« Trop de la balle ! « 

La rédaction 2 mai 2019

Elias, 39 ans.

"Trop de la balle ! "

Comme il me reste encore quelques jours à tirer avant de pouvoir sortir du « Club Med » (je suis détenu depuis quelques années), je me suis dit que, pour tromper l’ennui, j’allais vous raconter une autre aventure qui m’est arrivée en mai 2009, à Annecy.

Avec deux copains, nous avions gagné une petite somme au tiercé. Mon pote Loulou, qui tenait un bar, m’a proposé de passer pour fêter ça et d’amener le troisième chanceux qu’on surnommait « Kojak ». On s’est installés à une table pour partager nos 300 euros et on s’est payé deux bouteilles. LJa faisait environ une heure qu’on était attablés quand une superbe nana genre Italienne, la trentaine, s’est assise avec nous. Elle s’appelait Véro et elle voulait faire la fête. Elle portait un petit pull moulant, une veste légère et un legging. Ses jambes étaient prises dans une résille « filet de pêche » et se terminaient par des escarpins sexy.

À€ un moment, elle a lancé dans ma direction : « Trop de la balle ! » Je ne comprenais pas, je lui ai demandé de répéter en déplaçant sa chaise. Dans un éclair, j’ai eu l’occasion de jeter un coup d’oeil à son entrejambe. Le collant se poursuivait bien par-là… Mais elle n’avait pas de petite culotte ! Au « culot » (justement !), je lui ai dit que je partais aux toilettes et qu’elle était libre de venir m’y rejoindre si ça la branchait. « Trop de la balle », a-t-elle susurré… Elle s’est engouffrée dans les cabinets quelques secondes seulement après moi, elle a poussé la porte et m’a coulé un regard de gourmande… avant de baisser mon jean. Elle avait faim, celle-là ! Elle a commencé à me toiletter la bite à grands coups de langue. Elle me léchait partout, des couilles au gland. J’ai cru qu’elle allait m’arracher la peau tellement elle était déchaînée ! Elle n’a même pas attendu que je lui titille son petit Boris : elle s’est directement tournée pour se faire prendre.

J’ai enfilé une capote, et elle m’a attrapé pour m’enfoncer au plus profond de sa chatte. C’est seulement là que j’ai compris : il y avait quand même une ouverture pour le trou du plaisir dans son filet de pêche ! Je l’ai baisée façon pirate contre le mur, en appliquant une fessée régulière sur son joli postérieur. Ce dernier n’a connu aucun répit pendant les quinze minutes de jouissance qui ont suivi en crescendo. Je l’ai défoncée, la petite ! Elle m’a laissé exploser dans sa bouche et a bu tout mon sperme. J’avais fini par la rassasier ! Elle a ensuite lavé mon sexe dans le lavabo des toilettes, puis nous sommes retournés trinquer avec les copains comme si de rien n’était à table, elle s’est assise juste à côté de moi, tout près, et j’ai pu caresser son petit Boris trempé.

Elle était mouillée, la cochonne, il lui en fallait encore ! Vingt minutes plus tard, nous sommes donc retournés aux toilettes après qu’elle m’a encore balancé : « Trop de la balle » (toujours ce mot bizarre !). Cette fois, elle ne voulait que me prendre dans son cul. Je l’ai sodomisée à lui en faire brûler le trou de balle. Une vraie nympho ! Elle me demandait de lui filer des coups de reins aussi forts que possible. Nous avons même dû utiliser deux capotes… La première avait craqué sous l’effort ! J’ai pu la ramener chez moi et la baiser encore une fois, cette nuit-là. J’ai pris un sacré pied, j’avais le visage enfoui entre ses jolis seins. Elle, elle n’arrêtait pas de répéter : « Trop de la balle, trop de la balle, trop de la balle… » Et je la bourrais, je la pistonnais.

Elle était super cette petite nana. J’ai même pu garder ses collants en souvenir ! Deux mois après, j’ai eu la chance de revoir ses belles jambes dans une nouvelle paire de collants filet de pêche… Je vous raconterai ça une prochaine fois !

(Image à la une : Getty Images)

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