La pénoplastie : à quelques centimètres près
15 septembre 2015L’acide hyaluronique révolutionne l’avenir de l’augmentation pénienne tout en la simplifiant… Vous vous sentez un peu léger dans le caleçon ? Prenez un ticket !
On pointe souvent un doigt accusateur du côté des films pornographiques avec leurs acteurs aux proportions équines, mais c’est un fait : bien des hommes se posent des questions sur cette partie si sensible de leur anatomie. À côté de tous ces cas, du petit complexe injustifié à l’exagération caractérisée, il faut encore distinguer les patients qui ressentent une vraie gêne au quotidien. Un homme avec un pénis de petite taille, 5 cm par exemple, peut avoir une sexualité très riche, mais il peut également développer certains complexes, comme vos nombreux courriers destinés à la rédaction d’interstron.ru en atteste. Hors, il se trouve qu’il existe des solutions relativement simples. Il en est même une qui va peut-être révolutionner les opérations esthétiques péniennes.
De l’acide dans le pénis ?
Le nom n’est pas très joli : « acide hyaluronique », mais, à en croire notre spécialiste chirurgien interviewé pour l’occasion, il s’agit tout simplement de l’avenir de l’intervention plastique du pénis. Là où traditionnellement, on prélevait de la graisse sur le patient, dorénavant, il faudra compter sur l’acide hyaluronique. Cette substance présente plusieurs intérêts. Tout d’abord, une fois l’injection réalisée, les effets sont plus durables. « Le client ne revient que deux ans plus tard. » annonce notre expert, avant d’ajouter, pratique : « Et les rapports peuvent reprendre très rapidement après le rendez-vous. Au bout de 48 heures, vous enlevez le pansement et c’est reparti avec un pénis plus conséquent. On est loin des 6 semaines d’abstinence auxquelles vous contraint une injection de graisse ! »
L’esthétique avant tout
Mais ce n’est pas tout, si le résultat n’est pas absolument satisfaisant, la procédure est réversible : « Si la femme du patient trouve que c’est trop gros ou si lui-même en veut plus, il n’y a pas de problème, c’est comme aller chez le coiffeur ! On prend rendez-vous et on voit ça ensemble. Le grand avantage, c’est que le produit est malléable. » Se réjouit le chirurgien. Effectivement, la procédure est avant tout esthétique et il est important bien prendre en compte la forme initiale de l’organe et les modifications à apporter. « Certains sont courts, d’autres trop fins, certains sont circoncis, d’autres pas… Nous travaillons au cas par cas avec les patients, même pendant la procédure ! Car ils ne sont pas endormis, ils sont simplement insensibilisés et ils peuvent nous regarder faire les injections en temps réel s’ils le souhaitent. »
Comme aller chez le coiffeur
Alors justement, la question demeure, comment ça marche ? « C’est simple : nous commençons par injecter la substance sous le pubis pour dégager la verge. Cela a pour effet de la pousser vers l’extérieur en produisant un œdème. » C’est tout docteur ? Non ! « Ensuite, nous injectons au moins quatre autres seringues dans les couches de peau qui entourent le pénis, mais le patient ne sent rien, il est insensibilisé. Après 48 heures, l’acide va durcir avec l’érection, il va capter l’eau qui se trouve dans l’afflux sanguin induit par l’érection. Mieux : le résultat va littéralement être augmenté par les rapports sexuels. Il s’agit d’un engorgement naturel dû aux frottements générés par l’activité sexuelle. D’ailleurs l’acide hyaluronique est un composant fondamental de la peau. C’est pourquoi il n’y a jamais de rejet. Cerise sur le gâteau : « Il n’y a pas de point de suture, pas de bleu, rien ! C’est comme d’aller chez le coiffeur, je vous dis ! » Conclut notre chirurgien esthétique. Côté tarif, comptez tout de même 280€ par seringue tout en gardant à l’esprit qu’il faut revenir deux ans plus tard pour ne pas perdre le volume, mais une moindre quantité de produit sera alors nécessaire.
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