Sacrée petite rouquine

La rédaction 20 mai 2019

Grégory, 27 ans, Montgeron.

Sacrée petite rouquine

Je suis Grégory, prof d’EPS depuis deux ans dans un lycée de la banlieue sud de Paris, qui fait aussi pensionnat. Je suis jeune, pas mal fait, alors forcément, les cours de sport tournent souvent à des séances de drague pure et dure. Sérieusement, les jeunes lycéennes, ça les travaille ! En cours, il faut les voir se dandiner, porter des tenues ridiculement inadaptées au sport, venir me poser des questions avec un sourire mielleux… Évidemment, j’essaye autant que faire se peut de contenir leur libido exacerbée. Je suis prof, tout de même, et ce sont mes élèves, les rapports sont biaisés. Bref, confronté dans mon quotidien à des chattes en chaleur, je dois vraiment faire preuve de courage pour ne pas céder à la tentation.

Il y a une semaine à peine, un jeudi, vers 17 heures, je suis allé repérer les lieux pour le cross annuel du lycée. L’établissement où je travaille est entouré de champs à perte de vue et d’une petite forêt, c’est parfait pour le cross. Je marchais depuis une bonne demi-heure, repérant mentalement les endroits à baliser, quand j’ai vu, au loin, une rousse topless, en robe et en train de se faire dorer la pilule. Trop tard pour faire demi-tour, elle m’avait repéré. Une poitrine magnifique, petite mais parfaitement dessinée, avec des mamelons roses et fragiles… Un grain de peau doré, une silhouette fine et très jolie. Et un petit nombril trop mignon. Je suis fana de nombrils. Elle m’a appelé : « Hé toi ! T’as pas de l’eau ? Je crève de soif » Bon, elle avait le langage d’un charretier, pas celui d’une petite fée des champs. J’avais une bouteille dans mon sac à dos, donc je me suis avancé d’un pas timide. Elle m’a quasiment arraché la bouteille des mains et a bu à grosses gorgées. Un peu d’eau a coulé sur son menton. Ça n’avait pas du tout l’air de la déranger d’être à moitié nue devant moi. La rouquine m’a rendu la bouteille en m’effleurant les doigts, et elle m’a demandé de rester un peu avec elle.

J’ai consenti à m’asseoir un instant près d’elle, et elle m’a raconté qu’elle était pensionnaire au lycée. J’ai voulu me relever illico. Je l’ignorais, et ça ne se faisait vraiment pas de discuter avec elle dans cette tenue. Elle aurait pu être mon élève ! Mais elle m’a retenu par la main : « Non, reste, t’en vas pas. » Et là, machiavélique, elle a ajouté : « Si tu t’en vas, je vais aller raconter des saloperies sur ton compte. C’est pas parce que je t’ai pas en sport que je sais pas qui t’es. Je suis majeure, mais je peux dire que tu m’as contrainte… » Quelle petite peste ! En même temps, une peste avec des nichons appétissants. Je bandais un peu, mais j’étais vraiment en panique, j’espérais qu’elle ne le verrait pas. Je n’osais pas la regarder, je répondais d’une manière vague à ses questions. Soudain, j’ai entendu le bruit d’un zip qu’on défait. J’ai tourné la tête brusquement, et j’ai vu la rouquine totalement nue, avec seulement des chaussettes. Son pubis avait été fraîchement rasé, et seuls quelques petits poils fins recouvraient ses lèvres intimes d’un délicat duvet. « Tiens, tu vas me prendre en photo d’ailleurs. » Elle a sorti son appareil de son sac et me l’a tendu.

J’osais à peine la regarder, et voilà qu’il fallait que je l’immortalise. Je me suis rassis après deux, trois clichés. Mon érection était presque complète. J’étais vraiment naïf de croire que la rouquine ne la verrait pas. Elle m’a touché la cuisse. Je me suis reculé, mais elle s’est jetée sur moi de tout son poids. Je suis tombé à la renverse. Le temps de me relever, elle avait déjà baissé mon short, mon caleçon, et libéré ma bite dure. Elle s’est mise à me pomper comme une folle, en serrant très fort avec ses lèvres, en donnant des gros coups de langue sur le gland. Et là, toute ma volonté s’est évanouie. Je n’étais plus le prof d’EPS face à la pensionnaire, j’étais un homme avec la trique, qui se faisait sucer à merveille par une petite traînée. J’ai ôté mon T-shirt précipitamment et, sentant que j’allais exploser dans sa bouche, je l’ai repoussée du pied et je me suis allongé en l’entraînant avec moi. Sa peau était plutôt épaisse, mais d’une douceur incroyable. J’ai passé le bras devant pour aller chercher son tout petit clitoris, je l’ai chatouillé. Je sentais sa lune moite sur mes doigts qui devenaient collants. Elle poussait des petits soupirs sexy qui me rendaient vraiment tout dur. Il faisait beau, et j’étais vraiment bien.

A ce moment-là, mon engin est venu se fourrer dans sa grotte. Elle était tellement serrée ! Elle m’avait très bien sucé, je doutais fort qu’elle soit vierge, mais j’aurais pu le croire en la pénétrant. J’avais l’impression de lui exploser les entrailles. J’avais peur de lui déchirer le vagin, mais elle ne mouftait pas. Elle a même passé ses bras derrière moi pour me caresser les fesses. Ça y était, j’étais complètement rentré, mais impossible de bouger. Trop serré. Alors je me suis allongé sur le dos, et elle s’est retrouvée à califourchon sur moi, me tournant le dos. Je pouvais voir ses superbes courbes, ses fesses potelées, son dos recouvert de grains de beauté… Elle s’est mise à faire du sport, monter, descendre sur mon bâton de chair. À chaque fois qu’elle se penchait en avant, je discernais sa rondelle rosée. Mon pénis allait exploser… Trois, deux, un, et vlan ! J’ai à peine eu le temps de sortir. Je lui ai repeint le dos avec mon sperme. J’ai hurlé, victorieusement. C’était très étrange comme réaction.

La fin de l’histoire, c’est que je lui ai dit que tout s’arrêterait là. Mais hier, j’ai reçu un texto de ma rouquine, avec les photos et un rencart. Je ne sais pas comment elle a eu mon numéro, mais je suis plutôt content à l’idée de la revoir, finalement…

(Image à la une : Getty Images)

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