Soirée shopping et chope-pine
25 mars 2019Carla, 35 ans, Toulouse.
Je suis une serial shoppeuse compulsive depuis bien longtemps. Mon péché mignon ? La lingerie ! Je peux perdre toute une après-midi à toucher du bout des doigts les culottes en dentelle et les nuisettes en soie fine. C’est simple, j’aime tout : les soutiens-gorge, les strings, les boxers, les bas, les porte-jarretelles. Pour moi, la femme française sait se mettre en valeur sous ses habits. Même si la lingerie je la porte avant tout pour moi, je sais qu’elle produit aussi son petit effet sur ces messieurs ! En particulier, j’ai eu la confirmation avec mon meilleur ami récemment.
Comme chaque vendredi de la semaine, j’avais rendez-vous avec Ben. Ben est gay, enfin, c’est ce que je pensais. Il vivait avec un homme, « son coloc avec bénéfices » comme il disait. Bref, il aimait se faire prendre par-derrière de façon sûre et certaine, et cela lui conférait des pouvoirs indéniables en goût stylistique. Sur le chemin, alors que j’étais en avance, j’ai voulu changer de route entre l’arrêt de bus et son appart, histoire de me promener un peu… Au bout d’une centaine de mètres, j’ai repéré une petite boutique adorable que je ne connaissais pas. Ni une ni deux, j’ai fait quelques emplettes et suis arrivée avec une bonne demi-heure de retard.
Quand j’ai vu Ben devant son verre de vin blanc à moitié vide me regarder avec des yeux assassins, j’ai su que j’allais devoir l’amadouer. « Mais mon grand, c’est pour la bonne cause », ai-je minaudé en lui montrant le sac rose plein à craquer. « Il y a vraiment de beaux ensembles près de chez toi ! » Et je lui ai sorti un à un tous les sous-vêtements que j’avais achetés. Ben m’a défiée de lui faire un défilé, et tout naturellement je me suis exécutée.
Nous sommes allés dans sa chambre, son coloc pouvait me surprendre d’une minute à l’autre dans cette tenue, et cela aurait été très gênant. J’ai d’abord enfilé l’ensemble rose en dentelle. Le vin commençait à me monter à la tête, et je me suis allongée sur le lit de Ben, en petite tenue. Nous échangions sur la nouvelle collection de cette année que nous jugions très pauvre et nous nous sommes accordés sur le manque de créativité de certaines grandes marques de prêt-à-porter. Ben me critiquait en rigolant sur mes grosses fesses, et je lui ai balancé le coussin à la figure.
De fil en aiguille, nous avons commencé à nous toucher puis à nous embrasser. Au bout de quelques minutes ce rapprochement soudain nous a un peu gêné, et je me suis éloignée pour essayer un nouvel ensemble. Un magnifique soutien-gorge léopard et son string assorti. « Qu’est-ce que tu es bandante, Carla ! » s’est ému Ben. Il était assis en caleçon, face à moi sur le lit, et je voyais – en effet – son sexe bander. Je l’ai déshabillé et ai commencé à le sucer goulûment. Mmmmh.
J’avais toujours pensé que seul un homme pouvait l’exciter, mais sur ce coup-là, il faut bien avouer que je me suis plantée ! Mon Ben était bisexuel, incroyable ! Pour me remercier de ma merveilleuse pipe, Ben est venu me doigter avec son majeur. On voyait qu’il n’avait pas vraiment l’habitude, il était un peu maladroit. Je massais son anus en même temps, en petits cercles concentriques. J’ai vu son visage s’illuminer. Il ne lui en fallait pas beaucoup manifestement. Il a rapidement enfoncé sa queue chaude dans mes entrailles, mes doigts étaient toujours collés à son postérieur. C’était la première fois que je m’apprêtais à sodomiser un mec et j’avais peur de ne pas savoir bien faire, mais tant pis, je lui ai quand même enfoncé deux doigts dans le cul. Ben a laissé échapper un énorme « mmmmmmmmh » de plaisir.
C’est à ce moment-là qu’on a entendu le coloc de Ben crier : « Chéri, tu t’es fait mal ? » On s’est regardés interloqués tous les deux : on ne l’avait pas du tout entendu entrer. Nous nous sommes rapidement rhabillés en rigolant et avons fait mine de sortir de la chambre le plus naturellement possible.
« Carla me montrait ses nouveaux achats ! Ils sont superbes ! » s’est-il exclamé avec une sincérité à couper le souffle.
Nous avons repris notre dîner à trois et avons partagé les derniers potins du moment. J’aimais bien le coloc de Ben, moi aussi. Je suis sûre qu’un jour, j’écrirai dans les pages de votre magazine notre joli plan à trois.
(Photo à la une : Getty Images)
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Dépucelé par ma best friend
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Coutant
47 ans après un peu de coke j’offre mon corps pour être dominé par plusieurs personnes qui me ferons tout leur désir en public