Un tir à 3 points

La rédaction 25 mai 2015

Sur le playgroung de la cité, Julien révise ses gammes pour le match capital de samedi. En pleine séance de lancer franc, notre basketteur voit arriver la jolie Luce, la sœur du pivot de son équipe. Les tourtereaux vont poursuivre l’entraînement par un tout autre genre de tirs !

Comme tous les après-midi, j’étais passé sur le playground en bas de la cité pour faire quelques shoots et travailler mon lancer franc. On avait un match super-important samedi à domicile et je comptais bien sur cette rencontre pour que notre équipe creuse l’écart avec ses poursuivants. Lorsque j’ai vu arriver Luce, la sœur de notre pivot et meneuse de l’équipe féminine, j’ai cru qu’elle venait attendre son frère car sa tenue n’était pas vraiment adéquate pour travailler ses appuis ! Cela me faisait étrange de voir Luce car je craquais pour cette nana. Malheureusement, elle sortait avec un pote de son frère et moi, ce que je souhaitais avant tout, c’était éviter les ennuis dans l’équipe. Alors, lorsque Luce m’a dit : “C’est toi que je suis venue voir ! Tu ne veux pas qu’on aille faire un tour ?” J’ai vite réalisé que résister à une telle proposition était  tout simplement mission impossible ! Quand elle a dit : “Je connais un coin tranquille, pas loin…”, j’ai bien compris que la demoiselle savait ce qu’elle voulait et qu’un refus n’était pas envisageable. Je n’avais du reste pas trop envie de dire non…

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Nous sommes arrivés dans une petite clairière. Luce m’a regardé dans les yeux et m’a simplement demandé : “Tu me trouves comment ?” La question était simple mais alors, pour trouver une réponse adéquate, j’avoue que j’avais bien du mal à sortir le moindre son de ma bouche. Je me suis donc dit qu’au stade où nous en étions, un geste serait certainement la chose la plus expressive pour révéler à Luce l’attirance que j’avais pour elle. J’ai alors délicatement tiré sur sa petite robe pour laisser apparaître ses seins lourds sur lesquels j’avais si souvent fantasmé dans mes nuits agitées.

La belle s’est laissé faire et, bien vite, je suis descendu vers son fruit défendu. Écartant sa culotte, j’ai découvert un abricot divin. J’étais si impressionné par la situation et le savoir-faire de la jolie rouquine que, malgré ses efforts pour me faire bander en me caressant la queue, je n’ai pas tout de suite réussi à être au top. Luce n’a pas renoncé et a employé les grands moyens en faisant disparaître ma tige au fond de sa bouche. Là, elle s’est mise à gonfler entre ses lèvres alors que Luce me pompait en déglutissant de longs filets de bave sur ma tige désormais prête à l’emploi.

Derrière ses airs de petite fille sage, elle savait s’y prendre, et ses va-et-vient sur mon sexe étaient si divins que j’ai dû vite passer aux choses sérieuses, de peur que tout mon jus ne s’échappe prématurément au fond de sa gorge.

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Allongée sur l’herbe, sous ce soleil de fin d’après-midi, Luce m’a accueilli en elle, ouvrant largement ses cuisses pour recevoir ma queue tendue au fond de sa belle chatte trempée par l’excitation d’un ébat sur lequel, comme moi, elle avait dû souvent secrètement fantasmer. Ses gémissements me rendaient fous, son visage, son corps, ses seins majestueux, sa peau… Tout en cette fille inspirait le sexe. Nous n’étions qu’à quelques centaines de mètres de la cité, pas vraiment à découvert et je savais qu’à tout moment, un des mecs du coin pouvait arriver et nous griller. Pourtant, là, Luce et moi étions seuls au monde, simplement guidés par notre irrésistible envie de prendre du plaisir.

Bientôt, ma princesse s’est mise en levrette et, d’un air mutin, m’a fixé du regard pour me dire : “Et comme ça, tu aimes ?” Encore une fois, répondre par de simples mots m’a semblé tout à fait inutile.

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 Je me suis donc positionné derrière ma belle Luce et là, j’ai admiré son petit cul bombé, sa peau blanche, sa jolie chatte rose qui ne demandait qu’à engloutir ma queue.Quelque peu maladroit, j’ai guidé mon sexe au fond de ce puits du plaisir. Maladroit car, il faut bien l’avouer, entre les cours en première année de fac et la saison de basket, on ne pouvait pas dire que les demoiselles monopolisaient mon temps. J’avais bien entendu eu quelques aventures, mais jamais avec des filles comme Luce, sûres d’elles, expérimentées et belles à se damner. Alors, je faisais mon maximum pour parvenir à être le moins gauche possible et lui donner le plaisir qu’elle méritait.

Après avoir glissé ma bite entre les jam­bes de ma perle rousse, j’ai agrippé ses sublimes hanches pour lui offrir des va-et-vient que j’aurais souhaités plus rapides, plus forts. Mais ça m’était tout simplement impossible, sous peine d’un départ anticipé. “Oui, vas-y, humm, comme ça, c’est trop bon, baise-moi bien, encore, plus fort, défonce-moi bien…” Je crois que les mots lâchés par Luce ont malheureusement sonné le glas de ma résistance, je l’avoue, plutôt limitée. Jamais une fille ne m’avait parlé ainsi, ne m’avait excité autant…

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J’ai bien essayé de ralentir le mouvement, de m’arrêter quelques instants afin de tenter de repousser l’orgasme encore et encore, mais rien n’y faisait, mon degré d’excitation était arrivé à son comble. Alors, ma délicieuse créature s’est retournée pour déclarer : “Tu vas jouir, c’est pas grave. Attends, je vais m’occuper de toi !” Quelques allers-retours dans la bouche si chaude et accueillante de Luce, et j’ai expédié tout mon jus entre ses doigts de fée. Pas rancunière, Luce m’a souri et embrassé tendrement.

Depuis, nous nous voyons trois fois par semaine après l’entraînement. Je lui fais travailler son lancer franc, et elle me fait bosser mon endurance !

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