Baisé par une Italienne

La rédaction 28 mai 2023

En vacances avec des amis, Fred, 18 ans va vivre une histoire de sexe mémorable. Il rencontre une Italienne qui est loin d’avoir froid aux yeux dès qu’il s’agit de rapport sexuel.

Je m’appelle Fred, j’ai 38 ans et j’aimerais partager mon histoire de sexe. Avant tout, il faut savoir que je suis un grand déconneur et un grand amateur de sexe. Je suis célibataire depuis 5 ans, et tout va très bien comme ça (même si ma famille adorerait me voir en couple, tant pis pour eux).

Des vacances à l’italienne

Tous les étés, je pars en vacances au mois de juin avec mes potes, on va faire du surf à la plage. Je ne suis pas un grand surfeur, mais j’y vais quand même, plus pour rigoler le soir dans une grande villa autour d’un jeu de cartes que pour crâner sur une planche. Un soir, ça a un peu dégénéré. Tony, «la grande gueule» de la bande a tenu à organiser des jeux d’argents. Le truc, c’est que l’on sait tous qu’il a entassé des dettes à droite et à gauche, en l’occurrence, il voulait miser des sommes assez importantes. Moi je n’ai pas voulu jouer, mais Guillaume et Bastien y sont allés. Résultat ? Ils se sont aperçus que Tony était en train de tricher, ils se sont insultés les uns avec les autres, et cela a foutu une ambiance de merde.

Le lendemain, je suis allé seul à la plage en leur disant que j’en avais marre de leurs gamineries. Je ne suis pas allé surfer, j’ai juste longé le bord de mer. C’était très agréable, le vent me décoiffait légèrement et le bruit des vagues m’enveloppait dans une douce mélodie. Tout d’un coup, j’ai vu une superbe blonde assise sur un banc qui mangeait une glace en fixant l’horizon le regard perdu.  À coup sûr, cela devait être une étrangère, il y en avait beaucoup sur cette partie de la côte.

Nous avons commencé à parler en anglais, avant que je ne me rende compte qu’elle était italienne et comme je parlais bien mieux l’italien que l’anglais nous avons continué la conversation dans sa langue natale. Elle m’a raconté qu’elle était venue avec une bande de potes mais qu’elle voulait s’isoler un peu, je lui ai dit que je vivais tout à fait la même chose et le courant est passé. Nous avons traîné le reste de l’après-midi ensemble, elle était très contente d’avoir trouvé un autochtone qui parlait aussi bien sa langue. Et moi, j’étais bien heureux de n’avoir raté aucun cours de langue à l’école et de ce stage à Milan en première année de licence qui m’a permis d’être autant à l’aise.

Une Italienne affamée

Comme le soleil était en train de se coucher et qu’il commençait à faire frais, je lui ai proposé de venir à la villa. Elle a accepté. J’ai envoyé un SMS à mes potes » Alerte à la bombe atomique ! Tout le monde sur la terrasse… »

C’était un code entre nous, quand un de nous quatre ramenait une fille, les autres restaient dehors pour respecter leur intimité. En une dizaine de minutes, nous étions arrivés. Je lui ai présenté mes potes, et lui ai offert une bière. Comme ils avaient du mal à communiquer avec elle, je l’ai vite emmenée à l’intérieur pour passer aux choses sérieuses. Tony, Guillaume et Bastien, fidèles à mon message, sont restés dehors pour jouer aux cartes. Une fois à l’intérieur, je n’ai pas eu besoin de plus d’explications pour avoir ce que je voulais, ma belle italienne se déshabillait déjà. Son corps était parfait. Son cul surtout était d’un arrondi si ferme et si relevé qu’il pouvait faire pâlir n’importe quel mannequin.

Cette femme était un appel au sexe. Elle est venue retirer mon tee-shirt et mon vieux bermuda en me regardant droit dans les yeux. Alors qu’elle était si joyeuse et légère quelques minutes auparavant, son attitude s’était littéralement métamorphosée. Elle voulait baiser, et son regard me pénétrait intensément comme une proie à dévorer. Je me suis assis sur le canapé en cuir, la laissant diriger la suite des opérations.

Elle est venue s’empaler sur moi en écartant bien les cuisses. Sa chatte glissait comme du beurre sur ma queue, avec une simplicité que je n’avais que rarement connu. En quelques mouvements, elle a réussi à me faire jouir. J’ai du m’excuser comme un gamin pris en faute. Elle m’a dit que ce n’était pas grave, a attendu quelques minutes à peine et a recommencé. Une vraie machine ! Mes potes sont quand même rentrés discrètement et ont pris quelques photos pour immortaliser ma baise.

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