Marathon man
17 avril 2015Comme chaque jour, Tom effectue un footing en forêt afin de préparer son prochain marathon. Mais ce jour-là, le ravitaillement à mi-parcours prend des allures féeriques lorsque notre sportif croise les courbes sculpturales de sa correspondante allemande, Frida.
J’étais parti tôt ce matin-là pour profiter de la température encore clémente. En plus, j’avais promis à Frida, ma correspondante allemande, de revenir pas trop tard afin d’aller nous dorer la pilule sur la plage.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai entendu des pas résonner derrière moi alors que j’abordais le chemin du retour vers la maison. En tenue de parfaite petite joggeuse, Frida, le sourire aux lèvres, me rejoignait au pas de course. Ma correspondante blondinette avait une sacrée foulée ! Lorsqu’elle est passée à ma hauteur, j’ai déposé un petit bisou sur sa joue afin de la remercier de m’accompagner dans l’effort. La suite me semble, même aujourd’hui, un rêve dont, pourtant, j’ai été le principal acteur. Quelques instants seulement après m’avoir rejoint, Frida était allongée dans l’herbe à mes côtés.
Nous rigolions puis, naturellement, nos lèvres se sont jointes irrésistiblement. C’était un truc dingue. Bien sûr, ma correspondante ne me laissait pas indifférent, mais malgré tout, l’idée de coucher avec elle ne m’était pas passée par la tête. J’avais peur de gâcher cette bonne entente, cette amitié naissante entre nous. Le naturel dont elle faisait preuve me laissait sans voix. Les Françaises sont si hautaines parfois, et coucher avec un mec implique tant de choses que la légèreté avec laquelle Frida abordait le sexe me déstabilisait, dans le bon sens du terme.
Pour elle, les plaisirs de la chair ne paraissaient avoir aucune conséquence. On se plaisait, on avait envie l’un de l’autre, alors on faisait l’amour. La suite, il serait bien temps d’y penser ! Voilà un mode de fonctionnement qui, selon moi, manquait cruellement à mes compatriotes ! Les relations en auraient été, à mon sens, bien plus simples. Pour l’heure, je comptais bien améliorer mes aptitudes dans la langue de Goethe, Beethoven et consorts. Le corps de Frida était un bonbon, un bonbon sucré dont ma bouche profitait amplement et sous toutes les coutures. Alors que j’enlevais ses habits un à un, ma jolie correspondante me regardait en souriant, visiblement heureuse de la tournure que prenaient les événements. J’ai délicatement baissé son string pour faire apparaître son sexe lisse et doux. Bien vite, Frida s’est allongée pour me laisser déguster son entrecuisse.
La fragrance que dégageait son intimité était un régal de senteurs enivrantes. Ma langue est rapidement venue boire à la source le succulent nectar qui s’échappait de sa chatte glabre. Frida poussait des petits cris délicieux. Dans ce coin perdu et étant donné l’heure matinale, la belle Allemande pouvait se laisser aller à d’agréables et sonores vocalises. Nous étions seuls au monde !
Mes doigts prenaient maintenant possession de sa petite chatte qui, telle une fleur au printemps, s’ouvrait pour éclore. J’ai poussé mes doigts vers le haut de son vagin tout en prodiguant des coups de langue rapides sur son clitoris bien caché sous son capuchon. Les gémissements de ma belle partenaire se faisaient maintenant plus marqués, se mêlant au doux chant des oiseaux qui assistaient à nos ébats.
De mon point de vue, le sexe en extérieur a toujours quelque chose de magique. Sentir son corps ainsi caressé par les rayons du soleil, savourer la petite brise et imaginer des spectateurs invisibles susceptibles de profiter du spectacle… Tout cela ne faisait que renforcer mon excitation.Frida, tout comme moi, semblait vouer un véritable amour aux parties champêtres. Elle était totalement détendue, et je supputais qu’un voyeur ne l’aurait pas chagriné outre mesure. Cette fille était un volcan en éruption. Elle maintenait fermement ma tête sur son petit bouton et m’incitait à poursuivre le mouvement de mes doigts entre ses chairs, tout en m’invitant à accélérer la cadence.
Lorsque la bouche de Frida est venue enserrer mon gland, j’ai ressenti une vague de chaleur dans tout le corps. La demoiselle avait un talent de suceuse incroyable. Sa bouche était un puits sans fond dans lequel je prenais plaisir à me perdre corps et âme. La coquine bavait abondement, déposant sur mes couilles de longs filets de salive. Sa langue parcourait ma tige de haut en bas, tout en me branlant de sa main habile.
Ma résistance était mise à mal, et j’ai bien vite décidé de passer à la phase pénétration afin d’éviter un départ précipité dans la bouche de ma belle Allemande. Désormais aussi nue qu’une Ève d’outre-Rhin, Frida est venue me chevaucher, assénant de grands coups de reins pour enfoncer la totalité de ma tige dressée en elle. “Oh oui, encore !” La demoiselle faisait l’effort d’exprimer son plaisir dans la langue du pays dans lequel elle s’offrait. Si ce n’était pas la grande classe ! J’agrippais fermement ses hanches et suçotais avidement ses tétons dressés qui pointaient devant mes yeux ébahis.
Afin de varier les plaisirs, ma douce correspondante teutonne est venue se positionner devant moi. La petite cochonne me fixait droit dans les yeux alors que ma bite plongeait au fond de sa chatte trempée. Hum, elle savait y faire pour me combler ! D’un doigt expert, je titillais son clito gorgé de sang. Frida m’avait parlé vaguement d’un copain avec qui elle sortait depuis quelque temps, mais visiblement, l’air de notre beau pays lui avait donné des envies… Cette fille avait des désirs sexuels et elle les assumait pleinement.
À la maison, mes parents devaient commencer à s’inquiéter de notre absence prolongée. J’espérais qu’ils ne décideraient pas de partir à notre recherche car, pris par l’excitation, nous ne nous étions guère éloignés du chemin emprunté par les joggeurs du coin. Être découverts en pleine baise entre les cuisses de ma délicieuse correspondante n’aurait pas réellement été la meilleure chose pour aborder sereinement le reste du séjour. Frida, elle, semblait s’en foutre royalement. Elle était là, totalement nue, à s’emboîter sur mon sexe tout en gémissant, et le fait d’être surprise ne paraissait pas polluer son esprit, tout entier concentré sur son plaisir.
“Encore, so gut, tu baises moi encore, ja ! Oui, schneller, c’est très bon quoi tu fais !” Bon, la demoiselle avait besoin de parfaire un peu sa connaissance de notre langue, mais je comptais bien sur la semaine qu’il me restait à passer en sa compagnie pour développer son phrasé.
Au fond de moi, je sentais poindre la dernière ligne droite. J’ai donc voulu profiter des sublimes fesses de ma jolie Fraülein en lui offrant un ultime assaut en levrette. Son cul était une offrande, et j’aurais bien aimé visiter son petit trou afin de découvrir tous ses charmes, mais je l’avoue, pour cette première, je n’ai pas osé ! Malgré tout, je ne pouvais détourner mes yeux de cet œillet bien dilaté qui, visiblement, n’attendait que ma queue. Frida criait maintenant son plaisir, et mes coups de reins se faisaient plus forts, plus rapides aussi.
Tout à coup, elle s’est mise à vociférer dans sa langue natale, et j’ai compris que son orgasme arrivait à grands pas. J’ai donc passé la sixième pour lui offrir un aller simple vers le doux pays de la jouissance. Quelques instants plus tard, j’ai senti tous les muscles de ma partenaire se contracter. Son cri a dû s’entendre à des kilomètres à la ronde tant cela venait de l’intérieur. Alors que je m’apprêtais à me déverser sur ses fesses tendues, Frida s’est retournée pour me faire comprendre qu’elle souhaitait que j’éjacule sur sa poitrine. Bien décidé à ne pas contredire ma petite Allemande, je me suis mis debout devant elle et je me suis masturbé en la fixant droit dans les yeux.
Frida souriait, m’invitant à couvrir sa peau dorée par le soleil de mon jus blanchâtre. La coquine n’a pas dû attendre bien longtemps afin d’être comblée. Des jets visqueux se sont échappés de mon méat pour rejoindre le torse de Frida. Elle a regardé mon sperme couler le long de son corps, récoltant un peu de ma semence sur ses doigts pour les porter à sa bouche. “Hum, bon !”, s’est-elle exclamée le sourire aux lèvres. Effectivement, cela avait été très bon !
Le reste de la semaine a été ponctué de cours de langue tout à fait particuliers, principalement en forêt où Frida et moi avions pris l’habitude de nous adonner à l’amour en plein air. Je crois qu’elle a énormément progressé !