L’infirmière me faisait fantasmer
16 février 2023Je m’appelle Yves, j’ai 65 ans et j’ai récemment redécouvert ma sexualité avec une jeune femme. Cela peut paraître attendu, ou romancé, mais c’est la vérité. Ma sœur, qui a 76 ans, a des petits soucis de santé et une infirmière vient régulièrement la voir à domicile pour lui prodiguer des soins. Cette infirmière, c’est Paula. Elle a 32 ans, porte des pantalons serrés, est toute fluette et a de longs cheveux blonds. Elle m’a tout de suite plu. Je l’ai rencontrée alors que je rendais visite à mon aînée. Je l’ai observée en train de s’occuper d’elle et je l’ai trouvée très prévenante, très attentive et humaine. Nous l’avons invitée à prendre le café et elle est un peu restée pour discuter. Je n’arrivais pas à détourner mon regard d’elle. J’ai commencé à me débrouiller pour venir rendre visite à ma sœur quand Paula était présente et, à chaque fois, elle s’adressait à moi avec la même chaleur. Voici mon témoignage porno.
Isolés, à l’abri des regards
Un jour, alors qu’elle voulait repartir avec sa voiture, celle-ci ne voulait plus démarrer. Or elle avait un autre rendez-vous juste après avec quelqu’un qui avait besoin d’elle pour des piqûres. Je me suis proposé de l’y amener et de l’attendre pour la ramener ensuite chez nous, pendant que ma sœur appellerait un dépanneur. Je l’ai donc conduite avec mon véhicule chez son patient et l’ai attendue. Je pensais à elle, à ses cheveux clairs et à ses seins lourds sous ses pulls à col roulé. Elle est réapparue et s’est installée dans la voiture.
Nous avons filé à travers la campagne et elle m’a demandé de m’arrêter à un point de vue sur la vallée, isolé. Nous avons regardé la vue et c’est alors qu’elle s’est confiée à moi, sur les difficultés de son métier, le fait qu’elle n’avait pas le temps de rencontrer quelqu’un. C’est à ce moment-là qu’elle a posé sa main sur la mienne. Elle m’a dit que je la touchais et qu’elle aimait la façon dont je la regardais, et qu‘elle avait envie de moi, qu’elle avait envie de lâcher prise dans les bras de quelqu’un. J’étais abasourdi, bien sûr, et je me suis pincé la main quand nous nous sommes embrassés au-dessus du levier de vitesses. La jeune Paula a pris les devants et s’est mise à caresser ma nuque, mes cheveux, mon torse et ma cuisse.
Son désir se faisait pressant. Vous imaginez le mien… Elle a posé une main sur mon pantalon et a tâté mon érection tout en mettant sa langue dans ma bouche. Puis elle a dégagé mon sexe de son emprise après avoir déboutonné le vêtement. Elle s’est mise à me branler doucement, serrant délicatement le gland puis la longueur de ma queue, dans un geste très agréable qui l’a faite durcir encore davantage. J’étais déjà au septième ciel et je regardais son visage aux yeux fermés, si près du mien pendant que je l’embrassais. Nous sommes rapidement passés à l’arrière de la voiture et Paula a retiré son pantalon et relevé son pull pour que je découvre sa poitrine généreuse. Son corps était si sublime et plein de vie ! J’en ai embrassé chaque parcelle accessible à ma bouche.
La banquette humide
Puis j’ai caressé son sexe, j’ai glissé des doigts à l’intérieur pour les agiter un peu contre la paroi haute de son vagin, pendant que mon pouce excitait son clito. La belle se tortillait d’excitation. Ses jambes étaient très écartées de part et d’autre de son sexe et je pouvais voir la sève de son trou intime, les plis mignons de ses lèvres. Puis je me suis hissé sur elle pour me faufiler à l’intérieur, en prenant garde à ne pas l’écraser, car j’ai un ventre un peu lourd. Sa chatoune était un couloir humide et soyeux où se lover, comme recouvert de satin trempé. Ma queue allait et venait dans cet endroit magique, et la belle fermait toujours les yeux en gémissant – peut-être ne voulait-elle pas voir mon visage vieillissant.
Je la possédais sur la banquette arrière et je tâchais de lui donner toute l’attention et le plaisir dont j’étais capable. Mes fesses et mon corps bougeaient sur cette créature merveilleuse qui m’avait tendu la main et qui avait besoin d’être touchée, palpée. Je caressais ses seins qui bougeaient à mesure que nous baisions. Son plaisir était communicatif et l’étau délicieux de son minou autour de moi m’a amené à la jouissance. J’ai déchargé en elle dans un élan de délire et d’oubli. Nous nous sommes redressés sur la banquette et, comme elle n’avait pas joui, j’ai continué à la caresser avec mes doigts, alors que nos sexes humides étaient en train de tacher le tissu sous nos fesses. Là encore, Paula s’abandonnait, sa tête reposait sur l’appui-tête et ses jambes étaient grandes ouvertes pendant que ma main s’affairait entre ses cuisses.
Son ventre était soyeux, ses seins à demi-découverts pointaient et je pouvais les sucer de temps en temps pendant que je la branlais. J’ai fait des mouvements circulaires avec le bout des doigts sur son clito pendant quelques minutes, jusqu’à ce qu’elle se torde en un long spasme. Puis Paula m’a dit « merci » et nous nous sommes embrassés comme de jeunes gens amoureux sur cette banquette qui avait accueilli nos ébats. Ce moment est inoubliable et depuis, j’ai retrouvé une libido qui avait disparu et j’essaie à nouveau de rencontrer des femmes pour vivre pleinement ma sexualité.
A lire aussi :