Une belle moisson

La rédaction 6 mai 2020

Vivienne, 48 ans.

Tous les week-ends, je vais à la campagne dans les Yvelines, non loin d’un club hippique qui organise de nombreuses compétitions. J’adore les chevaux et la nature, et tout particulièrement en cette période de l’année, lorsque le soleil est bien chaud. J’en profite pour me balader et bronzer dans des lieux insolites. Alors que j’étais en voiture, avec la ferme intention de profiter du beau temps, mon véhicule se mit à faire des à-coups puis s’arrêta. Je me sentais bien bête, au milieu de nulle part, à côté de mon auto qui refusait de démarrer et sans aucun réseau. Au bout d’un certain temps, je vis trois hommes marcher dans ma direction. Mais d’où sortaient-ils ? Je leur demandai ce qu’ils faisaient là, et ils m’expliquèrent qu’ils étaient en pleine moisson lorsqu’ils m’avaient aperçue dans cette fâcheuse situation.

Ils me proposèrent leur aide, que j’acceptai volontiers, mais malgré tous leurs efforts, ma voiture ne redémarra pas. L’un deux proposa de me tracter jusqu’à la ferme où je pourrais appeler un dépanneur. Celui-ci ne devait pas arriver tout de suite, et je restais là-bas en attendant. Mais quelle chaleur écrasante ! Malgré mon chemisier et ma jupe légère, j’étais en sueur.

Mes seins collaient, et je n’avais nul besoin de faire un concours de tee-shirt mouillé : le tissu était déjà bien transparent. Je voyais les regards peu discrets de mes hôtes s’y attarder, et je les sentais chauds comme la braise. L’un d’eux me proposa gentiment d’aller prendre une douche. Un peu naïve, je leur demandai ce qu’ils allaient faire en attendant. « Eh bien nous allons la prendre avec vous si vous n’y voyez pas d’inconvénient… Mais en tout bien tout honneur, évidemment. » Pensez-vous ! Une fois à poil, ils avaient une gaule d’enfer. Je décidai de les remercier en leur faisant une pipe magistrale – eh oui, je suis une bonne salope ! J’aime la bite et le foutre, et mon mec ne s’occupe plus de moi depuis longtemps…

Les fermiers me prirent et me déposèrent sur un lit. Je sentis une main glisser entre mes jambes, c’était bon. Les mots salaces fusaient : « Regardez cette chienne de parisienne, elle en veut de la bite ! » J’avais justement un chibre dans chaque main et je continuais à les astiquer consciencieusement. L’un d’eux se plaça derrière moi et m’écarta les cuisses. Je sentis son gland me frôler avant de me pénétrer. Quelle chance d’être tombée en panne ! Un des hommes fit le constat amusé qu’ils avaient suffisamment de capotes pour me bourrer tout l’après-midi.

Il s’allongea à plat, dos sur le lit et m’invita à m’empaler sur sa lance. Je ne me fis pas prier. L’autre me demanda si j’avais déjà eu deux bites en moi, et je fis signe que non de la tête. Je ne pouvais pas parler, car un des fermiers me prenait la bouche tout en me tenant fermement par les cheveux. Je sentais son sexe tout au fond de ma gorge, tandis que les autres me défonçaient par devant et par derrière.

C’était bon, pour une première. Les hommes ont alors changé de place. La queue du plus gros était énorme et longue, c’était fabuleux ! Moi qui ne regarde que les beaux mecs, voilà de quoi réviser mon jugement… Car j’avais face à moi des mecs ordinaires, physiquement parlant, mais quelle baise ! L’affaire finit par prendre fin : ils devaient retourner aux champs. Ils me déposèrent au club hippique ou je devais retrouver des amis. Mais mon esprit était encore à nos ébats de l’après-midi. Je savais que je devrais retourner à la ferme pour récupérer ma voiture, et j’attendais ce moment avec impatience…

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La bonne récolte

« Elle m’a présenté rapidement le lieu, s’emmêlant les pinceaux au moment de me demander si je souhaitais boire quelque chose ou si je désirais grignoter un bout. J’ai relevé sa tête et je l’ai embrassé d’un coup. Je m’attendais à ce qu’elle retire sa bouche timidement, mais cette goulue m’a rendu une grosse pelle en retour. Un peu sous le choc de ce soudain aplomb, je me suis affalé sur son canapé.Elle est venue se jeter sur mon entrejambe pour en sortir ma queue. » Germain, 28 ans.

Dans la chaude campagne

« Elle a commencé sa lecture en se caressant la poitrine, et dieu merci, dans chaque histoire ou presque, il y a une fellation. Alors, elle m’a bien léché la queue, m’a sucé le gland et s’est enfoncé mon manche jusqu’au fond de la gorge… Se faire pomper aussi bien en conduisant devenait mission impossible. Alors, en traversant de petits chemins de campagne, j’ai trouvé assez rapidement un coin tranquille. » Loïc, 35 ans.


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