Bar à vin(gt)

Comment vous parler de Louise en restant en même temps très concis ? C’est une petite blonde au corps de nymphette, à l’esprit joyeux qui adore la fête, la vie et les nouvelles rencontres. Louise était libertine avant que je la rencontre, elle adore les hommes, leur corps, leurs muscles, leur sexe. Elle ne m’a rien épargné de son passé lorsque nous apprenions à nous connaître et j’ai très vite été au parfum de ses envies coquines. Je n’avais pas exactement les mêmes, mais – que voulez-vous ? – la vie était tellement belle à ses côtés que je ne pouvais me résoudre à la quitter, surtout pour ce genre de critère.

Nous avons passé presque deux ans en vie « exclusive » (la pandémie mondiale a bien aidé !), ce qui nous a permis de mieux nous connaître et de renforcer notre complicité. Et puis, au bout d’un moment, j’ai senti que j’étais capable psychologiquement de passer un cap : je lui ai organisé son premier gang-bang. Je vous raconte notre histoire de sexe amateur !

J’organise un gang bang pour ma copine

Je ne lui ai rien dit, j’ai tout fait dans son dos, en sachant pertinemment que cette surprise lui ferait infiniment plaisir ! Le plus dur a été de trouver « le casting ». Comment faire ? J’ai posté quelques annonces sur internet, je voulais que les mecs soient bien épilés, en aient une grosse, et puis, se montrent très délicats.

J’ai reçu tout un tas de candidatures au mieux absurdes, parfois assez glauques – et finalement, j’ai eu « la » bonne idée ! Louise allait souvent dans un petit bar à vin assez haut de gamme, et les serveurs qui avaient entre 30 et 40 ans, la regardaient à chaque fois comme si c’était elle la plus belle bouteille du lieu. Ils étaient plutôt beaux, éduqués, et ils en pinçaient pour ma demoiselle. Je suis passé au bar pour leur soumettre l’idée du « gang-bang » et ils ont très vite été emballés ! Ils m’ont même trouvé le lieu : une sorte de bureau, ou de remise, où ils faisaient parfois des dégustations (mais souvent des siestes) entre deux services, la déco n’était pas incroyable mais il y avait un matelas et c’était toujours mieux que dans le lit conjugal. Nous avons très vite trouvé une date.

Il ne me manquait plus que la préparation de Louise (je lui ai acheté une magnifique lingerie en résille blanche, pour l’occasion), qui, impatiente, se demandait bien ce que je pouvais mijoter. Au début, elle a cru à une soirée en amoureux dans son bar à vin préféré. Elle a été ravie que tous ses serveurs soient présents, normalement, ils ne sont jamais aussi nombreux. Nous avons pris un verre, puis deux, puis une planche de fromage. Vers 23 heures, à la fermeture, les serveurs nous en emmenés dans les coulisses, soi-disant pour une « dégustation » secrète !

Soirée gang bang et candaulisme

Ma Louise était toute pompette, très euphorique, et commençait à être très excitée par la situation. Elle me prenait la main, touchait parfois mes fesses, m’embrassait dès qu’elle le pouvait. Une fois arrivés dans la « remise », nous nous sentions bien. Il faisait bon, ils avaient poussé le chauffage et ils avaient même mis un peu d’encens, alors, je l’ai foutue à poil, devant tout le monde, et je l’ai baisée ! Les serveurs ont joué le jeu, ils nous ont applaudi et se sont mis nus, eux aussi. Je me suis ensuite mis en retrait et j’ai regardé ma Louise s’offrir aux queues et aux bites impatientes qui attendaient leur tour. Je crois qu’elle a très vite compris que toute cette mise en scène était un coup monté et elle n’arrêtait pas de dire « merci, merci, merci ! » à la fois à mon endroit, et à destination des serveurs… qui pour le coup, ont réalisé un service quatre étoiles.

J’avais déjà imaginé ma Louise dans les bras d’autres hommes, mais je n’avais jamais imaginé à quel point elle y prendrait du plaisir et comment elle retrouverait, très facilement, ses réflexes d’antan. Elle caressait toutes les bites, une à une, les portait à sa bouche. Aucun homme n’est resté sur le carreau, elle avait une attention pour chacun d’entre eux. Et elle leur laissait un accès libre et bien ouvert à sa chatte, jambes en grand écart, avec une souplesse qui témoignait d’années d’entraînement.

Qu’est-ce qu’elle était belle ma Louise en reine des abeilles, entourée de ses dards ! Ils ont fini par lui gicler dessus, tous, un à un, sur ses seins, ses pieds et même son ventre. Ça l’a fait rire et les a tous embrassés, sur la bouche, avant qu’ils ne l’enveloppent dans une serviette humide et chaude qu’ils avaient préparée pour l’occasion. Ils ont été parfaits ! Ma Louise était aux anges. Et moi, je me disais que j’avais gagné une entrée gratuite pour une prochaine dégustation de vins…

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