Ses mains sur ma gorge
13 juillet 2021Depuis quelques mois j’expérimente une nouvelle sensations, celle d’être entravée au niveau de la gorge. Rassurez-vous, pas d’évanouissement, mais ce sentiment vertigineux quand on presse légèrement au niveau du larynx au moment de jouir, qui me fait décoller. Je m’appelle Sara, j’ai 36 ans et voici mon histoire porno.
Les vertiges de l’excitation
L’autre jour, nous avons commencé une séance de chatouilles coquines avec Alain, et je portais un ruban de soie autour du cou car je sais qu’il aime me voir nue avec des colliers. Un bout du ruban tombait et Alain l’attrapait de temps à autre pour tirer légèrement dessus, tandis que nous nous embrassions. Nos langues se caressaient et s’entremêlaient pendant qu’il me tenait avec ma petite laisse de soie. Je sentais son sexe se raidir dans son jean. Je m’étais mise à califourchon sur sa belle érection, frottant mon sexe contre le sien à travers les tissus, tandis que je collais ma poitrine à la sienne. Je me suis mise à onduler du bassin pour le sentir le mieux possible entre mes cuisses et éprouver tout le volume de sa queue toute dure. Il a alors saisi le morceau de tissu du collier qui pendait devant lui pour tirer légèrement dessus avec ses dents. Le ruban me pressait la gorge et j’ai ressenti une sensation de vertige à mesure que mon excitation inondait mon entrecuisse et que la soie appuyait sur mon cou. Il a compris que j’aimais cette sensation et a déboutonné son pantalon pour sortir sa grosse queue. J’en ai profité pour écarter mon string sur le côté afin de le recevoir en moi, car je mourais d’envie qu’il me baise.
J’ai senti la peau de sa bite, si douce et chaude, me caresser puis se frayer un chemin en moi. J’ai cambré les fesses et marqué le rythme quand il a été entre mes cuisses, en amazone, le tenant par les épaules tandis que je m’empalais sur son sexe. Alain a recommencé à jouer avec le ruban, tirant toujours un peu plus dessus pour que je le sente au plus près de mon épiderme. Je m’étais mise à haleter et toutes mes sensations en étaient décuplées. Sa bite me pilonnait plus fermement et, en même temps, l’étreinte, douce et au bord de la contrainte, me faisait d’autant plus ressentir la pression de sa queue. Les deux sensations se répondaient aux extrémités de mon corps.
Je sens que ça monte !
J’ai pris ses mains pour qu’il les mette directement autour de mon cou. Il a saisi ma gorge délicate entre ses doigts et a pressé à nouveau légèrement tandis que j’accélérais mes coups de reins et frottais mon clito contre son bas-ventre autant que je le pouvais. Le plaisir inondait toute ma chatte, mes seins et se prolongeait dans le contact de ses mains si puissantes sur ma nuque. Son regard était planté dans le mien et il épiait mes halètements, mes rougissements, mes soupirs. « Vas-y, serre », implorais-je. Il a serré un peu plus. J’ai continué à le chevaucher follement jusqu’à me tendre, bassin en arrière, tête renversée, avec l’impression d’être au bord d’un plaisir rare, un vertige aux tempes, et l’orgasme qui se dédoublait sous l’effet du plaisir cérébral provoqué par la mainmise de mon partenaire sur ma gorge.
Voyant mon plaisir fou et cédant lui-même sous mes coups de reins, il a lâché les vannes à son tour pour jouir au fond de ma chatte. Cet instant de comminterstron.ru nous avait rapprochés, car je m’en étais entièrement remise à lui et, à présent, je veux moi aussi le faire planer dans de futurs jeux SM.
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