Quel pied !
17 avril 2015Pour son stage de fin d’études, Zineb a choisi une entreprise de courtiers. La plastique hors-norme de
la demoiselle va mettre le feu aux bourses du chef de service, qui n’aura d’yeux que pour ses jolis petons. Au pied !
A peine avais-je mis un pied dans cette société de courtiers pour mon stage de fin d’études que les yeux du chef de service se sont posés sur moi. Il faut dire que je passe rarement inaperçue !
Le type, trentenaire, semblait avoir eu un véritable coup de foudre pour mes pétons, qu’il ne cessait de reluquer dans mes petits escarpins à bouts ouverts.
Un soir, j’avais décidé de rester plus tard au bureau et de m’avancer sur mon rapport de stage, afin de pouvoir profiter du week-end. Alors que j’avais le nez plongé sur l’ordinateur, un bruit m’a fait lever la tête. Visiblement, le mignon chef de service avait lui aussi envie de faire des heures sup’. Provocante, j’ai ôté mes petits souliers pour poser mes pieds sur le bureau. J’ai alors senti que la température montait d’un cran. Arthur – c’était son nom – n’a pu s’empêcher de commenter la scène d’un : “Tu as vraiment des pieds divins !” Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais je me souviens avoir rétorqué un : “Ils auraient bien besoin d’un petit massage après tous ces kilomètres parcourus dans les étages !”
D’un bond, Arthur s’est levé et, d’une main tout d’abord mal assurée, a commencé à caresser mes pieds. Assez vite, sa langue a remplacé ses mains pour embrasser ma voûte plantaire. Une envie de sexe m’a parcouru tout le corps. Un homme à mes pieds, je n’allais quand même pas le refuser ! “Hum, continue, c’est trop bon !”, ai-je réclamé pour inciter Arthur à poursuivre son jeu de langue. Après quelques instants, je l’ai invité à ôter son pantalon pour libérer une queue que j’imaginais déjà largement à l’étroit dans son bas de costume. Lorsque le paquet a été délivré du caleçon, j’ai pu m’apercevoir qu’au-delà d’un physique tout à fait avenant, mon chef de service possédait un outil hors-norme, long et épais, comme je les aime.
Assise sur le bureau, plus rien ne comptait si ce n’était le plaisir que j’étais bien décidée à prendre là, tout de suite. Bien sûr, le fait qu’un collègue soucieux de faire du zèle à cette heure tardive puisse faire son entrée dans les locaux de la société ajoutait du piment à notre jeu. Arthur était marié, mais pour l’heure, ni lui ni moi ne nous en préoccupions. Langoureusement, j’ai passé mes pieds le long de son énorme tige de chair, récupérant sur mes orteils la petite goutte d’excitation qui, déjà, s’échappait de son méat. Encore une fois, mes charmes transportaient la gent masculine !
“Et ma bouche, tu veux la sentir ma bouche ? Tu as envie de sentir mes lèvres autour de ta belle queue ?”, ai-je déclamé. Pour toute réponse, Arthur a émis un râle qui ne laissait que peu de doutes sur ses envies du moment. Obéissante, je me suis agenouillée devant lui afin de le prendre en bouche. J’ai eu un peu de mal à enfourner son arme de combat, mais j’avoue que l’idée d’être ainsi remplie me laissait augurer du meilleur lorsque le bel objet se perdrait dans mes chairs… J’avais du mal à contenir un haut-le-cœur alors qu’Arthur poussait au maximum sa bite au fond de ma gorge. La bave, abondante, dégoulinait maintenant sur mon visage, ajoutant encore à l’excitation de la situation. Tout en pompant avidement son gros bout de chair, j’écartais largement les cuisses afin de lui montrer mon string trempé d’envie. “Allez, encore, continue, suce-moi bien. Enfourne-la bien au fond…” Déchaînée, je m’exécutais.
Me tenant fermement la tête, le beau chef de service se branlait maintenant avec fougue entre mes lèvres, me baisant la bouche. Pour accentuer encore le côté garce, je fixais du regard mon partenaire tout en le suçant avidement. “Alors, elle te convient la petite stagiaire ?”, ai-je demandé entre deux coups de langue. Pour toute réponse, Arthur a fermé les yeux et reversé la tête en arrière. Mes talents buccaux faisaient visiblement leur effet !
J’avais très envie que cette énorme queue vienne maintenant me découvrir en profondeur. Je me suis donc installée sur la chaise face au bureau, tendant ma croupe pour recevoir le bel objet. Après avoir ôté son pantalon et son caleçon, Arthur est venu frotter son gros gland contre ma chatte en eau. Je tressaillais à chacune des caresses de sa queue contre ma vulve et j’écartais largement les fesses pour lui faciliter l’accès. J’étais très excitée et, en même temps, anxieuse de recevoir en moi cette bite XXL.
Enfin, d’un coup sec, mon partenaire a plongé son engin au fond de ma minette. Il m’a pénétrée jusqu’à la garde, m’arrachant un cri de plaisir. Ses grosses bourses bien remplies qui claquaient maintenant contre ma chatte n’avaient rien à envier à celles sur lesquelles je m’exerçais toute la journée derrière mon ordinateur. J’encaissais les coups de queue de mon beau chef de service, l’invitant à poursuivre ses ruades dévastatrices. “Oui, comme ça, défonce-moi. Fais-moi crier comme une petite chienne. Claque bien tes couilles contre ma chatte. Encore, encore, ne t’arrête pas !”
Appliqué, Arthur suivait mes directives à la lettre. Il s’agrippait maintenant fermement à mes hanches pour une meilleure prise. “Alors, ça te chauffe de te faire baiser au bureau ?”, me demanda-t-il entre deux assauts. C’est vrai que la situation était pour le moins excitante. J’avais déjà donné dans les lieux incongrus avec mes mecs, mais le bureau s’avérait une grande première. “Allez, viens, viens t’asseoir sur ma queue”, m’a demandé Arthur. J’ai docilement quitté ma chaise pour m’empaler sur cet énorme pieu de chair. Les jambes relevées, je profitais de ces coups de bassin au rythme d’enfer. Inutile de vous dire qu’avec un tel traitement, je n’ai pas été longue à sentir la jouissance m’envahir. Tous mes muscles se sont contractés à l’extrême alors qu’un orgasme ravageur m’arrachait des cris de plaisir. Plaquant une main sur mon bas-ventre, Arthur a poursuivi ses assauts, emportant mes sens vers des contrées que je n’avais jusqu’alors que rarement visitées. Ce mec était un super courtier et un amant hors pair ! Je tremblais de partout.
Revenant à ses premières amours, mon chef de service m’a demandé une faveur : “Je peux gicler sur tes pieds ? Ils me font tant fantasmer !” Comment lui refuser ce petit plaisir après l’orgasme fulgurant qu’il venait de me procurer ? J’ai fait mon regard de biche apeurée, tout en tendant mes jolis petons à cette queue au bord de l’explosion. Arthur s’est masturbé tout en frottant son gland violacé sur mes doigts de pied. “Allez, viens, gicle dessus. J’ai envie de voir ton jus couler sur ma peau…” Peu enclin à me contredire, mon chef de service s’est bien vite vidé sur mes pieds, les recouvrant de jets blanchâtres.
Garce jusqu’au bout des ongles, j’ai profité de ma souplesse pour, sous les yeux médusés de mon partenaire, lécher ce sperme en le portant à la bouche. Encore une fois, les bourses n’avaient su me résister ! Le reste du stage fut ponctué de cours du soir qui me permirent de connaître parfaitement toutes les ficelles de mon roi Arthur.