux, il savait comment me faire jouir, contrairement à mes nombreux amants de passage. Fred et moi sommes pour l’interstron.ru libre. Je m’envoie en l’air avec d’autres mecs et lui avec d’autres nanas, et nous nous amusons même à nous filmer ou à nous prendre en photo pendant nos ébats “adultères” afin d’exciter toujours davantage notre curiosité mal placée. Cela donne souvent lieu à de fortes engueulades, mais également à des parties de baise torrides.
La bave de Fred dégoulinait sur ma chatte et se mêlait au jus qui coulait abondamment d’entre mes cuisses. Le coquin a saisi à nouveau le gros gode orange pour l’enfoncer d’un coup sec au fond de ma minette. “Oh oui, encore, ouiii, défonce-moi ! Fais-moi gueuler. Allez, oui, encore, oui, encore…” Je criais mon plaisir et je jouais naturellement sur le registre garce, registre qui avait, je le savais, le mérite de mettre mon amant dans tous ses états. D’ailleurs, Il continuait avec fougue ses va-et-vient en moi, tout en plaquant sa langue contre mon clito. Ce traitement me rendait folle.
“Tu vas peut-être t’occuper un peu de moi ?”, m’a dit soudain mon amoureux. Enfin, il était décidé à substituer son manche au gode. Fred a retiré prestement son short de boxe pour laisser apparaître sa verge encore molle. Il sait à quel point j’aime le prendre en bouche lorsqu’il est dans cet état. J’adore cette sensation de faire bander une queue entre me lèvres. Chienne comme je suis, j’ai craché sur sa bite mollassonne avant de l’engloutir. Mes petits coups de langue habile n’ont pas été longs à produire l’effet escompté. La tige de chair s’est mise à grossir dans ma bouche alors que mon Fred émettait de doux râles de plaisir. “Ah oui, continue, comme ça… Toi, on peut dire que tu es la reine de la pipe, une vraie cochonne. La vache, j’adore quand tu me fais bander comme ça !”
Mes talents buccaux avaient vite fait effet. La queue de Fred était désormais bien raide, prête à l’emploi. Connaissant ses goûts par cœur en matière de sexe, je lui ai mangé les couilles comme il aime tant. Elles étaient grosses, lourdes, pleines d’une semence dont je n’allais pas tarder à profiter. Je le branlais tout en lapant ses bourses. Il me regardait en commentant la scène. “Oui, lèche-moi bien les couilles, allez, petite garce, je vais te défoncer comme une chienne.” Mon bel étalon était très énervé. “Mets-toi contre le mur !”, m’a-t-il ordonné. Docile, j’ai pris position ! J’avais gardé mes talons et j’étais pile poil à la hauteur pour offrir ma croupe à cette queue tendue qui bandait pour moi.
Fred a écarté mon petit cul et m’a pénétrée d’un coup sec.La chaleur de sa bite changeait du gode ! C’était quand même largement plus agréable. Fred fixait son sexe qui disparaissait en moi. “Alors, le spectacle te plaît ? – Oh oui, t’es trop bonne, j’adore voir ton petit trou s’ouvrir à chacun de mes coups de queue !” Calée contre le mur, j’ai invité Fred à poursuivre ses coups de reins avec toujours plus de force. “Allez, cogne bien au fond, défonce-moi, je suis à toi, tout à toi, je suis ta petite garce, la seule que tu aimes vraiment baiser ! Et ta bite, je l’aime plus que tout ! – C’est vrai ? Je suis la queue que tu préfères ? Je te baise mieux que tous tes amants ? – Oh oui tu es le seul, le seul qui me fasse décoller à chaque fois. J’adore ta bite !” Et là, j’ai poussé mon petit cul en arrière pour bien me faire empaler. Le bruit de son engin qui coulissait en moi ajoutait à mon état d’excitation. Le floc floc m’indiquait que je mouillais énormément. Si j’étais tombée sur des amants de passage qui s’avéraient de bons coups pour une fin de soirée, aucun ne parvenait à me donner autant de plaisir que mon Fred.
Nous nous aimions, mais imaginer une vie à deux était tout bonnement impossible. Cela aurait vite tourné au cauchemar tant notre relation était enflammée. Même passer un week-end ensemble se soldait toujours par une engueulade et des larmes. Il n’y avait décidément que sur le registre du sexe que notre histoire collait à merveille.
Désormais assis dans le bac de douche, Fred était prêt à me recevoir. Je me suis empalée sur sa queue tendue et enduite de ma mouille. Je prends toujours plaisir à suivre le mouvement d’un sexe qui disparaît en moi, je trouve le spectacle super chaud. Je donnais de grands coups de bassin pour enfoncer cette bite en moi jusqu’à la garde. “Hum oui, comme ça, encore, baise-moi, baise-moi bien…” Et il fallait le dire, il me baisait bien ! Malgré nos prises de bec, nos coups de gueule réguliers et nos disputes au haut volume sonore, on s’adorait et, à l’horizontale, notre connivence était totale. Le souffle de Fred se faisait plus rapide, plus lourd. J’ai senti qu’il n’était pas loin d’exploser. J’ai caressé mon clitoris, et quelques coups de reins supplémentaires ont été suffisants pour me conduire à l’orgasme.
“Vas-y, encore, accélère, tu vas me faire jouir, oh oui, ça vient.” J’ai crié ma jouissance, tous mes muscles se contractant sur la queue bien raide. À peine le temps de récupérer que je me suis jetée comme une affamée sur l’objet qui m’avait donné tant de plaisir. J’ai gobé la tige de mon amant alors qu’il glissait ses doigts habiles dans ma chatte ouverte. Le liquide qui perlait déjà de son gland et que je dégustais annonçait une éjaculation proche. J’ai pressé sa tige pour retenir encore le sperme contenu dans ses couilles bien pleines. Enfin, reprenant mon rythme effréné, je l’ai masturbé devant mon visage, l’invitant à se laisser aller et me recouvrir de sa semence tiède.
Mes vœux n’ont pas mis longtemps à être exaucés. Deux jets puissants ont arrosé ma bouche et mes joues. Je fixais Fred du regard tout en lapant ce jus qui coulait sur moi. “T’es vraiment une garce, m’a-t-il lancé. – Et toi un sacré bon coup ! Dommage que tu sois aussi lourd parfois… – C’est l’hôpital qui se fout de la charité !” Et hop, notre relation “Je t’aime moi non plus” était repartie…