Instant câlin dans les champs
31 août 2024Valérie, 29 ans, adore prendre plusieurs queues et fait un plan à trois pour se satisfaire.
Mon prénom est Valérie, je suis célibataire et chaude. Profitant de mon vendredi, jour de congé, j’ai décidé de pédaler jusqu’au musée du Vélo avant d’aller faire un peu de bronzage. J’ai passé une heure au musée, puis je suis partie, toujours à vélo, faire un tour dans les environs. Je suis allée sur les chemins clos par les rangées de maïs, où j’avais l’habitude de me cacher pour bronzer intégralement. Il me fallait trouver une clairière, ce qui n’a pas été difficile. Voici mon histoire de sexe.
J’ai posé mon vélo, et je me suis entièrement déshabillée. Je me suis surprise à observer les épis de maïs qui, une fois épluchées ressemblent à de gros godes. Il m’a pris l’envie de m’en servir…Quel pied ! Bronzer, transpirer, se caresser et se pénétrer avec toutes les tailles imaginables, il suffisait de se servir. L’orgasme arrivait, un épi bien planté dans mon anus, me tripotant de l’autre main, je me sentais incapable d’arrêter tellement cela était bon. Il me semblait pourtant apercevoir une silhouette mais j’étais en si bon chemin vers l’extase… J’ai joui intensément, délivrant un bon paquet de mouille. Quand j’ai rouvert les yeux, j’ai clairement distingué un homme qui se masturbait en me regardant. Il a vu que je l’avais vu, et il s’est avancé vers moi. J’ai fermé les yeux, je me sentais prise dans un océan de volupté et je ne doutais plus de rien, plus de moi, je n’avais plus peur de rien, et surtout pas de cet inconnu qui s’approchait de moi.
Dimanche, c’est plan à trois
J’ai senti un souffle sur ma nuque et un corps chaud s’allonger sur le mien. J’ai rouvert les yeux l’espace d’un instant. L’homme était assez quelconque, mais très bien monté. Pas autant que mes épis de mais, mais tout de même. J’ai de nouveau fermé les yeux. Il a pris l’épi qui était encore chaud de son séjour dans mon cul et me l’a mis dans la bouche. Ma petite foune appelait sa bite, je ne voulais plus que ça, je mouillais encore et encore, j’en voulais. L’inconnu a siffloté un court instant, et j’ai senti son pénis entrer en moi, pénétrer ma foune dégoulinante. Il s’est activé longtemps en moi, enfin, il m’a semblé. Mais j’avais perdu la notion du temps. Quand j’ai rouvert les yeux, un autre homme, noir celui-là, me tapotait la joue avec sa queue. Sa peau était d’une douceur incroyable. Un instant, j’ai pensé tout arrêter.
Mais le plaisir était là, et il était plus fort que ma raison ou que ma volonté. Le premier est sorti de moi, et l’autre a pris sa place entre mes lèvres chaudes. Quelle douceur! Quelle délicatesse! Il me l’a mise vraiment profond et, par un subtil jeu du bassin, il m’a amenée au plaisir. Je ne me souviens plus de tous les détails, j’étais dans une sorte d’état second. Mais quand je me suis relevée, pleine de sueur et de foutre, le soleil était sur le déclin. Je leur ai donné mon numéro, je me suis rhabillée, et j’ai enfourché mon vélo pour rentrer chez moi. Le trajet du retour n’a pas été des plus confortables…J’avais pris tellement de plaisir que je me demandais si je n’avais pas rêvé tout ça. Alors, quand le lendemain, le téléphone a sonné, j’ai été plutôt heureuse de savoir que non, cette aventure n’avait pas été le produit de mon imagination. Je les ai invités chez moi le dimanche après-midi, ils sont venus à trois. Ci-joint une photo, bien réelle, de deux de mes beaux étalons.
(Image à la une : Getty Images)
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« J’osais à peine la regarder, et voilà qu’il fallait que je l’immortalise. Je me suis rassis après deux, trois clichés. Mon érection était presque complète. J’étais vraiment naïf de croire que la rouquine ne la verrait pas. Elle m’a touché la cuisse. » Grégory