Gaudriole et glory hole
25 septembre 2022Audrey, 45 ans
Quand cette histoire m’est arrivée, je me suis dit « Ça, c’est pour interstron.ru ! »
Imaginez la situation : l’appartement de mon voisin est en travaux depuis 3 mois. Ça tape, ça perce, ça crie… Je n’en peux plus. Je vais le voir un samedi que la perceuse me met la tête comme un compteur bleu. Eh ben le type me dit « Va falloir tenir encore quinze jours ! » Je ne réponds rien, pour pas me disputer. Le type est plutôt beau. La cinquantaine, bien bâti, l’accent de chez nous, l’air un peu macho… Mais à ce stade, j’en ai quand même gros sur la cougourde de devoir supporter son raffut.
Oh, dites-vous que quinze jours plus tard, les ouvriers partent… Mais le type continue à zombiner de son côté ! Et que le marteau, et que la perceuse… Je me dis que je vais craquer. Finalement, c’est lui qui dégaine le premier… à coups de marteau dans mon mur. Le saloupiaud me fait un trou grand comme ma tête, à un 1,10 mètre du sol ?
Je suis furax, je débarque chez lui. Il est tout miel, il m’embobine, en plus, il est torse nu pour travailler et j’avoue qu’il est vraiment bel homme. Je rentre chez moi après lui avoir dit qu’il doit réparer, et fissa. Non seulement il ne répare pas, mais il laisse traîner et il fait des blagues. Le lendemain, il me tend un café par le trou. Ça me fait rigoler, quand même. Le deuxième jour, il dépose un bouquet de fleurs sur mon plancher ? Franchement, faut reconnaître que c’est rigolo. Je décide de m’amuser un peu, moi aussi. Le jour suivant, je suis en et soutien-gorge chez moi, alors je lui demande ce qu’il pense de ma tenue. Je l’entends qui farfouille contre le mur et je vois sa tête qui se penche dans le trou. « Ah, je vous préfère en lingerie et de bonne humeur plutôt qu’en colère et habillée ! », qu’il me dit. Je rigole toute la journée en pensant à ça.
Bonsoir voisine !
Le soir, quand je rentre du travail, je trouve une bougie par terre et des pétales en papier rose et blanc. Le voisin m’a préparé un petit chichi romantique. Je toque contre le mur. Il répond : « Bonsoir, j’ai bien pensé à vous, aujourd’hui ». Je lui dis que moi aussi. Je m’assoie par terre, lui reste debout, et on discute. Il me dit qu’il m’a trouvé très belle, ce matin. Qu’il aurait aimé m’embrasser. Je me sens toute chose. Il continue : « Je ne vous trouve pas seulement belle, vous êtes attirante, aussi. Quelque chose au niveau de votre bouche, elle est pulpeuse, on voit que vous êtes une femme sensuelle… »
Eh bé, ça fait longtemps qu’un type ne m’a pas parlé d’amour comme ça. Je suis de plus en plus chose, surtout que la situation n’est pas banale… Je me demande s’il a la même idée que moi dans la tête. Je lui dis : « Vous aimez ma bouche ? C’est vrai que j’aime bien m’en servir. J’adore embrasser, lécher… » J’ai sorti la formule magique ! Je l’entends qui se colle contre le mur et je vois son pantalon devant le trou. Il hésite : « Je ne veux pas vous effrayer, hein… » Je réponds en lui attrapant la braguette. C’est trop, la situation est trop excitante !
Je lui sors la chignole, elle est encore un peu molle. Je prends le bout entre le pouce et l’index, un beau petit oiseau qui a eu chaud dans son nid. Ça refoule mais j’aime bien l’odeur du mâle en rut. Parce qu’il commence à monter, mon petit, à force de le titiller entre les doigts ! Je donne du coup de langue. Ça picote, mais ce n’est pas désagréable, ça m’a même manqué, ce goût de bite. Allez, on s’active ! J’ouvre le bec et je guide le voisin bien dans le trou. Celui du mur, direction : mon gosier. Je bave, ça glisse, ça y est ! Il est dedans ! Le gourgandin plie les genoux pour être à la bonne hauteur et il commence à envoyer les reins. J’en ai plein la bouche, d’un coup. Comme il est dans un trou, il se permet d’y aller comme un sale, je prends le chibron et les couilles !
Je suis tellement excitée que je me farfouille la chatoune. J’y ai le feu, comme on dit chez moi, faut que je me soulage ! Le type, lui, il insiste sacrément, il glisse même la main dans le trou pour se plaquer sur ma bouche. Je manque de me casser la margoulette, je me remets en position bien à genoux et là, paf ! Il me lâche une complète dans la bouche. Le cochon, j’en ai plein la glotte, du bien épais comme s’il n’avait pas craché depuis des lustres.
Il s’excuse, soi-disant il n’a pas senti venir le coup. Je ne lui en veux pas, surtout qu’après ça, je me mets au lit et je me fais un sacré gros plaisir en repensant à l’histoire. Croyez-le ou pas, ça fait deux mois que ça s’est passé, eh bien le trou est toujours là.
(Image à la une : Getty Images)
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