Saphiques Amours Mutuelles Urgentes
21 janvier 2025
Infirmière urgentiste, je travaille pour le SAMU depuis une dizaine d’années. J’ai vu défiler des patients avec les objets les plus saugrenus enfoncés dans le rectum ou le vagin, des dragueurs bien lourds, sans compter les collègues qui sont tous des queutards invétérés ! Cela dit, lorsqu’une garde est trop longue ou trop stressante, aller tirer un coup dans une chambre vide, cela soulage les tensions ! Voici mon histoire de sexe amateur.
Des préliminaires entre collègues
Un soir, dans la salle de repos, j’étais en train de remplir des formulaires lorsque Safia est entrée. Jeune diplômée, elle fait tourner toutes les têtes de l’hôpital avec son interminable chevelure brune et ses allures de mannequins. La conversation a vite dévié sur le sexe et, pour la première fois de ma vie, j’ai mouillé pour une femme. Safia me transperçait du regard, elle m’a tendu la main et m’a entraînée dans le parking. Nous nous sommes engouffrées dans sa voiture et nous sommes roulé pelle sur pelle tout en nous pelotant. Elle adorait mes seins visiblement, elle m’a demandé de les lui montrer tandis qu’elle prenait des photos avec son portable. J’ai été émue par ses compliments. Elle était douce, un des néons de la façade nous éclairait par intermittence et j’ai décidé d’être un peu plus proactive, moi aussi, j’ai effleuré sa poitrine, j’en tremblais tant j’étais retournée de caresser une femme.
Ses tétons se sont dressés sous mes attouchements puis elle a retiré sa culotte. Je ne me sentais pas tout à fait prête pour franchir cela comme çà, d’un coup, mais quand Safia a commencé à se masturber le minou et à en écarter les lèvres, lorsque j’ai vu son joli sillon rose et luisant de mouille et humé son parfum lourd et oriental, je n’ai pas pu résister et j’ai osé le palper. À l’instar mon propre sexe, c’était tout doux, chaud, l’orée du con était moelleuse et sensible, quant à la perle tendre qui ornait le tout tel un diadème, dès que je l’effleurais, Safia sursautait et gémissait. Je me suis donc enhardie et j’ai glissé un, deux, puis trois doigts dans la fente … hospitalière à plus d’un titre. C’était différent que dans ma grotte, plus granuleuse, plus serrée aussi, Safia n’est pas encore mère, mais qu’est-ce que c’était bon.
En plus du pic d’adrénaline déclenché par l’endroit où nous nous trouvions, nous pouvions être surprises à n’importe quel moment, j’avais, pour la première fois de ma vie, les phalanges plantées profondément dans un vagin qui n’était pas le mien ! J’ai imprimé des mouvements de va-et-vient à ma main, la cyprine coulait de plus en plus et lubrifiait à merveille mes pénétrations, j’ai failli la fister tellement elle se liquéfiait et mon auriculaire a, sans le faire exprès, passé les portes de son anus.

Cunnilingus et femme fontaine
Elle a gémi plus fort et m’a supplié de lui bouffer la chatte, mon cerveau était déconnecté, je me suis penchée dans un réflexe irréfléchi et ma langue a commencé à laper son minou délicieusement iodé et épicé. Finalement je suis sorti de son con serré et j’ai écarté ses nymphes pour aspirer son clito, elle a joui en criant dans la voiture. Enfin cela a été mon tour de me faire déguster la motte, je ne savais pas si je m’y étais bien pris pour ma part, en revanche, concernant Safia, ça n’était assurément pas son coup d’essai, dès que ses lèvres se sont posées sur ma craquette, j’ai senti que j’allais vivre une expérience folle.
Elle m’a caressé la vulve avec sa longue crinière, c’était d’une douceur incroyable, ma fente s’ouvrait et se gonflait, dans mon bas-ventre une boule de désir brûlante enflait. Une ventouse s’est appliquée sur mon sexe trempé de passion, la bouche de Safia me pompait tout l’abricot, insistait sur mon orifice vaginal, parfois sur mon clitoris qui bandait de plus en plus en fort. Pas un homme n’avait utilisé cette technique avec moi, c’était juste extraordinaire, comme si toute ma matrice subissait une expansion, cela m’échappait, je flottais dans un paradis de légèreté et de jouissance.
Safia m’a gardée longtemps sur le fil du rasoir, laissant refluer l’orgasme lorsqu’elle le sentait poindre, reprenant ses caresses pour le ramener sur le devant de la scène jusqu’à l’estocade finale, le planté profond de plusieurs doigts dans ma moule ouverte, elle les a agités au contact de la paroi avant de ma grotte et j’ai éjaculé ! Des jets se sont échappés de mon méat urinaire sans que je n’y puisse rien faire et ce liquide orgasmique a souillé le tissu des sièges en même temps que je criais, me débattais et regardais, émerveillée, les yeux de celle qui venait de me faire squirter pour la première fois de ma vie !
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