Un bon petit soldat

La rédaction 17 mai 2019

Charles, 45 ans, militaire à la retraite.

Je suis divorcé depuis trois ans et fraîchement retraité de l’armée, à la recherche de nouvelles activités. Quand un ami m’a dit qu’il s’était mis à la généalogie, j’ai décidé d’en faire aussi mon hobby. Et pour commencer, je suis revenu dans la bourgade où j’ai grandi. Ma famille vient du Berry, un coin rural mais plein de charme. Je n’y avais pas remis les pieds depuis bientôt trente ans et j’ai été ravi de retrouver les routes boisées et la lumière du pays. Après être passé à la mairie récupérer les documents sur ma famille, j’ai voulu revoir mon ancienne maison et j’ai même osé sonner, par nostalgie et curiosité.

C’est une rouquine qui m’a ouvert. La petite quarantaine, menue et charmante, elle a eu l’air surprise quand elle m’a vu sur le perron. J’ai expliqué ce que je faisais là, espérant qu’elle n’allait pas me fermer la porte au nez. Mais au contraire, la demoiselle s’est tout de suite présentée : elle s’appelait Corinne et elle m’a invitée à prendre un café. Si la maison était à peu près la même de l’extérieur, l’intérieur n’avait plus rien à voir. Tant mieux, je pouvais me concentrer sur ma jolie hôtesse. Je me suis assis dans le salon et j’ai attendu qu’elle rapplique avec des tasses pleines. Nous avons commencé à papoter. Corinne était charmante, un peu timide quand je lui posais des questions sur sa vie, mais très souriante. Une femme simple, à mon goût…

J’ai vu son alliance, alors j’ai demandé où était son mari. Au travail, pendant qu’elle s’ennuyait à la maison. J’ai expliqué que je comprenais sa solitude étant divorcé. Quand Corinne m’a demandé pourquoi je n’étais plus avec mon ex-femme, j’ai tenté le tout pour le tout et en lançant : « Parce que sexuellement, ça n’était plus ça depuis des années. » Corinne a rougi. Je me suis excusé mais elle a poursuivi en bafouillant : « Mais comment ça… » J’ai compris qu’elle devait mener une existence bien ennuyeuse et que j’avais la chance de pouvoir devenir une distraction. Je l’ai saisie : « Et bien voyez-vous, j’avais envie d’elle, de la caresser, de l’embrasser partout. Mais pas elle. » Corinne s’est approchée de moi sur le canapé et a murmuré : « Caresser et embrasser… De quelle façon ? »

J’ai vu l’alliance briller à son doigt et j’ai pensé au pauvre bougre qui l’avait épousée. Après tout, il n’avait qu’à mieux s’occuper de sa femme ! J’ai enlacé Corinne et l’ai galochée comme un fou. Depuis mon divorce, j’avoue ne pas avoir été un grand séducteur… Embrasser cette rousse mutine m’a tout de suite mis au garde-à-vous, prêt à accomplir ma mission.

Corinne m’a dit d’une voix douce que nous devrions monter à l’étage. Je ne me suis pas fait prier. Une fois dans la chambre conjugale, je l’ai jetée sur le lit et j’ai dévoilé son corps tremblant. Pas vraiment le type de la femme adultère, la gueuse ! On sentait que c’était la première fois qu’elle faisait cocu son bonhomme tant elle était émue. J’ai enlevé sa culotte, désireux de voir sa chatoune dans la lumière de cet après-midi pour le moins surprenant. Une petite merveille velue qui sentait fort. J’ai mis la tête dedans sans hésiter, avide de ce parfum de femelle.

Tout de suite, Corinne a réagi par des petits cris qu’elle ne parvenait pas à contenir malgré ses efforts. On ne l’avait pas touchée depuis longtemps. Entre deux coups de langue, je lui ai dit comme elle était belle, comme son con avait bon goût. Elle a arrêté de retenir ses cris qui se sont changés en hurlements. Quand la rouquine m’a sucé, j’ai senti qu’elle avait oublié toutes ses inhibitions. De belles lampées sur ma queue dressée, du tortillage de cul façon chiennasse, de la salive qui coule en veux-tu, en voilà… Quand j’ai été au bord de jouir, je l’ai retournée et je lui ai massé la chatte et l’anus de mes doigts, histoire de calmer mes burnes en fusion. Puis je l’ai installée à genoux devant moi et je l’ai embrochée façon poulet.

Quelle vulve, vindieu ! Elle jutait comme une figue trop mûre, s’empalant volontairement contre mon pieu gonflé en poussant des râles de bête. Fini la petite épouse proprette, j’avais là une putain de première classe au bout du gland. Je l’ai achevée en la bourrant tout en lui enfonçant mon pouce dans le cul, et elle a joui si fort que j’ai cru que tout le patelin allait rappliquer.

J’ai fini par venir moi aussi. Pour m’aider, pas besoin de grand-chose : je me suis bien calé sur un genou et j’ai tendu l’autre jambe. Elle haletait dans les draps. J’ai fixé droit devant moi la photo sur la table de nuit : Corinne et son mari, tout sourire. Ah, le beau cocu, voilà que j’étais en train de bourrer la minette de sa femme ! J’y ai giclé le contenu de mes bourses, si pleines que le foutre est ressorti de chaque côté des lèvres rougies de Corinne.

Je suis reparti sans demander mon reste de ma vieille maison et du Berry. Pas vraiment un succès en matière de généalogie, mais une réussite au niveau gynécologie…

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire vous aimerez aussi…

« Merci Apollinaire ! »
« Faire à manger n’est pas synonyme de corvée… et la coquine Julie l’a bien compris ! Pour sortir son homme, Pascal, de cette corvée ennuyeuse, elle le déconcentre par une lecture très « hot » d’Apollinaire. Entre les pommes et le four brûlant, ça va chauffer dans la cuisine ! » 

Tempête de sensations
« Quelques heures plus tard, alors qu’il faisait nuit noire et que seul le phare et un bout de lune éclairaient les ténèbres, le vent s’est levé de nouveau. On se serait cru en pleine tornade, et personne n’osait bouger, de peur d’effrayer le groupe encore davantage. J’ai alors entraperçu, dans un rayon de lune, les yeux humides de ma jolie voisine. » Mathieu.

À retrouver sur notre plateforme VOD 

CONFESSIONS DE COUPLES N°11 – VIDÉO PORNO – interstron.ru


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru