Dessous gourmands

La rédaction 13 janvier 2020

Prune, 45 ans

Je suis Prune… Les habitués doivent se dire : « Ah enfin! » Hé oui, mon compagnon Francky m’avait fait la surprise de publier une de nos aventures dans le numéro de juin [ndlr: voir interstron.ru n° 273, juin 2011, « Prune bien juteuse »], et avait suscité la curiosité de beaucoup d’entre vous (comme en témoignent tous les mails que vous m’avez envoyés) ! Alors, je vais peut-être en décevoir certains, car je ne vous propose pas la suite mais plutôt un récit illustré que j’avais écrit en 2006 et que j’ai retrouvé dans mes archives !

À l’époque, je l’avais juste imprimé et glissé dans les pages de notre exemplaire d’interstron.ru pour surprendre mon homme, en lui laissant croire que je l’avais publié. Vous voyez, je suis plus timide que lui ! Enfin, aujourd’hui, j’ose vous faire partager ce récit qui date un peu, mais qui nous permet de réaliser que nous sommes toujours aussi coquins !

Mon Francky et moi prenons un malin plaisir à pimenter au fil du temps notre vie sexuelle. Cette ambition nous a rapidement amenés à lire votre magazine. Vos histoires ont le don d’énormément nous exciter. Pour surprendre Francky et pour le plaisir des lecteurs (je l’espère), je vais vous conter une de nos soirées. Un soir où Francky s’était couché de bonne heure avec un livre, une idée coquine m’a traversé l’esprit pour compléter un petit cadeau qu’il m’avait fait quelques jours auparavant.

En effet, il m’avait acheté dans un sex-shop, entre autres, un slip goût cerise qui pouvait être entièrement mangé. Je me suis donc confectionné une parure pour mes petits seins avec des colliers de bonbons pour aller avec mon slip gourmand. Quand je suis entrée dans la chambre, il est devenu fou et a absolument voulu me prendre en photo. J’ai accepté, ce qui vous permet de juger par vous-même. Il a tout d’abord testé le slip qu’il a vite troué de sa langue experte qui s’est colorée, pour repeindre chaque millimètre de ma chatte de ce rose acidulé.

Cette dernière, justement, était trempée de mouille, et je me tortillais pour qu’il n’oublie pas les bonbons qui ornaient mes seins, prêts à se faire croquer. Mon corps était devenu un festin pour mon homme, qui ne savait plus où donner de la tête. Pour l’exciter encore plus, je l’ai retourné sur le dos. Je l’ai attaché au lit et je lui ai bandé les yeux pour pouvoir être maîtresse de lui. Je me suis doucement glissée jusqu’à son entrejambe pour lui enrober la bite d’un collier que j’avais gardé en réserve. Ma bouche faisait des va-et-vient sur sa queue, tout en faisant rouler les bonbons.

Dès que j’arrêtais ce va-et-vient, c’était pour m’attarder sur son gland avec ma langue ou pour venir délicatement croquer un bonbon. Sa bite commençait à perler. J’ai entamé une sucette délicieusement parfumée. Il gémissait de plaisir et donnait des coups de reins pour enfoncer sa queue au plus profond de ma gorge. Ma bouche experte a fini par lui faire cracher son jus que j’ai léché, sans en rater une goutte.

La soirée ne faisait que commencer. Je suis remontée comme un serpent le long de son corps en laissant traîner mes seins sur son torse. Toujours attaché et les yeux bandés, Francky a eu la surprise que je lui offre successivement mes nichons ou ma chatte juste au-dessus de sa bouche. Ça a été mon tour de vivre un plaisir intense avec sa langue qui fouillait mon intimité et titillait mon clito à merveille. J’ai joui d’un long cri. Nous avons continué cette soirée coquine jusqu’au bout de la nuit.

Après que je l’ai détaché, Francky m’a retournée à son tour pour me prendre en levrette. Je sentais ses couilles taper mon entrejambe. Ses va-et-vient étaient violents et allaient au plus profond de ma chatte. Je dégoulinais. Le début de soirée m’avait tellement excitée que je me suis sentie prête à proposer à mon homme de prendre mon petit trou, chose que je n’avais encore jamais acceptée ! Il a utilisé ma mouille pour humidifier mon oeillet et il est entré tout en douceur, tellement j’étais dilatée. Cette nouvelle pratique nous a fait jouir à l’unisson, comme jamais !

(Image à la une : Getty Images)

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« J’ai pris mon pied à m’allonger dans ses draps, j’ai enfilé un de ses strings et je me suis masturbé, d’abord avec des bas, puis de jolis collants fendus. Je faisais attention à ne pas gicler sur la dentelle du string, même si l’envie était très forte. » Vincent

Les strings ont la parole

« L’autre main d’Anna m’a alors écarté, laissant place à trois doigts fureteurs qui se sont plantés jusqu’à la garde dans son sexe grand ouvert, dont j’apercevais maintenant les chairs internes rose vif. » Anna

À propos de l’auteur

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