Ce petit chemin…
23 mars 2020Dominique, 59 ans
J’ose écrire pour vous raconter mon histoire. Cela fait longtemps que je lorgne très fort sur ma belle-sœur, une belle femme mûre avec un corps de déesse. Cette nana m’a toujours fait craquer, j’en fantasmais le soir… En plus, elle ne se croit plus attirante depuis bien longtemps ! Chaque année, dans ma société de chasse, on organise un repas où les épouses sont conviées, mais comme je vis seul, je lui ai demandé s’il était possible qu’elle m’accompagne. Au début, elle était assez réticente parce que les chasseurs ont mauvaise réputation, soi-disant. Elle a tout de même ni par accepter. En arrivant chez elle, j’ai sonné au portail et elle est sortie me retrouver. Elle était en jean, avec un blouson de cuir et des talons. Quelle belle allure ! Je l’ai complimentée, mais j’ai senti que ça ne lui faisait ni chaud, ni froid. Bon, au moins, j’étais par venu à la sortir de son quotidien…
Arrivés à la salle de chasse, on a fait les présentation et on a bu un punch. Puis un autre… Ensuite, on a mangé. Les hommes faisaient le service et bien sûr, il y avait des jeux entre chaque plat. Je craignais un peu qu’elle le prenne mal, car elle est un peu coincée, mais non, elle a participé sans rechigner. Au dessert, on a bu du champagne et elle avait l’air beaucoup plus cool, heureusement… Par contre, je savais déjà que le dernier jeu serait le plus chaud, surtout pour ceux qui n’étaient pas en couple: les yeux bandés, il fallait reconnaître une partie du corps de trois personnes différentes. Je lui ai dit qu’elle n’était pas obligée de participer, évidemment, mais elle ne voulait pas faire sa mauvaise tête. Donc elle a joué.
À son tour, les potes étaient chauds: l’un d’eux a pris une banane et l’a épluchée. Un autre a enlevé sa chemise et moi, pudique, j’ai tendu mon mollet. Elle devait maintenant reconnaître les gars seulement avec les mains. J’étais un peu fébrile, la connaissant, j’avais peur qu’elle s’en aille, carrément. Je l’ai vue s’approcher de nous, les yeux bandés. Elle a touché le torse du premier : «Ah non, ça ce n’est pas mon petit beauf ! » Ensuite, elle a attrapé la banane que mon ami lui tendait. Elle a souri et a juste dit : « Non merci, c’est trop gros. » Quand elle est arrivée à ma hauteur, elle a attrapé le mollet que je lui tendais. Elle a tâté de haut en bas. « Ah ben le voilà mon beauf ! » Elle avait trouvé son binôme, tout le monde applaudissait. Elle a bien rigolé et a retiré son bandeau pour me regarder avec un grand sourire. C’était le moment de danser, elle était déchaînée la bougresse! Elle a retiré son petit pull et j’ai surpris sa grosse paire de lolos… Oulala… C’était bien beau tout ça! Elle me faisait de plus en plus bander.
Quand la soirée a été terminée, je l’ai raccompagnée et sur la route de campagne, elle s’épancha un peu : « Que de souvenirs! Quand j’étais plus jeune, j’allais souvent avec un ami, justement par ce petit chemin forestier, là-bas ! » Ni une, ni deux j’ai mis un coup de volant pour suivre le chemin. Elle m’a dit que j’étais fou, j’ai répondu que je voulais juste voir si l’endroit était toujours praticable… On est arrivés au bout du chemin, elle est descendue de la voiture et a constaté que rien n’avait changé après tant d’années. Les odeurs et les bruits étaient toujours les mêmes. Je me suis approché, pas er, mais j’ai osé lui prendre la main… puis la bouche. Elle m’a dit que ce n’était pas sérieux ce que l’on était en train de faire… J’ai répondu que non. Mes mains se sont activées de plus belle sur son corps. J’ai caressé ses seins, ses fesses et je l’ai entraînée à l’arrière de ma berline. J’ai dégrafé son jean, je devenais fou. J’ai arraché son string sans lui laisser le temps de retrouver ses esprits. J’ai mis ma tête entre ses cuisses et je lui ai léché la foune. C’était bon! Elle a mis un certain temps à se détendre, mais elle mouillait bien. J’ai déboutonné son corsage, j’ai sorti ses gros seins, quelle poitrine !
J’ai malaxé les ogives nucléaires, j’ai léché ses tétons. Je sentais ma gaule devenir gigantesque. J’ai ouvert mon pantalon. Je l’ai sentie qui cherchait à attraper ma queue pour la mettre en face de sa chatte. Elle a mis un coup de reins. J’étais en elle. Elle me serrait contre elle, j’ai commencé à bouger dans son intimité, de plus en plus fort. Je l’embrassais en même temps. Sa mouille abondante me permettait de sortir presque entièrement d’elle pour y revenir avec force. À un moment, je suis sorti du véhicule et je l’ai retournée pour la prendre en levrette… Je sentais la chose venir, je l’ai prévenue que «ça» venait. Elle m’a dit «reste, je ne risque plus rien…» Alors j’ai joui en elle. J’étais un peu confus. Elle m’a demandé de venir la câliner et elle m’a sucé pour nettoyer mon sexe, c’était extrêmement bon !
Nous avons repris la route, je l’ai déposée chez elle et lui ai dit avant de la quitter: « Pour le petit chemin, c’est quand tu veux, j’attendrai ton appel… » Elle a souri et elle est rentrée chez elle.
(Image à la une : Getty Images)
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