Tramways nommés désir
20 janvier 2020Claire, 25 ans
J’avais rencontré Alexandre dans une soirée à Versailles. Je portais une jupe noire et courte, et des bottes en cuir qui montaient jusqu’aux genoux. Toute la soirée, j’avais senti son regard sur moi.
Vers trois heures du matin, j’ai décidé de partir. J’ai franchi les larges grilles de la propriété, les clés de voiture à la main, et on m’a agrippé l’épaule. J’ai eu la peur de ma vie. C’était Alexandre, ce mec bizarre. En une fraction de seconde, je me suis fait toutes sortes de scénarios dans ma tête, je me suis dit que c’était un psychopathe, j’ai réfléchi à mille façons de me sauver la vie… Il a dû voir qu’il m’avait effrayée, car il m’a tout de suite lâché l’épaule. Je l’ai engueulé, je lui ai crié qu’il ne fallait pas faire peur aux gens comme ça. Il s’est confondu en excuses, m’a expliqué qu’il était photographe et qu’il avait un goût prononcé pour les bottes en cuir noir. Il a ajouté que je lui avais tapé dans l’oeil, et que si j’étais libre le lendemain, il serait ravi de me montrer son travail. Il m’a tendu sa carte de visite en me demandant mon prénom. J’ai répondu : « Claire » en haussant les épaules. J’ai pris la carte et j’ai rejoint ma voiture pour rentrer chez moi.
Je me suis levée de bonne heure le lendemain. Je ne pensais plus à lui, jusqu’à ce que ma copine m’appelle pour me raconter la fin de la soirée. Je lui ai demandé des renseignements sur le type bizarre de la veille, et elle s’est exclamée: « Alexandre ? Il est gentil comme tout ! Et il a pas mal de talent. » Quand je lui ai appris qu’il m’avait proposé de poser pour lui, elle m’a dit : « Mais n’hésite pas, en plus il te fera des tirages, ça te fera des belles photos de toi. » J’ai raccroché, et j’ai réfléchi à ce que venait de me dire ma copine. Du coup, j’ai appelé ce photographe. Il avait l’air content. Il m’a invitée à passer chez lui prendre un café. Il habitait dans une impasse sur une belle avenue à Versailles, une très jolie maison avec un jardin magnifique. Il m’a montré la salle où il développait ses tirages. C’est vrai qu’il avait du talent. Un physique plutôt quelconque mais du talent. Il m’a demandé si je voulais poser pour quelques clichés dans son jardin, comme ça. J’ai spontanément répondu oui. Et puis, je m’étais un peu préparée. J’avais mis des collants noirs transparents, une jupe noire et blanche zébrée et mes fameuses bottes en cuir. Il m’a installée sur un transat et m’a demandé de lancer en l’air une de mes bottes en cuir. J’ai répété ce geste vingt, trente fois, je ne sais plus. Je me suis même pris la botte dans la figure, ce qui m’a fait lui dire : « Euh, ça ne te dit pas qu’on change un peu de pose ? » Il a dit OK et s’est rapproché de moi. Il m’a aidée à placer mes jambes dans la position souhaitée. Ses doigts ont crissé sur mon collant, et je ne sais pas si ça venait du soleil, ou simplement du contact léger du bout de ses doigts sur mes jambes, mais je me suis sentie plutôt… excitée.
Vers 19 heures, je suis repartie. Il m’a fait promettre de revenir le dimanche suivant pour une autre séance de pose. Quand je suis arrivée chez lui, sept jours plus tard, il m’a annoncé qu’il allait me faire découvrir un chouette endroit. Et en effet, il avait raison. Il m’a emmenée derrière la gare de Versailles, là où ils entreposent les vieux trains. Le soleil tapait fort ce jour-là, et il n’y avait pas un chat dans les parages. J’avais mis une jupe noire et, bien sûr, mes fameuses bottes en cuir. La séance a débuté presque immédiatement. Il a posé son gros appareil sur un pied et m’a mitraillée. Il s’est montré de plus en plus directif : « Fais ceci, fais cela… » Je me prêtais au jeu avec plaisir, d’autant plus de plaisir, d’ailleurs, que je n’avais pas mis de culotte, et que moi seule le savais. Eh oui, je suis comme ça moi ! Au fur et à mesure que la séance de pose avançait, je me sentais de plus en plus à l’aise face à l’objectif.
Alexandre m’a demandé si je connaissais le film Crash, de Cronenberg. J’ai répondu que non. Il m’a expliqué que c’était un film sur une perversion dangereuse, des personnages excités par la ferraille, les voitures, les trains, et qui mettaient leur vie en danger pour réaliser leurs fantasmes. Mon photographe a fini par un clin d’oeil, en ajoutant qu’il était beaucoup plus soft, mais que les trains, les trams, ça l’avait toujours beaucoup émoustillé. Je n’ai pas réfléchi, j’ai soulevé ma jupe et j’ai frotté ma chatte nue et lisse contre le rail du chemin de fer désaffecté. « Comme ça, tu veux dire ? » Un rapide coup d’oeil à son entrejambe, il gonflait. « Oui« , a-t-il répondu d’une voix émue, en déclenchant son appareil. À partir de là, je me suis complètement lâchée. J’ai même retiré mon chemisier en velours ocre pour lui montrer ma poitrine, qui me vaut toujours des compliments admiratifs. Je lui ai demandé s’il voulait pousser le jeu plus loin. De modèle un peu potiche, je devenais maîtresse de la situation, et j’adorais ça. « Tu penses à quoi ? » Je lui ai expliqué qu’on pourrait faire une série de photos dans un tramway en marche… À cette heure de l’après-midi, un dimanche, on ne risquait pas d’être beaucoup dérangés.
On est partis en voiture jusqu’au tramway T3 et on est montés. Je me suis assise à l’avant du tram’, et lui est resté près de la porte. Il a sorti son appareil et il a commencé à prendre d’autres photos. Son érection était clairement visible. Dès que je le pouvais, je soulevais ma jupe pour lui dévoiler mon abricot humide. Je me sentais de plus en plus excitée, je mouillais. L’odeur de mes sécrétions me montait aux narines. On a pris le tramway dans l’autre sens, jusqu’à la cité universitaire. On a marché jusqu’à la petite ceinture, les rails de chemins de fer qui ne sont plus en service et qui faisaient le tour de Paris. Bien sûr, c’est interdit d’aller là, c’est la propriété privée de la SNCF. Mais on s’en foutait. Arrivée sous un pont, je lui ai dit qu’on allait faire un peu de nu. Je me suis déshabillée, ôtant mon haut, mais gardant encore ma jupe, mes bas et mes bottes en cuir.
Il a sorti son appareil, ses mains tremblaient. Je me suis allongée sur les rails et j’ai commencé à me masturber devant lui. Le désir montait, le plaisir envahissait mon bas-ventre, j’avais la chair de poule et des frissons partout. J’ai vu Alexandre se rapprocher, se baisser à hauteur de mes jambes écartées, et sa tête a disparu entre mes cuisses. Une vague de chaleur m’a submergée alors que son nez se fourrait entre mes petites lèvres et que sa langue s’agitait sur mes parties intimes. Ses dents mordillaient tout ce qui dépassait. Puis ses doigts se sont immiscés partout, dans ma chatte, mon oeillet, alors que l’autre main appuyait fermement sur le bas de mon ventre, à la hauteur de ma vessie. Je me suis crispée sous le joug du plaisir intense, les muscles de mes cuisses se sont contractés, et j’ai été saisie d’un orgasme incroyable. Mes cuisses se sont refermées sur sa tête, la compressant, et je lui ai envoyé un puissant jet de mouille. Il m’a bue, puis a posé sa tête à la lisière de ma chatte et de mon ventre. On est restés longtemps comme ça avant de se relever.
Depuis, on multiplie les séances de pose, les situations insolites, dans les voitures, les trains, les bus… Tout cela commence à me plaire de plus en plus.
(Image à la une : Getty Images)
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