Sea, sex and … sex !

La rédaction 26 septembre 2024

Léandra, 35 ans de Corse raconte son aventure de vacances avec son amant portugais bien équipé. L’été a été très chaud, exactement comme elle aime !

Mon programme d’été ? Des vagues et du sexe, du sexe encore toujours plus d’histoire de sexe amateur ! Je suis accroc aux plaisirs du corps, vraiment tous ! Et franchement, quoi de mieux que de se baigner entièrement nue puis de jouer à la bête à deux dos avec son ou sa partenaire ? Oui, pour ça également, je ne suis pas regardante, j’aime les hommes comme les femmes, quoique j’ai un petit faible pour les grosses bites !

Routine Cunni, fellation

Cet été-là, j’avais jeté mon dévolu sur Lucas, un franco-brésilien beau comme un dieu, pilosité entretenue, de grands yeux verts et une queue tout à fait apte à combler le moindre de mes désirs. Par chance, il était aussi doué avec son pénis qu’avec un appareil photo, cela m’a donné l’idée d’un sensuel diaporama de moi, de nous. Il m’a mitraillé de photos : mes hanches pleines, ce petit cul bombé, cette peau hâlée et … tous ces orifices à assouvir ! Mon métis d’amant n’a pas été déçu, ni du voyage ni de nos parties de jambes en l’air ! Cela commençait dès le matin, je le réveillais par une pipe, activité amplement facilitée par le fait que nous dormions entièrement nus et qu’il bandait comme un taureau en fin de nuit.

Après lui avoir bien essoré la colonne et vidé les couilles, il me léchait avec application jusqu’à ce que je jouisse à mon tour. Nous prenions ensuite notre petit déjeuner, allions courir sur la plage avant de nous jeter dans les vagues chaudes. Je me déshabillais alors, la peau brillante d’une myriade de perles d’eau, et j’adoptais des poses plus osées les unes que les autres, offrant à l’objectif de Lucas ma chatte gonflée, mon petit trou affamé et mes seins fermes aux tétons en érection. Après le déjeuner, sieste, crapuleuse, évidemment crapuleuse ! La chaleur faisait ruisseler nos corps, je prenais la queue lourde dans le défilé de mon décolleté et je suçais cette belle bite tout en la branlant entre mes poires satinées. Souvent nous finissions en soixante-neuf, moi étouffée par le gland qui se frayait un chemin jusqu’au fond de ma gorge, lui inondé par le jus généreux qui coulait sans discontinuer de ma chatte en ébullition.

Aventure sodomie

Bien qu’un chouya macho, comme beaucoup de ses congénères sud-américains, Lucas avait un faible pour la soumission, il adorait que je vienne m’empaler sur son gros pieu, en particulier de dos, afin qu’il puisse bien voir et interagir avec mes fesses et … l’orifice qu’elles dissimulent. Quand j’étais d’accord pour qu’il m’encule, c’est-à-dire tout le temps en vérité, je doigtais moi-même mon petit anneau caché, je taquinais son gland à travers la fine séparation et j’agaçais son frein pour sentir sa tige tressauter d’impatience. Lorsqu’il était chaud bouillant, je soulevais mes hanches et je le laissais orienter sa barre rigide vers l’œil sombre de mon derrière. Une simple poussée sur mon sphincter et l’objet de mon désir s’introduisait sans peine tout au fond de mon étroit tunnel.

Lucas tenait longtemps, jusqu’à ce que j’aie un orgasme, souvent si fort que j’en restais prostrée et tremblante un bon moment avant de pouvoir le satisfaire lui. Il a éjaculé sur moi quasiment trois fois par jour et je pense qu’il n’y a pas un centimètre carré de ma peau qui n’ait été recouvert par son jus crémeux, jusqu’à mon visage et mes cheveux, j’en ai même reçu une giclée dans l’oreille un soir ! Le soir, ah, le soir, nous descendions danser dans le club de l’hôtel. Malgré la chaleur, j’enfilais des bas et un porte-jarretelles, nous nous déhanchions jusqu’à pas d’heure, jusqu’à ce que des musiques caliente nous fassent nous rapprocher et que je sente son érection sur ma cuisse ou mes fesses. Nous remontions alors dans la chambre en quatrième vitesse.

Souvent j’arrivais devant notre porte déjà à moitié nue, je jouais alors avec l’huile qui perlait au gland de Lucas, dessinant des arabesques sur son méat et autour de sa couronne. Là, il me prenait comme un mâle, en levrette, face au miroir pour regarder mes seins gigoter au rythme de ses coups de boutoir. Il me baisait la chatte, me doigtait l’anus avec son pouce, je jouissais en râlant et il finissait systématiquement par me sodomiser en parlant en portugais jusqu’à ce qu’il se vide les couilles au fond de mon rectum dévasté ! C’est un de mes plus chauds souvenirs de vacances estivales, je me masturbe souvent en me repassant ces images, mais j’y pense, peut-être ai-je toujours les coordonnées du beau Lucas !?

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