Ma femme est catholique, comment l’amener à accepter la levrette ?
25 mars 2015Je désirerais faire l’amour dans une position qui n’est pas en accord avec l’éducation catholique de ma jeune épouse. Il s’agit de la position « postérieure » ou, autrement dit, de la « levrette ». Je fantasme sur cette posture, mais je ne l’ai jamais pratiquée, car elle ne se présente jamais naturellement dans nos ébats amoureux. J’aimerais savoir si vous disposez de statistiques sur cette position. Est-elle fréquemment adoptée par les couples, et comment les femmes la considèrent-elles ‘ Cette façon de faire ne me semble pas très « tendre », et je ne voudrais pas froisser ou choquer ma compagne.
Bien que fréquemment pratiquée, cette position dite de la « levrette » n’est en effet pas celle que les femmes choisissent en premier lieu. La plupart des couples s’y adonnent, essentiellement pour varier leurs ébats et éviter la routine. Toutefois, le côté bestial de cette position (c’est celle des animaux) met mal à l’aise certaines femmes. Le mieux serait sans doute pour vous de commencer par une position proche mais moins dominante, comme celle de la « cuillère ». Homme et femme sont couchés en chien de fusil, l’un contre l’autre, et l’homme peut faire une pénétration arrière sans que sa compagne se mette à quatre pattes. De la même façon, le jour où votre épouse décidera de tenter l’aventure, mieux vaut éteindre la lumière pour qu’elle se sente moins gênée. Quant aux sensations éprouvées, elles sont bien sûr variables d’une femme à l’autre. Parfois plus intenses, car la pénétration arrière est plus profonde, elles peuvent également être moins propices au déclenchement de l’orgasme féminin. On peut idéalement compléter la levrette par une stimulation manuelle du clitoris, faite par l’homme ou sa partenaire. Notez également que les femmes adeptes de la levrette se réjouissent de ne pas avoir à supporter le poids de leur compagnon en faisant l’amour.