Un fauteuil pour deux
16 février 2023Constance est très satisfaite de son dernier coup de cœur en ligne ; un bien beau fauteuil pour s’adonner à sa passion première, la lecture. Pour tester la résistance de son achat, la demoiselle va mettre à contribution son compagnon pour un remake version X du célèbre « Un fauteuil pour deux ». Action !
La lecture, quelle infinie source de plaisir ! Je peux passer des heures, plongée dans un polar, une aventure de science-fiction, une biographie ou tout autre ouvrage, classique ou contemporain, bien calée dans mon sofa.
Mais ce dernier, ayant subi les outrages du temps, n’a plus la même assise qu’avant. Aussi me suis-je résolue à m’offrir un beau fauteuil, bleu caeruleum, majestueux et confortable. Mais qu’en était-il de sa spaciosité ? Rien de mieux, pour le savoir, que d’appeler Venceslas à la rescousse, j’avais une petite idée coquine derrière la tête pour vérifier cela.
Cela tombait bien, mon amoureux sortait de la douche et ne portait qu’un simple peignoir blanc, sans aucun autre effet en dessous.Franchement, j’étais trop sexy avec ma jupe courte à carreaux, mon tom rouge sans soutien-gorge assorti à mon shorty !
Il ne pouvait pas me refuser une baise torride, et puis il fallait bien que nous baptisions ce fauteuil au velours plus qu’accueillant.
Je lui ai offert, en apéritif, un bon striptease dont j’ai le secret, j’ai taquiné Venceslas du bout du pied, jouant de mes orteils dans ses côtes afin de le pousser à réagir et à m’attraper.
Je suis alors montée sur le canapé rouge sang tout en me déhanchant, ma culotte commençait à coller à mon sexe tant mon excitation grimpait en flèche, c’en était trop pour mon homme qui a agrippé mes cuisses et a plaqué son visage contre mon entrejambe.
J’ai vu sa longue queue sortir l’extrémité de son gland par l’ouverture du peignoir, j’avais réussi mon coup, nous pouvions passer aux choses sérieuses.
J’ai enlevé le dernier rempart qui cachait ma féminité et pris la main de mon petit ami pour le faire asseoir dans ma nouvelle acquisition, nous allions pouvoir vérifier si ce siège était réellement un fauteuil pour deux !
Venceslas s’est à moitié allongé, sa belle bite à la couleur soutenue tendue vers moi. Je me suis agenouillée, servante docile et plus que consentante, et j’ai pu confirmer que mes talents de suceuse étaient toujours au firmament. J’enroule tout d’abord ma langue autour du fruit mûr, en penchant la tête et en sortant exagérément mon appendice afin que mon amant voie bien tout ce qui est en train de se passer.
D’une main, je guide la tige pour lui donner une certaine oblique, cela me permet ainsi de venir faire frotter le bout sensible contre l’intérieur de ma joue, Venceslas adore cela.
De l’autre, je chatouille son scrotum et joue avec ses bourses qui durcissent sous mes caresses expertes. Je m’amuse à faire levier avec son membre et je m’enthousiasme du bruit de bouchon quand il saute en dehors de ma bouche. Je le pompe bien, longtemps, j’ai toujours été excitée en prenant un homme entre mes lèvres.
Cela me transcende de sucer une belle verge, surtout si je la trouve flasque et que je la sens grossir au fur et à mesure de mes bons soins !
Autant dire que Venceslas, qui adore recevoir une gâterie, est ravi !Je lui taille des pipes tout le temps, aussi bien au réveil qu’au coucher ou encore en pleine journée lorsque l’on est ensemble, sans que nous ayons forcément un rapport sexuel complet, juste une sucette comme ça, de toute façon, Venceslas est inépuisable et bande sur commande, si j’ai envie de plus, je n’ai qu’à enlever ma culotte et c’est parti !
Mais pour ce baptême de mon beau fauteuil, je voulais la totale.
Après m’être finalement entièrement déshabillée, j’ai continué à le chauffer à blanc en dansant devant lui. Lascive, comme une tigresse en chaleur, je m’approchais puis m’éloignais, me penchant exagérément pour caresser ses jambes avec mes seins, lui présentant aussi mon petit cul ferme que j’ouvrais de plus en plus.
Il a commencé à se branler tout en me dévorant des yeux, il ne savait plus où les poser le pauvre, un coup sur mes nichons, un coup sur mes fesses ou encore sur ma chatte que j’exhibais outrageusement, en prenant bien soin d’étendre le papillon de mes nymphes avec mes doigts. J’ai cru qu’il allait me sauter dessus, mais la consigne était claire, aujourd’hui c’est moi qui étais à l’initiative et c’est moi qui allais le baiser.
J’ai continué un bon moment mon show, d’abord cela m’excite moi, ce qui est primordial tout de même et je connais mon amant, il allait me faire jouir de toutes ses forces quand je me déciderais à me donner à lui. J’ai ainsi poursuivi, me dandinant tout en me caressant partout.
Moi non plus je ne ratais pas une miette de son beau bras tatoué faisant aller et venir à un rythme hypnotique son prépuce sur son gland.
Venceslas sait que j’aime le regarder se branler, je ne me souviens pas d’où cela est né, mais voir un homme s’effleurer la queue me met la matrice en feu, je mouillais déjà comme une folle, mes doigts récoltaient mon miellat épais et se glissaient jusqu’à ma fente bordée de mes lèvres gonflées de désir. J’ai même osé m’aventurer vers des contrées qui ne sont pas mon ordinaire.
Mon majeur a frôlé mon anus et la main masculine s’est crispée un peu plus durement sur le manche, j’ai poussé mon avantage et j’ai repris mes assouplissements de danseuse, dégageant bien mon petit trou à quelques centimètres de mon unique spectateur, j’ai fait roder la pulpe de mon index sur la lisière rose et sensible avant de m’enculer avec lenteur.
Mon anneau était serré, mais élastique à la fois, j’ai bien cru que Venceslas allait éjaculer sur-le-champ tant son visage (et sa bite) était congestionné.
Il était temps de mettre fin au supplice pour lui et pour moi, je me suis relevée et j’ai reculé, dos au fauteuil, mes fesses ont été caressées puis malaxées, écartées et fouillées.
C’était aussi désordonné qu’excitant, ça rodait, ça me farfouillait, ça entrait de partout, un festival d’art manuel très agréable qui a eu comme résultat encore plus de mouille émise par mon vagin en feu et une lubrification toute trouvée pour la suite.
J’ai tortillé du popotin et j’ai laissé à Venceslas la délicate opération du guidage de son pieu bien en face de mon trou sirupeux. Lorsque j’ai senti le gland se loger dans mon cône intime, je me suis assise d’un coup, m’empalant jusqu’à la garde et me coupant le souffle tout net !
Une boule de bilboquet n’aurait pas mieux fait sur son manche en bois ! Mais cela n’était pas le moment de se prendre pour Henri III et puis, en l’occurrence, le vit commençait à bien remuer dans mon orifice et les premiers frémissements du plaisir naissaient dans ma matrice.
Il était temps de se concentrer, je m’étais entraînée des semaines à mon cours de danse du ventre, il allait voir ce qu’il allait voir ! J’ai amorcé mes ondulations, seul mon bassin bougeait et cela était suffisant pour faire aller et venir la bite de Venceslas en moi. Divin !
Il a totalement lâché toute velléité de se mouvoir et m’a confié la direction de ce premier opus. Je pouvais varier l’angle et la profondeur de la pénétration, me toucher le clito à loisir, j’ai joui en quelques minutes. Il faut dire que j’étais chaude comme la braise après mon teasing liminaire.
J’ai fini par m’écrouler sur Venceslas, j’étais toute molle après cette fulgurance, mon sexe coulait encore et mon vagin se calmait en soubresauts de moins en moins puissants. Mais mon homme n’avait pas éjaculé, lui.
J’étais comme une petite boule de coton, malléable et avide de m’imbiber de son jus. Il m’a donc fait changer de position et s’est mis sur moi. Je dois avouer que j’aime aussi beaucoup être ainsi dominée.
L’idée d’être une poupée toute légère dont on va faire ce qu’on veut me transporte.
Venceslas a de la ressource, je le sais, il est endurant et peut conserver son érection sans éjaculer très longtemps. C’est, pour moi, la garantie de profiter d’un don que je partage avec beaucoup de femmes, être multiorgasmique.
Mon fauteuil était confortable, j’étais bien, ainsi recroquevillée, pour recevoir ses coups de boutoir. Il a pris appui sur le dossier et un accoudoir, les pieds bien plantés dans le sol et la queue tout au fond de ma chatte. Mon clitoris était redevenu moins sensible (je ne peux pas le toucher après avoir joui) et le pubis glabre de mon amant est une feuille de soie, dans cette position, il a pu lancer la cavalerie à l’assaut de ma petite forteresse.
J’ai été pilonnée comme rarement, ma belle assise au velours moiré branlait en tous sens et reculait tant les coups de boutoir étaient denses et rapidement enchaînés.
J’ai remonté les jambes pour mieux recevoir cette queue aux attributs de marteau-piqueur tout au fond de moi, et comme toujours quand je suis dans cet état de sensualité extrême, j’ai demandé à Venceslas de s’occuper de mon cul.
C’est vraiment le petit truc magique pour me faire décoller une seconde fois, le combo bombardement de secousses de bites forcenées par devant et doigtage dans les règles par-derrière. Je l’ai vu sucer ses doigts puis les tremper à la mouille de ma fente tout abandonnée, il a remis son membre dans mon fourreau et s’est contorsionné pour atteindre mon anus qui s’agaçait d’attendre.
De son majeur et de son annulaire, il a ouvert la voie, je crois bien qu’il a réussi à glisser un troisième compagnon. Il appuyait contre la fine paroi et cela accentuait la pression de son gland contre mon point G.
Il a fallu que je le stoppe, j’allais gicler de partout et maculer mon beau fauteuil tout neuf. C’était hors de question.
C’est donc sur le canapé rouge que nous avons clos ce festival du cul ! Je me suis remise sur lui, histoire qu’il n’oublie pas que, pour cette fois, c’est moi qui menais les opérations.
Je l’ai tout de même invité à m’enculer de nouveau avec ses doigts encore tout poisseux de ma cyprine, j’ai joui encore une fois et j’ai pu libérer mes jets de plaisir sur mon homme !
J’étais pantelante après ce second ouragan, mes cuisses tremblaient, mon derrière et mon sexe résonnaient de cet orage qui avait submergé mes sens, mais je voulais finir en apothéose. Je me suis glissée aux pieds de Venceslas et je l’ai repris en bouche pour la dernière ligne droite, une pipe à laquelle je sais qu’il ne résistera pas.
J’ai avalé toute la queue pour que son gland touche le fond de ma gorge, ma langue est venue lécher ses couilles et je l’ai branlé ainsi, le gobant dans son entièreté régulièrement.
De mon autre main, je me suis masturbée jusqu’à ce qu’il entende les bruits humides en provenance de ma fente qui giclait en rythme sur le parquet à chaque fois que je fichais mes doigts en moi. Résultat ?
Une éjaculation fournie, comme je les aime, dans ma bouche. Je sais que ce n’est pas vrai, mais j’ai toujours eu plaisir à croire que plus un homme crachait un grand volume de sperme, plus je le faisais jouir.
Et Venceslas se pose là pour ce qui est de m’emplir de son foutre épais. Une crème lourde et chaude qui se répand sur ma peau, dans ma chatte, mon cul ou, en l’occurrence, sur ma langue et qui nappe mon palais.
J’ai tout avalé et nous sommes repartis nous doucher. Décidément, je suis ravie de mon achat !