Sublime bonniche

La rédaction 13 avril 2019

Mélissa, 30 ans, Île-de-France.

Je travaille comme employée de maison, je suis ronde avec un beau cul. Un jour, j’étais en train de repasser du linge dans la cave d’un client. Je me tenais le dos tourné à la porte. Soudain, j’ai senti deux mains qui se posaient sur mes épaules et un souffle sur mon cou. J’ai été surprise ! Je croyais qu’il n’y avait personne dans la maison. En même temps, j’ai instantanément aimé cette situation étrange. Je me figurais que c’était une sorte de fantôme polisson… Mais le gros sexe qui se lovait contre la raie de mes fesses n’avait quant à lui rien de spectral.

Les mains sont descendues sur mon imposante poitrine et on m’a léché le cou. Des doigts inquisiteurs sont passés sous ma jupe, ont écarté mon string pour tâter ma chatte qui coulait déjà. J’en ai gémi de plaisir. Il m’a alors retournée face à lui et s’est présenté avec un sourire coquin : « Je m’appelle Luis, je suis un ami du propriétaire des lieux. J’ai très envie de vous, tout de suite. » Je lui ai répondu que son besoin pressant était tout à fait partagé.

Il a scellé mes lèvres avec les siennes et nous nous sommes roulé des grosses pelles bien gluantes. Ensuite, il a enlevé mon pull et a découvert mes énormes seins. J’ai commencé à trembler d’appréhension. Il a descendu ma jupe et s’est occupé de mon string. J’étais toute nue et ma grosse chatte poilue était en eau. À mon tour de le déshabiller. J’ai baissé son pantalon. Sa queue était longue et grosse, magnifique. Il a dirigé ma tête vers son gland épais et rose. J’ai ouvert très grand pour le prendre dans ma bouche. J’ai commencé à jouer avec, à la lécher, à la sucer, de plus en plus fort, comme une forcenée. Ses va-et-vient se sont accentués, et tout à coup, il m’a lâché une belle salve de sperme sur la langue. C’était chaud et gras, très riche, j’ai tout avalé.

Nous avons repris notre souffle et quelques minutes plus tard, il m’a assise sur une table et m’a écarté les jambes pour me lécher la chatte avec sa langue brûlante. Plus il s’approchait de mon clito, plus je criais comme une folle, possédée que j’étais par ce démon. Mon explosion approchait.

Et là, surprise, comme sur la scène d’un théâtre, le propriétaire a surgi dans la cave. Il était tout nu et tenait sa belle queue dans la main, il avait déjà passé une capote. « Je peux participer ? » s’est-il enquis. Il a écarté mon premier apollon sans ménagement, il a braqué son canon sur ma cramouille béante et il m’a pénétrée d’un coup sec. Pendant ce temps-là, l’autre s’est positionné de façon à ce que je puisse le pomper et il m’a collé un doigt dans le petit trou.

L’un pilonnait ma chatte et l’autre me préparait l’entrée des artistes. Il me mettait un, deux, puis trois doigts en me félicitant : « Quel beau cul tout de même, ah oui, la croupe de malheur, hmm, on va bien t’enculer, madame ! » Les va-et-vient du propriétaire étaient de plus en plus saccadés, pressés, fougueux, j’en criais des insanités ! Soudain, il s’est retiré, il a arraché le préservatif et s’est approché de ma bouche pour faire cracher son volcan. L’autre s’est fait recracher fissa pour laisser de nouveau sa place, et je me suis fait replâtrer le palais.

Sans perdre de temps, le premier a enfilé une capote et m’a mise en position pour la levrette. Il a commencé à me lécher le cul. Il m’a mis un doigt, puis deux, puis trois, il m’a bien ouverte en tirant sur la rosette. Il a présenté l’engin aux portes de l’enfer et il a poussé, doucement. Le chibre est bientôt entré en entier. L’autre s’est calé dans ma chatte avec un autre préservatif. Je les ai encouragés à m’éclater les orifices. Mon gros cul prenait cher. Les deux gars se sont mis à vraiment me pistonner à l’unisson, c’était incroyable, je n’avais jamais connu un truc pareil. Je lâchais des vagissements dignes d’une bête qui va à l’abattoir. Le délicieux supplice a duré dix bonnes minutes qui m’ont paru une éternité de plaisir. Suite à quoi, ils ont à nouveau retiré leurs capotes pour me jouir sur le visage. La livraison a été un peu moins copieuse que la première fois, mais il y en avait quand même une honorable quantité, j’en avais tout autour de la bouche et cela me coulait du menton.

J’ai nettoyé les deux bites avec l’application d’une bonne petite domestique d’autrefois. J’arrivais à fourrer les deux glands dans ma bouche, mais pas plus. Ils m’avaient tellement secouée dans tous les sens que je voyais des étoiles danser devant mes yeux.

Ils m’ont relevée. Le premier amant est parti s’allonger sur le canapé dans le salon et je ne l’ai plus revu. En revanche, le propriétaire s’est mis en tête de prendre une douche avec moi. J’étais plutôt partante… Nous avons fait couler l’eau très chaude dans leur grande douche à l’italienne. Il a nettoyé le sperme sur mon visage. Il était très doux maintenant. Il a massé mes seins avec le gel douche de sa femme. Cela sentait la petite fleur, je me sentais comme une princesse.

Sa main a commencé à coulisser entre mes lèvres intimes. Sa queue reprenait du volume, je la sentais contre ma cuisse. Selon le même principe que son acolyte, il m’a mis un doigt, puis deux, puis trois… Il s’est baissé et il a fait coulisser sa main lentement à l’intérieur. Il a fermé son poing. Je pouvais sentir chaque centimètre carré de mon intimité, la pression était monumentale. J’ai senti qu’il entamait des mouvements en moi. C’était un séisme. Je chavirais, je basculais dans un gouffre d’extase, je devenais folle, aveugle et sourde, le dos contre le carrelage, je me suis laissé glisser par terre. Il me fistait de plus en plus fort.

Dans mon délire, j’ai réussi à attraper sa tige qui était dure comme l’acier à présent. Je l’ai branlé comme une cinglée. Nous devenions très violents. J’ai joui comme jamais. Je croyais que j’allais m’évanouir. J’ai été réanimée par son membre qui est venu taper sur ma joue, une petite bifle amicale, rien de plus, mais ça m’a suffi. J’ai ouvert les yeux. Son gland cramoisi me regardait comme un serpent. Le venin allait être craché. Je l’ai massé énergiquement et le bonhomme a geint comme une pucelle en déchargeant sur mes lèvres. J’ai tout léché. J’étais contente.

Nous avons repris une douche, et je suis partie chez moi, tranquillement. Je leur ai juste laissé mon string, un petit souvenir malicieux : il était tombé par terre dans la cave… Je me demande bien qui le trouvera en premier… Un de mes deux jules ou la femme du propriétaire ?

(Photo à la une : Getty Images)

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