Paméla, un gros bonnet

La rédaction 11 juillet 2024

Paméla, pourvue d’une poitrine plus que généreuse, a trouvé le cadeau d’anniversaire idéal pour son amoureux, Oscar. Elle a convié une de ses amies, Milana, à une partie de sexe à trois. C’est dans la chambre d’amis que le couple va la rejoindre, elle, ses beaux yeux bleus et… son 105 F !

Cela faisait un moment que Paméla ourdissait son plan. Pour ce faire, elle avait contacté son amie Milana, une coquine qui n’avait pas froid aux yeux, très libre sexuellement, et aussi cochonne que bi.

Le jour des trente ans d’Oscar, son amoureux, elle l’avait fait venir chez eux et « cachée » dans le lit de la chambre d’amis. Cette dernière, simplement vêtue d’un string et d’un soutien-gorge noir coordonné en guise de bolduc, allait faire sensation pour le cadeau d’anniversaire de son homme. Sa poitrine avait tout pour plaire, deux énormes ballons lourds et fermes, assortis de beaux enjoliveurs rose pâle et très larges. Tout ce qui rendait fou son vicieux compagnon.

Après une coupe de champagne, Paméla prit donc la main d’Oscar et le guida, yeux fermés, vers la porte de la chambre où Milana patientait bien sagement, faisant semblant de dormir, son charmant visage tourné vers l’entrée, doucement éclairé par la lampe de la table de chevet.

Quand Oscar comprit la nature de son présent, son sang ne fit qu’un tour et gonfla son gros membre en une fraction de seconde. Paméla caressa sa lourde queue à travers l’épais tissu en denim, l’érection qu’elle sentit lui donna le sourire, c’était l’exacte réaction qu’elle attendait.

En quelques gestes précis, elle vint à bout des boutons de la braguette et en extrait la bite titanesque, enflée et palpitante de vie.

La belle au bois presque dormant se faufila alors hors du lit et jeta son dévolu, dans un premier temps, sur le chibre tenu d’une main ferme par Paméla qui le lui tendait tel un énorme cornet de glace.

Elle en astiqua d’abord le casque bien ferme, jouant avec sa langue sous toutes les courbes légèrement salées du gland, s’amusant à le mordiller, l’aspirer, le recracher à l’extérieur de ses lèvres pulpeuses.

La longue hampe veinée suivit juste après, dotée d’une gorge docile, la douce Milana n’eut aucun mal à s’enfoncer toute la baguette dans la bouche jusqu’à ce que son nez aquilin touche le pubis glabre d’un Oscar aux anges !

Ses bourses furent léchées dans les règles de l’art et son membre masturbé, sucé et cajolé pour qu’il affiche une érection aussi dure qu’un morceau d’acier trempé.

Mais les appétits de la belle invitée ne s’arrêtaient pas à son vit, la poitrine de Paméla eut, elle aussi, droit à son lot de caresses et de langue enjôleuse. Tandis que ses mamelons étaient ardemment tétés, elle roulait des pelles à son homme, lui-même perturbé par la branlette espagnole dans laquelle s’était lancée Milana.

Malgré ses énormes mamelles, le bout de la bite d’oscar réussissait à émerger de ce tsunami de chairs chaudes et moelleuses et son regard allait des lèvres de sa moitié aux formidables nichons qui le noyaient sous une avalanche de sensualité débridée tout en lui pompant l’extrémité du phallus.

Ces dames avaient également des attentes et des désirs cachés. Les deux girondes firent s’allonger leur mâle priapique. Ainsi couché sur le dos, il reçut les grâces au-dessus de son visage.

À tour de rôle il accueillit les chattes de sa femme et de sa comparse. Accroupies, seins contre seins, chacune lui donnait à déguster sa petite moule bien juteuse, la cyprine lui coulait dans la gorge, sur la face, jusque dans l’encolure de sa chemise dont il ne s’était toujours pas départie.

Les liqueurs étaient de saveurs différentes, l’une était très iodée et salée, celle de sa compagne, l’autre, un miel épais et sirupeux épicé et presque sucré, umami comme disent les habitants du pays du soleil levant. Les douces fentes liquides se chassaient mutuellement pour avoir leur lot de coups de langue et de bouche collée telle une ventouse qui aspirait leur motte impeccablement épilée.

Elles jouèrent à ce petit jeu jusqu’à ce que chacune jouisse de ces cunnilingus dirigés, se caressant les seins et se roulant des pelles au passage. Milana recommença alors son jeu préféré et vint de nouveau engloutir le pieu d’Oscar entre ses mamelles débordantes. Quelques va-et-vient sur le manche et la queue fut à nouveau à pleine capacité de bandaison. Elle n’avait plus qu’à se hisser au-dessus de son amant et conduire son vit gonflé d’orgueil vers l’orifice trempé de son vagin.

Les cuisses largement écartées, et sous les yeux très intéressés de Paméla, elle se laissa retomber lentement, le membre masculin coulissant en elle jusqu’à la garde. Oscar n’avait rien à faire, seulement regarder la belle danser et onduler, son sexe profondément fiché dans la moiteur serrée d’une moule soyeuse et lubrifiée à l’extrême. Sa femme était juste à côté, elle ne perdait pas une miette du spectacle et son excitation à le voir baiser par une autre fille ne faisait aucun doute.

Il glissa une main sur l’entrejambe, Pam ouvrit son joli con de ses pulpes pour lui faciliter l’accès, il y faufila un, deux puis enfin trois doigts.

La chatte était turgescente, la mouille coulait en abondance et son clitoris têtu saillait avec pugnacité de son capuchon protecteur.

Tout en accompagnant Milana, donnant des coups de reins francs et impulsifs afin d’introduire cette beauté slave au plus profond, il fouillait la grotte de sa compagne.

Ses phalanges en étaient douloureuses, il était à la limite de la crampe, mais continua son travail de forage méticuleusement, il savait que l’angle de sa pénétration était idéal pour déclencher la fontaine de sa femme. Celle-ci se matérialisa tout d’abord par un doux mascaret, un débordement liquide doublé de gémissements de plus en plus sonores, puis ce fut un jet, suivi de plusieurs autres. Les giclées inondèrent un oreiller et une partie du matelas.

L’orgasme fut profond, très long et délicieusement obscène, Paméla éructant, criant qu’elle jouissait tout en regardant les dernières cataractes s’écouler de son con encore ouvert. Cette envolée catalysa le désir de Milana qui s’échina, dans le prolongement de cette extase, à chevaucher sauvagement Oscar.

Il la soutenait par une fesse et l’accompagnait comme il pouvait dans cette course au firmament. Le corps en arrière, ses énormes seins ballottés de toute part, son bon fessier rebondissant en rythme sur le mât toujours dressé, elle s’immobilisa soudain, la bouche grande ouverte.

Le vagin écartelé se referma brusquement, parcouru de crispations de plus en plus rapides, une liqueur épaisse et légèrement blanchâtre s’échappa du con clos tel un étau sur la queue. Le frisson de pinacle sexuel était passé et la silhouette de Milana se mit à trembler tandis que le séisme s’éloignait lentement.

Oscar fut enfin libéré, désormais il allait pouvoir décider lui-même de la façon dont il voulait distribuer ses coups de reins. C’est sa conjointe qui, remise en première de son plaisir, s’allongea en cuillère et lui présenta son beau cul, un cul opulent et callipyge, un cul de femme épanouie, avec des formes. Un sein lourd dans une main, Milana se chargea de guider la bite pour que la pénétration soit le plus rapide possible.

Le gland butait de part et d’autre des lèvres, risquait à tout moment d’entrer par mégarde dans l’anus, elle s’installa donc entre les cuisses des amants imbriqués l’un dans l’autre et suça le pénis avant de le glisser dans le sillon rose et trempé.

Restant en place, elle décida de darder sa langue et d’agacer le scrotum et le petit trou d’Oscar qui, évidemment, apprécia l’initiative. Sentant que son interfessier avait tout l’intérêt de leur compagne de jeu, il souleva même sa jambe pour libérer l’accès à son œil de bronze.

L’anilinctus qui suivit le surprit autant qu’il le ravit, il se délecta de cette langue qui passait de ses couilles à son anneau, fouillant profondément ce dernier. L’épilation intime avait du bon, les sensations étaient décuplées par l’absence de pilosité dans cette vallée encaissée.

Mais Milana ne s’arrêta pas en si bon chemin, en effet, juste au-dessus de cet appétissant trois-pièces, se présentait la chatte gonflée et imberbe de Paméla.

Son amie ne lui avait jamais parlé de la possibilité de caresses lesbiennes entre elles, ni même qu’elle avait des penchants pour le beau sexe, mais l’occasion était trop tentante. Elle pourlécha donc la base de la queue, récoltant les sucs féminins par la même occasion et c’est tout naturellement qu’elle remonta en écartant les nymphes roses et gorgées de sang pour finir par atteindre son but, la sphère claire et nacrée du clitoris.

Paméla inclina immédiatement la tête pour regarder d’où provenait cette nouvelle sensation à la fois douce et inédite. Le visage de Milana était concentré, les paupières closes, elle lui lapait tout l’abricot, repoussant ses lèvres, décalottant le gland de son bourgeon, elle aspirait ce dernier ou lui donnait des à-coups comme le font les boxers avec un punching-ball. Sa perle était ainsi remontée et relâchée aussitôt, les mouvements lui conférant une vibration digne d’un sextoy.

Une femme, sans nul doute possible, connaissait parfaitement le corps et les réactions de ses congénères, elle appliquait exactement la bonne pression, adoptait le rythme idéal, ce qui la mena vers son deuxième orgasme de l’après-midi.

La découverte de ce cunnilingus entre femelles débloqua quelque chose et Paméla devait se remettre de ses émotions, elle offrit donc sa place à Milana qui obéit à la volonté d’Oscar en se positionnant en levrette. Ses énormes loches pendaient dans le vide, elles furent tout de suite cueillies, et ce fut un magnifique soixante-neuf mammaire entre ces dames qui se mit alors en branle.

Chacune des bouches des filles était pleine des tétons et des larges aréoles de l’autre, des bruits de succions mouillées s’envolaient dans la chambra, alimentant le désir d’Oscar qui, pour la première fois, apercevait, tout à sa disposition, la chatte baveuse de Milana ainsi que son petit trou qu’il comprit très rapidement comme étant friand de caresses et de pénétrations digitales.

C’est donc avec son pouce, généreusement enfoncé dans le cul de la belle, qu’il distribua des coups de boutoir de plus en plus volumineux. Empoignant sa proie par les hanches, lui laissant la chute de rein en-dehors du lit, libre à lui de lâcher ses bordées et ses assauts tout en travaillant l’anus et en balançant quelques bonnes fessées sur ces globes au blanc laiteux, parfait pour imprimer de magnifiques marques rouges et piquantes.

Les deux femmes ne manquaient pas d’imagination, la suite le prouva. On remit le pauvre Oscar en position de soumis, de nouveau allongé sur le lit, ce dernier devint leur faire-valoir, une espèce de boute-en-train dont elles pouvaient user et abuser sans vergogne !

On le chevaucha encore une fois, sa bite commençait à être douloureuse tant les frictions des chattes étaient intenses. Les filles jouaient entre elles désormais sans plus aucune pudeur, se caressant leurs énormes poitrines, s’en servant comme de sextoys improvisés afin d’agacer le clitoris de l’autre ou venant se les faire lécher par un Oscar au bord de l’apoplexie.

Voyant quelques signes de faiblesse au niveau de sa queue, une double fellation le remit en état très vite. Les lèvres des deux sensuelles le pompaient, aspirant son gland très fort pour provoquer l’afflux de sang dans ses corps caverneux.

Une fois bien raide, son vit fut de nouveau abandonné pour une énième séance de gouinage dans les règles de l’art. Prisonnier sous l’entremêlement de ses amantes, Oscar ne put regarder, comme il aurait adoré, sa compagne offrir la première minette de sa vie.

Un peu maladroite et timide au début, elle se libéra en goûtant l’ambroisie qui coulait dans sa gorge et, grande première, fit jouir une femme ! Milana partit en se lâchant totalement, laissant son cul écraser Oscar qui lui pinçait les tétons et les lui étirait vers le ciel.

Les bombes se scrutèrent et, d’un commun accord, décidèrent qu’il était temps de s’occuper de celui dont c’était, tout de même, l’anniversaire. Elles lui permirent donc de choisir ce qu’il voulait pour se laisser enfin aller. Il opta immédiatement pour une nouvelle pipe à deux bouches, ses deux amantes agenouillées de part et d’autre de lui pour pouvoir profiter comme il l’entendait de la vue et de l’accès à leurs nichons fabuleux.

Les gros seins étaient pour lui le nirvana et, pour le coups, il en avait quatre merveilleux à peloter au lieu de deux. L’avant-bras flanqué sous leur lourd fardeau, Milana et Paméla remontèrent leurs mappemondes afin de les mettre bien en valeur. Elles les bougeaient et les faisaient ballotter pour la plus grande excitation d’Oscar qui ne ratait rien du spectacle. Lorsqu’il annonça l’imminence de son éjaculation, les filles collèrent leurs nibards les uns contre les autres et reçurent les jets onctueux et au volume hors normes sur les dômes de chair.

Après s’être secoué vigoureusement la bite pour ne pas laisser une goutte de foutre sur son gland, Oscar se recula et assista au clou du show saphique improvisé.

Ses deux amantes se léchèrent minutieusement les nichons, récoltant toute sa crème dans leur bouche et sur leur langue, avant de se rouler une pelle d’enfer, dégustant ainsi en duo sa semence épaisse et sucrée.

Les trois amants étaient épuisés, collants de sueur, de sperme, de cyprine séchée, ils se caressèrent longtemps sous une douche brûlante.

La journée était loin d’être finie et après un bon restaurant, la fête pourrait se poursuivre toute la nuit, d’autant qu’il avait bien entendu Milana lorsqu’elle avait chuchoté ces quelques mots à son amie… « Tu crois qu’il voudra bien m’enculer ce soir, j’ai envie de sa grosse queue dans mon petit trou ». !

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