Baisée grâce aux ongles

La rédaction 13 août 2022

Pour sa manucure Tania se rend dans un salon. Où elle seule avec un jeune homme qui s’occupe de ses ongles puis de son cul de MILF…

La femme phallique histoire de sexe

Bonjour moi c’est Tania, 34 ans, voici mon histoire de sexe. Je devais refaire ma manucure depuis longtemps et j’ai décidé de me rendre dans un nouveau salon. J’ai eu la surprise de constater que la personne qui allait me prendre en charge était un homme ! Ça ne m’était jamais arrivé de faire cela avec un mec. Il était bronzé, brun avec une tignasse épaisse et ondulée. Il était plus jeune que moi, dans sa vingtaine.

Femme fatale

Nous étions seuls dans le salon de beauté ce jour-là et il m’a soigneusement massé les doigts et limé les ongles. C’était très agréable et je ne pouvais détacher les yeux de ses mains qui dialoguaient avec les miennes, qui savaient si bien prendre soin de moi.

Je trouvais cela touchant et intime, de se faire faire les ongles par quelqu’un, qui plus est par un homme. Ce genre de moment favorise la conversation, on est très proches, mains dans les mains, on s’en remet à l’autre. Il a dû se sentir en confiance avec moi, car il s’est mis à se confier quand je lui ai demandé comment il en était venu à faire de la manucure.

Il m’a dit qu’il était nail artist, qu’il réalisait parfois de vraies œuvres d’art sur des ongles, et qu’il avait une fascination pour les mains des femmes. J’ai compris que c’était une fascination quasi sensuelle, voire sexuelle. Je lui ai demandé ce qu’il aimait le plus comme style d’ongles, et il m’a avoué que c’était très cliché, du genre vernis rouge flash sur des ongles longs à la Cruella. J’ai beaucoup aimé notre conversation et je me suis dis que j’allais revenir vite.

J’ai donc repris un rendez-vous en précisant le nom de la personne a qui je voulais confier mes mains. Et quand je suis arrivée, je lui ai demandé cette fameuse manucure rouge façon Cruella. Il a rigolé gentiment et j’ai vu qu’il était un peu troublé. On a passé toute l’heure à se séduire. C’est vrai qu’une fois que j’ai eu mes ongles rouges, je me suis sentie plus glamour et plus femme fatale que jamais. Ça m’a fait mouiller de savoir que ça l’excitait aussi. Il m’a proposé de le suivre dans sa salle de pause pour me préparer un café.

Attrapée puis baisée !

Nous nous sommes assis sur le canapé. Il a retiré son masque et c’était une bombe ! Sa collègue allait arriver dans une heure environ et je me suis dit que j’avais pile poil une bonne fenêtre de tir. Comme je suis du style “cash”, je me suis penchée sur lui pour l’embrasser. Il m’a rendu mon baiser et c’est devenu très chaud très vite. J’ai posé mes doigts laqués de rouge sur lui et effectivement, ça a eu l’air de lui faire beaucoup d’effet.

Il a pris une photo de mes mains sur son corps avec son téléphone, ce qui a aussi eu l’effet de me faire encore plus mouiller. Je l’ai déshabillé pour me mettre à le sucer. Il fixait mon visage, et il avait l’air au paradis. Sa verge durcie a glissé entre mes lèvres curieuses. C’était une pipe très sensuelle, tout en douceur. J’ai mis mes mains autour de son érection et il a encore pris une photo pour la montrer ensuite. On ne voyait pas mon visage, mais bien mes mains et mes ongles rouges, dans lesquels il puisait sa plus grande source d’excitation.

Je trouvais le petit jeu très sexy, donc je lui ai pris le téléphone pour faire à mon tour des photos de moi en train de lui tenir la queue avec mes griffes carmin.

Mes ongles rouges ressortaient sur le rose-violet de la chair de son gland. Le contraste était saisissant et excitant. J’aimais être cette femme qui prenait des photos chaudes avec un inconnu en jouant avec ses ongles de femme désirante, en pleine possession de sa sexualité. Je me suis entièrement dévêtue pour m’étendre sur le canapé. Il a posé son sexe sur mon corps, puis l’a promené sur mes seins et mon ventre tout en prenant des photos. C’était très doux et j’ai encore joué le jeu en posant à nouveau mes mains sur sa peau. C’était comme si on inventait un langage amoureux à deux.

J’étais de plus en plus excitée par cette situation que nous nous autorisions dans le salon de manucure, et je l’ai supplié de me prendre. Là, il a abandonné ses délires de fétichisme pour mes ongles et il m’a retournée sur le canapé pour me prendre en levrette, une levrette à la fois brutale et tendre, pour me remplir de toute sa vigueur et me faire ressentir toute l’excitation que je lui avais procurée, avec ma complicité pour son amour des ongles peints en rouge. Sa chair battait la mienne, il m’attrapait et me baisait et mon vagin était ce puit de plaisir qui recevait les coups de boutoir de ce manucure si mignon.

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