Un verre, du jus ?
19 septembre 2024Paul a convié Helena dans l’immense villa qu’il a louée à proximité de la mer à Ibiza, en hôte attentif au confort de son invitée, il l’a installée sur un transat moelleux, assorti à son maillot de bain et s’en est allé lui chercher un rafraîchissement, revenant au bord de la piscine avec un grand verre de jus, il va vite comprendre que la belle brune veut abreuver sa soif à une tout autre fontaine.
Helena était arrivée quelques minutes auparavant et s’était d’ores et déjà libérée de son paréo aux couleurs chaudes. Paul avait oublié à quel point les courbes de son amie étaient étourdissantes de perfection et de sensualité. Il en aurait presque omis les bases de la politesse et manqué à tous ses devoirs en termes d’hospitalité.
Il lui proposa donc d’aller lui chercher une boisson fraîche à la cuisine tandis qu’elle s’installait confortablement avant de piquer une tête dans l’onde bleue chauffée par le soleil espagnol. Elle n’avait jamais été totalement insensible à son charme latin sans pour autant avoir cédé à ses avances, mais la chaleur, les peaux à moitié nues, la gentillesse de ce beau mâle pourtant si macho habituellement la firent fondre. Sa libido était à l’image de l’astre solaire, au zénith.
Alors que Paul lui tendait la paille de son verre, elle fit mine de lui mordre le doigt, l’accueillant finalement doucement entre ses lèvres pour le sucer délicatement. Une main sur l’épaule musclée, elle caressait ce corps empli de testostérone et se liquéfia littéralement au contact de l’épiderme de cet amant providentiel.
Sa chatte ruisselait toujours beaucoup lorsqu’elle était au pinacle de l’excitation sexuelle, son maillot de bain absorba une partie de sa cyprine tandis que le reste lui coulait sur les cuisses et s’immisçait dans la raie de ses fesses pour noyer son anus qui pulsait déjà.
Paul se releva, attiré comme jamais par cette silhouette exquise.
Son amie aurait tout aussi bien pu être mannequin, entre sa taille fine, la beauté symétrique de ses traits et le galbe surréaliste de ses jambes interminables. Il vint derrière cette beauté pour lui masser les épaules, mais très vite, ses mains prirent le chemin de la poitrine ferme qui se cachait sous les bonnets de son haut de maillot de bain. Helena esquissa un geste pour le retenir, trop tard, ses nichons émergeaient des petits triangles de tissu et ses tétons pointaient déjà sous les caresses ciblées de Paul.
Tout en pelotant ces deux globes charnus et très fermes, ce dernier abaissa habilement la braguette de son short d’une main sûre pour en extraire une longue bite dont la hampe courbée donnait un air d’obélisque à son membre. Et c’est pubis rasé et pine au garde-à-vous qu’il abandonna son poste pour tenter sa chance avec la bouche d’Helena.
Celle-ci ne se fit pas prier, tête penchée et langue sortie, comme une petite chatte devant un bol de lait, elle releva ses lunettes pour retenir sa chevelure souple et pris le pénis en main. La tige était chaude, brûlante presque, le mât palpitait entre ses doigts. Elle lui intima quelques va-et-vient, observant attentivement le prépuce qui recouvrait le gland parfaitement dessiné avant de le recouvrir de la peau protectrice.
Après avoir joué quelques instants avec ce joystick coquin, elle porta le bout du pieu à sa bouche et entama une fellation torride.
Elle faisait coulisser lentement ses lèvres ourlées sur les mucosités de la couronne, laissait sa langue vibrante agacer le frein par en dessous puis avalait le tout en gémissant de plaisir. Salivant beaucoup, la pipe fut phénoménale de sensualité, acceptant profondément le vit dans sa gorge, Helena effleurait en même temps les grosses bourses gonflées.
La queue tremblait, tressautait, bondissait lorsqu’elle l’abandonnait à l’extérieur de sa cavité buccale, se raffermissait quand elle gobait de nouveau le dard au bord de l’explosion.
Paul savait que s’il la laissait faire, l’inévitable allait advenir, il s’arracha donc à contrecœur de sa posture passive et s’agenouilla entre les cuisses d’Helena qui ouvrit les jambes afin de recevoir, à son tour, les honneurs tout en léchages méticuleux de Paul.
D’un geste sûr il écarta le maillot de bain et découvrit une jolie petite chatte impeccablement épilée, bronzée intégralement et déjà toute poisseuse d’une mouille épaisse et odorante. Il respira cette fleur sous le regard souriant de sa maîtresse, observa les nymphes et le bourgeon qui émergeait timidement de sa cachette de chair. Il n’eut qu’à se pencher légèrement pour, enfin, goûter le fruit de sa quête.
Helena ne lui laissa pas la liberté de faire ce dont il avait envie ensuite. Emprisonnant les cheveux de son amant, elle le guida comme si elle le tenait par des rênes invisibles. D’étalon en puissance, Paul s’était mué en une sorte de cheval de trait qui allait là où la main le dirigeait, de gauche à droite, de haut en bas, très en bas, un peu frustré de ne pas avoir toute souveraineté de lécher la moule comme il le désirait.
Cependant, une lueur lubrique s’illumina au plus profond de sa libido, se faisait-il des idées ou sa langue était-elle orientée plus souvent qu’à son tour sur le petit trou de plus en plus ouvert ? Il ne rêvait pas, il en eut la certitude, lorsqu’Helena lui présenta son postérieur, fesses largement écartées, et qu’elle se laissa pogner l’abricot par deux doigts énervés tout en se faisant butiner la rondelle qui s’épanouissait au fur et à mesure que l’appendice de Paul s’insinuait dans le chat d’aiguille flexible et épicé.
Le cunnilingus et l’anilinctus durèrent un long moment, pour le plus grand plaisir du couple.
Elle, souple et sans aucun tabou, donnait tous ses orifices à déguster des yeux et du palais. Lui, cochon et gourmand, se repaissait des fragrances et des flaveurs qui suintaient des deux trous qu’il besognait sans relâche. Après avoir foré le vagin élastique et serré, il s’amusait maintenant à enfiler plusieurs phalanges de chaque côté de la fine paroi séparant la grotte moelleuse de l’étranglement du sphincter anal.
Paul s’affaira autant de temps qu’il le fallut, mais le résultat fut aussi gratifiant qu’explosif.
Helena jouit une première fois alors qu’il avait sa langue bien à plat sur le clitoris rose. Toujours en position de levrette, la naïade cambrait les reins au maximum, écartant ses deux globes fermes et charnus afin de permettre un accès total à sa féminité, les yeux clos, la raie disponible tout comme sa fente trempée.
Le second orgasme la foudroya tandis qu’elle se prenait des coups de boutoir toniques de la part des doigts de Paul. Le bras tatoué n’avait de cesse de pilonner cette chatte et ce cul imberbes, sortant des orifices entièrement pour mieux les réinvestir, de plus en plus puissamment, de plus en plus profondément.
La propriété était grande, elle put s’épancher en cris et en gémissements aussi sonores que libérateurs.
Mais l’appel de la pine était toujours là, grondant au fond de ses entrailles, lubrifiant ses conduits, faisant palpiter sa perle rose tout comme les bouts ultra-sensibles de ses seins.
L’urgence était impérative, elle voulait qu’il la prenne, qu’il la prenne fort, loin, fort ! Elle désirait que le mâle sauvage s’exprime et qu’il se lance à l’assaut de son corps, qu’il la baise, qu’il la bourre à grand renfort de coups de reins surpuissants, qu’il l’encule jusqu’à leur explosion à tous deux.
Paul fit rouler le bas du maillot jusque sous les genoux d’Helena, il releva ses jambes fuselées, serrées l’une contre l’autre. Le con, ainsi compressé, ressemblait un peu à un donut bien dodu. Il fouilla du bout du gland tout le long du sillon, agaçant la perle rose puis trouvant enfin l’accès qu’il cherchait. Assis face à face, il dut forcer sur sa bite dure comme du béton pour l’obliger à adopter un angle inhabituel et, alors, laissa ses hanches entamer de lents aller-retour dans cette chatte onctueuse tandis qu’Helena se suçait les doigts en l’observant la baiser méthodiquement.
Elle avait un regard de femme fatale qui rendait fou tous ses amants, il n’échappait pas à la règle. Son attention se portait du vagin, dans lequel sa colonne s’épanouissait, aux yeux de braise de cette femelle qui affichait clairement ses envies et assumait son penchant pour le sexe brut et sans pudeur infantile ! Le transat en osier grinçait, couinait et oscillait dangereusement, ce qui n’empêcha pas Paul de balancer des coups de reins dévastateurs qui arrachèrent de nouveaux hurlements à la fille qui l’accueillait au creux de son chaudron brûlant de désir.
La culotte finit par s’envoler, les seins aux aréoles brunes d’Helena sortaient encore du mini soutien-gorge assorti. La chaleur était accablante, mais leur partie de jambes en l’air n’en était qu’à mi-parcours, la promesse d’une sodomie aussi exaltante que libératrice tenait la queue de Paul, dure comme une barre d’acier.
Il avait envie de ce petit trou serré et si désireux de se faire dilater, lui qui, avec la taille de sa masculinité, n’avait pas toujours la porte ouverte lorsqu’il s’agissait de passer par derrière.
Une petite tape sur le bombé et sa partenaire comprit immédiatement qu’il était temps de changer de position, cela tombait bien, la levrette était une de ses variantes favorites dans le sexe. Aussitôt demandée, aussitôt obtenue, Helena se redressa et, prenant appui sur un de ses coudes, elle présenta son postérieur renflé tout en écartant ses fesses de sa main libre.
La piscine, les palmiers, un vent léger et là, juste en penchant la tête, s’ouvrait un paysage des plus déstabilisant, la vallée encaissée entre les globes charnus, et, au fond de cette gorge, l’anus et le vagin qui se faisaient concurrence !
Paul avait sous les yeux, en proposition sans limite, le choix du roi. Cette femme lui montrait tout, le désirait partout en elle et s’offrait sans la moindre timidité, laissant à Paul le soin de lui mettre sa queue là où il en avait envie.
Le chibre trouva son chemin du premier coup cette fois-ci, sans hésitation, sans tâtonnement, il s’enfila dans le conduit ouaté du tunnel, ses couilles gonflées de foutre allant s’aplatir contre le pubis de la déesse qui lui indiquait, une fois encore, que la route menant à son petit œillet était tout ce qu’il y avait de plus libre et à son entière disposition.
L’invitation était trop tentante, Paul suça son pouce afin de l’enduire de salive et lubrifia la corolle légèrement fripée, il répéta l’opération plusieurs fois tout en laissant sa queue faire son ouvrage dans le trou juste en dessous. Le membre s’enfonçait mollement dans la fente de plus en plus huileuse et s’en retirait avec la même lenteur.
Ce faux rythme mettait visiblement Helena dans tous ses états, elle feulait, gémissait et émettait toute sorte de sons qui signaient sa satisfaction. Les borborygmes gagnèrent de l’ampleur au fur et à mesure que le doigt de son amant lui forait l’œil de bronze. Bientôt ce dernier sombra entièrement dans l’anus dompté, la paume bien plaquée sur les reins, la double incursion pouvait s’épanouir.
Helena eut un troisième orgasme, être pénétrée par ses deux portes secrètes était la garantie, pour elle, de monter directement au septième ciel. Elle jouissait toujours très fort quand elle recevait ses compagnons ou, à défaut, un sextoy dans les fesses.
Paul comprit très vite qu’il allait devoir satisfaire la demoiselle avec quelque chose de plus épais que son pouce et, après l’avoir installée en cuillère pour la posséder encore quelques minutes par la chatte, il laissa de nouveau le soin à sa cavalière de prendre les choses en main et de guider son gland vers l’orée du petit trou désormais conciliant et prêt à accueillir le lourd manche qui bandait encore plus dur que tantôt.
Le nœud n’eut aucune difficulté à franchir le seuil du muscle serré, Helena poussa sur son sphincter, assouplissant l’anneau et permettant le passage en force du reste du mandrin aux veines saillantes.
le regard charbonneux d’Helena ne mentait pas sur son plaisir intense à se faire ainsi enculer. Encourageant son amant, elle se tournait régulièrement pour bien lui assurer qu’elle avait tout sauf mal et qu’il pouvait y aller franchement.
De coups de bite timides, la sodomie gagnât une tout autre dimension, le soutien-gorge s’envola et les hanches se relâchèrent, les bassins claquant l’un contre l’autre, le chibre s’enfonçant tel un piston au plus loin du fondement de la belle déchaînée.
Mais il en fallait encore plus à cette furie, désormais entièrement nue, ses seins au galbe parfait et au bronzage sans trace s’agitant sous le soleil implacable. Elle s’affranchit de l’étreinte masculine et prit le dessus, grimpant en équilibre sur le transat et s’empalant d’un coup d’un seul sur le pénis à l’endurance hors normes !
De deux doigts, elle écarta ses nymphes au maximum, libérant ainsi l’accès à son con mouillé et plein d’espoir d’être de nouveau investi. Elle se fourra l’index et le majeur tout au fond du vagin, sa paume s’appliquant bien à se plaquer tout contre son bourgeon.
Elle soulevait son derrière parfait tout en se masturbant comme une damnée, alternant les pénétrations, tantôt celle de la queue au fond de son petit trou, tantôt celle de ses phalanges allant agacer au plus précis son point G.
Cette nouvelle cavalcade eut exactement l’effet escompté, elle partit dans un ultime orgasme, celui-là la laissant totalement vide de toute énergie et déclenchant des contractions de son bas ventre jusqu’à son anus et à son utérus ! Sa cyprine coula en abondance sur les couilles de Paul qui fit comprendre à la belle que son moment était venu.
Comme montée sur ressort, Helena bondit, s’arrachant à la bite encore dure en elle et s’accroupit devant sa friandise préférée. Elle suça le gland, lécha la hampe, récoltant au passage sa mouille et ses sucs aux saveurs très fortes. Elle goûtait son sexe, elle goûtait son cul tout en malaxant les grosses bourses pleines du foutre dont elle avait une folle envie.
Les jambes de Paul se raidirent, sa respiration s’accéléra, la petite main aux ongles peints en fluo vint s’enrouler autour de la queue prête à cracher et ce fut l’explosion !
Un puissant jet de sperme fut expulsé du méat tandis que Paul laissait s’échapper un cri animal de sa gorge, les yeux fixés sur Helena qui ouvrait la bouche et sortait sa fine langue rose afin de butiner le plus de semence crémeuse possible.
Elle recueillit, avec ses doigts, l’éjaculat qu’elle n’avait pu capter, grande trace blanchâtre sur ses seins magnifiques, et avala le tout jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien.
Enfin, elle lécha le gland avec acharnement, bien décidée à ne pas perdre une goutte du précieux breuvage.