La modèle
24 novembre 2019David, 33 ans
Je suis photographe dans la pub. Les fêtes les plus folles, les carrés VIP des boîtes les plus à la mode, je connais tout ça. Je suis sorti avec un nombre incalculable de mannequins, de stylistes. À une certaine époque, je ne pensais plus qu’à ça, je ne faisais que sortir et baiser ! Jusqu’à ce que je fasse une dépression carabinée. J’avais 33 ans, je n’étais jamais resté avec une fille plus d’une semaine, j’étais un peu comme une bête sauvage. Ça m’a bien calmé.
Ce passage à vide a duré plus d’un an. D’une activité sexuelle débordante, je suis passé à rien du tout. Je me dégoûtais un peu, à vrai dire. J’étais tellement au fond du gouffre que j’ai même arrêté de travailler pendant quelques mois. Ça allait, j’avais de l’argent de côté. Je me suis recentré sur l’essentiel, la famille, les amis, les joies simples de l’existence, comme regarder un bon petit film chez moi le soir au lieu de sortir, de boire et de chasser des maîtresses potentielles.
Quand j’ai repris le boulot, j’ai également décidé de concrétiser des projets plus personnels. La pub, ça va un moment, mais j’avais aussi envie de faire des photos plus artistiques, du noir et blanc… Dans le cadre d’un de ces projets-là, Samira, une jeune fille qui avait déjà travaillé avec moi pour un shooting, a accepté de poser gracieusement pour mes photos persos. Samira est magnifique. Elle a un visage très pur, mais qui laisse percer un peu de sa grande détermination, ce que je trouve émouvant. Et son corps, mon dieu, ce corps ! Elle n’est pas filiforme comme certaines filles. Elle est d’une minceur extrême, mais ses seins sont deux outres remplies, ses lèvres, deux lunes charnues et ses hanches, une amphore sculptée.
Elle est venue chez moi un samedi après-midi. La lumière était magnifique, un beau soleil froid d’automne. Je lui ai expliqué le principe du shooting : je fais des nus, mais ça n’a rien d’érotique ni de pornographique. Elle n’a pas paru choquée. Je lui ai démontré que ce que je cherchais à capter avant tout, c’était le naturel, une vision décomplexée du corps, de sa beauté. Elle a légèrement rougi en me demandant : « On commence ? » puis, voyant que je hochais la tête, elle s’est gentiment effeuillée. Ses habits sont tombés par terre, un à un. La scène était torride. Malgré moi, je ne pouvais m’empêcher de la trouver excitante. J’ai saisi mon appareil photo et j’ai commencé à la shooter sous tous les angles, comme pour conjurer le trouble qu’elle faisait naître en moi.
Au bout d’une demi-heure, elle s’est assise sur mon canapé, alors que je continuais à la mitrailler. J’étais un peu étonné. Son regard se faisait de plus en plus aguicheur, et les poses qu’elle prenait sans que je la guide se révélaient terriblement sexy… Je n’arrivais pas à y croire et pourtant, j’ai bien dû me rendre à l’évidence quand Samira a écarté en grand les jambes tout en se caressant la vulve avec ses mains manucurées, elle était en train de m’allumer ! J’ai posé mon appareil photo, je me suis assis en face d’elle et je l’ai regardée. Elle n’a pas arrêté pour autant. Mes tempes battaient, je sentais la chaleur monter dans mon front et, quand elle a glissé un doigt dans sa fente, j’ai eu une belle érection. Elle me fixait toujours, comme si j’étais encore en train de la photographier. Je voyais toute sa chatte. Elle devenait de plus en plus humide, et moi, de plus en plus dur.
Elle gémissait timidement au début mais, quand elle a vu que ça me plaisait, elle s’est laissé aller à des soupirs plus prononcés. Je ne pouvais plus bouger. C’est comme si je retrouvais ma virginité. J’en avais connu, des femmes — et pas des moches ! — mais elle, c’était assez différent. Je crois qu’elle m’émouvait beaucoup. J’ai été interrompu dans ma rêverie quand son pied est venu caresser mon torse, puis quand il s’est inséré sous mon aisselle pour m’inciter à me relever. Je me suis senti autorisé à me jeter sur elle, sa lourde poitrine a joué les airbags et amorti le choc.
J’ai caressé la peau de pêche de ses bras, Samira avait la chair de poule. Ça m’a plu. Comme mes mains se posaient fermement sur ses seins et les palpaient, elle gémissait et se tortillait. Ses jambes sont venues m’enserrer les hanches, nos pubis se sont retrouvés collés, mon pénis était prêt à exploser. Il fallait que je me calme. Je l’ai fait se retourner et se mettre à quatre pattes, j’ai saisi ses fesses et je me suis mis à la lécher de bas en haut, de haut en bas. Son cul était d’une beauté ravageuse et son sexe, incroyablement bien sculpté. Sa mouille avait un goût très sucré, je m’en suis délecté à grandes lapées, puis ma langue s’est introduite entre ses parois moelleuses, à l’intérieur, toujours plus profond.
Je ne pouvais plus me retenir. J’ai couru à la salle de bain, attrapé un préservatif. Samira a insisté pour me le mettre. Elle en a profité pour laisser traîner ses lèvres sur mon membre dressé, me l’a embrassé de la base des couilles au bout du gland, puis ses mains parfaites ont enserré mon pénis et ont fait des allers-retours sur ma hampe. J’ai dû l’arrêter. Si elle voulait en profiter un peu elle aussi, il valait mieux de ne pas trop jouer avec mes nerfs… Consciencieuse, elle m’a habillé de caoutchouc et s’est remise à quatre pattes, croupe offerte. Je l’ai pénétrée lentement, chaque centimètre gagné faisait monter la pression. Son vagin palpitait autour de ma bite.
Quand j’ai été tout au fond, que je l’ai remplie au maximum, j’ai donné des coups de reins, d’abord doux, puis de plus en plus violents. Je transpirais à grosses gouttes, Samira se laissait chevaucher comme une jument fougueuse mais obéissante. Mes mains sont allées chercher son clitoris, et je l’ai asticoté jusqu’à ce que Samira jouisse dans un cri suraigu. J’étais sur le point de connaître l’orgasme moi aussi mais, à ma grande surprise, Samira s’est retournée, a enlevé le préservatif et m’a pompé jusqu’à ce que je lui envoie tout mon jus au fond de la gorge. Elle a avalé en souriant, puis elle est venue m’embrasser passionnément. C’était le plus beau moment de ma vie, ça s’est passé il y a six mois. Depuis, nous sommes toujours ensemble. Être avec Samira, c’est un peu comme une résurrection.
(Image à la une : Getty Images)
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