Une queue comme sa plume

La rédaction 17 juin 2024

Stéphanie – 28 ans – Liège, se fait défoncer par un inconnu avec une sacrée queue. Elle jouit sans même se faire toucher tellement que la situation est torride.

En vraie sapiosexuelle, je suis attirée vers les hommes cultivés, quelques soit leur physique, beau ou moche, je m’en fiche, petite ou grosse queue aussi, ce que je veux c’est qu’on allume mon esprit. Il y a quelques mois, je reçois un SMS, mon correspondant se prénomme Daniel, nous avons un ami commun (qui est un de mes amants) et il aimerait beaucoup entretenir une relation épistolaire et coquine avec moi. Je me sens flattée, même pas inquiète, je lui envoie quelques défis d’écriture, il m’adresse des textes qui me font mouiller à tel point que je dois aller dans les toilettes de ma société pour me masturber. Évidemment, je finis par craquer et lui demande un rendez-vous « en présentiel ». Il accepte, mais impose le port d’un masque pour lui comme pour moi. Voici mon histoire de sexe.

Un inconnu avec une grosse queue !

Premiers frissons en présence de ce parfait inconnu, il soulève mon chandail rose pour mâter mes nichons et les tripoter du bout des doigts, il me pince les tétons, fort, à la limite de la douleur, mais c’est bon. Il trousse ma jupe et m’observe, comme on évalue une pouliche, il me claque les fesses et je sens ma chatte ruisseler sur le champ. Pas un mot n’est échangé jusqu’à ce qu’il me demande de lui tailler une plume, cela fait une éternité que je n’ai pas entendu cette expression pour dire une pipe. Cela m’émoustille encore davantage et je m’accroupis pour sortir son matériel. Il est plutôt bien équipé et sa bite hume la savonnette, cela me rassure. Il me prend en photo, il m’avait prévenu, cela fait partie de notre rencontre, il parsèmera nos rendez-vous de clichés, comme on jalonne un chemin.

Je le regarde, il m’impose de fixer l’objectif, je saisis son chibre en main, il est encore à moitié mou, mais pèse dans ma paume. C’est un joli jouet que j’accueille en bouche, la fellation est une de mes pratiques favorites. J’entrouvre les lèvres et je sors ma langue pour faire le tour du gland et agacer le frein. La queue réagit immédiatement et j’éprouve les corps caverneux qui se remplissent de sang, les rides du pieu s’effacent, l’érection prend de plus en plus d’ampleur et je finis par turluter un bon gros mât bien dur, sans oublier de lui lécher les couilles en bavant abondamment dessus.

Aux portes de la jouissance absolue

Pour cette première fois, il me laisse le pomper longtemps, il me caresse les cheveux, les joues, il frôle mes lobes d’oreilles et je trouve cela diablement érotique, puis il se livre à ce qui m’a le plus attiré chez lui, il me parle, évoquant des situations de plus en plus torrides. Mon con est inondé désormais, je sens mon clitoris sourdre entre mes cuisses. Une main se glisse sous ma jupe, ça bataille un moment pour écarter les pans de ma culotte, enfin il y arrive et effleure ma vulve. Épilée de frais, je l’autorise à toucher ma féminité partout, il se promène de gauche à droite, de haut en bas, il se fixe à l’entrée de ma chatte baveuse. Il entrouvre mes lèvres, fouille doucement, un doigt s’insinue dans mon vagin, frais et long, il me tripote pour ressortir et venir pointer sa pulpe pile sur mon clitoris. Il décrit des ronds qui me rendent folle, mais la pression n’est pas assez franche pour me mener au plaisir. Il stoppe ses caresses, retire sa main et m’ordonne de me lever afin de lui présenter mon cul. Il soulève ma jupe, place mon string de côté, il me la met en direct dans la chatte. C’est bon ! Je frémis tant ce geste impérieux est jouissif, il pose une paume sur ma hanche, m’écarte les pieds, je suis entièrement offerte à ses regards et à son vit.

Il commence à me baiser, très lentement, il prend le temps de bien mâter sa bite sortir de mon vagin, la réenfouie tout au fond de mon antre, de son pouce il me chatouille l’anus, lui aussi est trempé de ma mouille, mais il crache dessus et, avec sa salive, m’encule doucement. Sa voix grave m’impose de me cambrer davantage, il veut un angle particulier pour sa pénétration et ses photos. Je suis à sa merci, il lâche enfin son téléphone et me déglingue comme un dingue. Ses coups de reins me projettent en avant, l’intellect cède la place aux joies du corps. Il me baise à mort, claquant mes fesses, vrillant son pouce dans mon petit trou, je pars dans un orgasme dévastateur. Je crie, je secoue la tête, j’en pleure tellement c’est bon. Il sort sa longue queue et la fait coulisser entre mes globes, il grogne, me traite de belle salope, de catin sacrée, cela me plaît, je sens la hampe se raidir, il tire dessus et les jets crémeux s’écrasent sur ma raie et le sperme coule le long de mes orifices pour finir en goutte à goutte au bout de mon bourgeon, je jouis pour la seconde fois, sans même qu’il m’ait touchée.

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