Une élève très douée

La rédaction 3 décembre 2019

Paul, 35 ans

Sandrine était élève en BTS, section « assistante de direction », et j’avais été son prof de maths en seconde. Je n’aurais jamais pensé la revoir un jour, et surtout pas dans ce club de gym de la banlieue ouest. Elle n’avait pas tellement changé, toujours un peu ronde, avec sa petite bouille adorable, ses taches de rousseur et ses cheveux au carré. Je l’ai aperçue de loin, alors que, en nage, je courais sur mon tapis. Elle était en train de suivre un cours de body combat, une sorte de boxe dans le vide, ce qui la faisait transpirer énormément. Loin de me dégoûter, ses larges auréoles sous les bras et entre les cuisses avaient plutôt tendance à m’exciter ! Je l’imaginais transpirer en baisant… avec moi, bien sûr. Nous devions avoir quinze ans de différence d’âge, et ça m’excitait aussi.

Je regardais ses seins ballotter au rythme des exercices, et je m’imaginais en train de les soupeser, de pincer leurs tétons, de passer ma langue entre ses deux globes ruisselants de sueur. Je visualisais ses doigts fouillant mes cheveux tandis que je me délectais de sa poitrine… J’avais du mal à garder la tête froide, c’était le moins que l’on puisse dire. Je continuais à courir sur place, et je me suis rendu compte tout à coup que je l’avais perdue de vue.

Soudain, j’ai entendu à côté de moi « Bonjour Anthony, comment ça va ? Vous permettez que je vous appelle Anthony ? » Là, une longue conversation s’est engagée. Nous avons discuté, parlé de nos vies, de mon boulot, de ses examens… Elle m’a confié qu’elle avait fêté son anniversaire une semaine avant. Je lui ai souhaité un bon anniversaire en retard, et je lui ai demandé si elle avait eu des cadeaux. Elle m’a répondu qu’on lui avait offert un ordinateur, mais qu’elle avait énormément de mal à comprendre le fonctionnement du système d’exploitation. C’est alors qu’elle a prononcé ces mots magiques : « Je me demandais si vous pourriez m’aider… » Bénissant Bill Gates, je me suis empressé d’accepter. Nous avons filé tous les deux dans nos vestiaires respectifs, puis nous nous sommes rendus dans son petit studio, à deux pas de la salle de sport.

Je me suis immédiatement installé devant l’ordinateur pendant qu’elle me servait un soda. Elle est venue s’asseoir à côté de moi. J’ai rapidement identifié le problème. Il suffisait simplement de télécharger une mise à jour. Ce que j’ai fait. Puis j’ai réinstallé le système d’exploitation, ce qui nous a laissé le temps de bavarder. Elle s’est confiée à moi sur un registre plus intime. Elle m’a dit qu’elle était célibataire depuis deux ans, et que ses études ne lui laissaient pas beaucoup de temps pour autre chose. Elle en avait presque les larmes aux yeux. Je me suis permis de lui demander si elle avait déjà couché avec un garçon, elle m’a dit que oui, deux fois, mais que cela faisait longtemps. Je l’ai prise dans mes bras. Elle s’est blottie contre moi, et je me suis mis à bander immédiatement. J’ai relevé sa tête vers mon visage et je l’ai embrassée doucement. Je savourais son haleine, sa salive, je léchais sa langue. C’était délicieux.

Avec une audace qui m’a surpris, elle a posé sa main sur la bosse de mon pantalon. Je l’ai laissée me déboutonner. Elle en a extrait ma queue impatiente, bandée à en faire mal, et a commencé à sucer. « C’est bon. Ça faisait tellement longtemps… Ça te plaît ? », m’a-t-elle demandé. Si ça me plaisait ? Quelle question ! Je voulais immortaliser ce moment, et je l’ai prise en photo avec mon téléphone. Elle s’en est aperçue, ne s’en est pas offusquée et m’a juste glissé, sans arrêter de s’affairer sur ma queue : « Cochon… » Elle faisait tourner sa langue sur mon gland, léchait la hampe de bas en haut, malaxait mes couilles… « Viens Tony, passons dans mon lit… » Nous nous sommes glissés entre les draps. Elle a repris sa fellation. Moi, j’ai repris une photo.

J’ai senti que ma jouissance était imminente. Je lui ai dit. Elle m’a demandé : « Tu veux que j’avale ? » J’ai hoché la tête. Elle a accéléré le rythme, j’ai lâché mon téléphone. J’ai joui à longs traits dans sa bouche. J’ai cru m’évanouir. Quand j’ai ouvert à nouveau les yeux, elle se léchait les doigts. « Mmm, délicieux !« , disait-elle. Comme je ne voulais pas la laisser en plan, je lui ai proposé de la lécher. Pour toute réponse, elle s’est mise à genoux sur le lit et a relevé sa robe. J’avais ses gros seins sous mes yeux, et je me suis empressé de les caresser, de les pincer et les tordre… Elle gémissait. Quand j’ai aventuré ma main plus bas, je me suis aperçu qu’elle mouillait énormément.

Elle est venue s’agenouiller au-dessus de mon visage et m’a donné sa chatte à lécher. J’ai commencé par la laper, puis j’ai enfoncé ma langue tout entière dans sa petite chatte mouillée. Elle coulait dans ma bouche. Je crois qu’elle a joui une première fois comme ça. Puis, j’ai joué avec mes doigts, glissant le pouce dans sa chatte tandis que mon index effleurait son anus. Je la sentais très réceptive de ce côté-là, alors je lui ai demandé si elle voulait un doigt dans le cul. Elle m’a juste dit : « Vas-y » Mouillant mon index de salive, je me suis mis à lui vriller le derrière.

Comme je la sentais s’ouvrir de plus en plus, j’ai remis le doigt odorant dans ma bouche pour le sucer à nouveau, ainsi qu’un autre… Mes deux doigts lui dilataient l’anus, lentement mais sûrement. Je me suis mis à rebander très dur, très vite. Elle se tendait, creusait les reins, de telle façon que j’ai compris ce qu’elle voulait. Elle s’est penchée vers la table de nuit pour prendre un préservatif (innocente mais prévoyante) et, à grand renfort de salive, elle a fait pénétrer ma queue dans son trou du cul. Elle se cambrait sur moi en murmurant : « Encule-moi, encore… Oh c’est la première fois que je fais ça… Comment j’ai pu passer à côté si longtemps ? Je suis ta petite salope… » Je l’ai enculée lentement, profondément, concentré sur mon gland qui sondait ses profondeurs, pendant que ses doigts caressaient sa chatte. Comme c’était bon de lui ramoner les fesses !

Au bout de quelques longues minutes, je me suis retiré pour enlever la capote et jouir sur mon ventre. Elle s’est caressé le clito jusqu’à l’orgasme et a léché le sperme sur ma peau. Quel délice ! Nous sommes allés prendre une douche ensemble. Depuis, nous ne nous sommes plus vraiment quittés.

(Image à la une : Getty Images)

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