Biroute et bistouri
27 mars 2022Helena, 46 ans, veut faire de la chirurgie esthétique pour amincir ses fesses. Son médecin admiratif devant son cul va vite la faire changer d’avis.
Je m’appelle Helena et je vis dans le sud-est de la France. Mes amies, quadras comme moi, sont très bien conservées… avec l’aide de la chirurgie. Je n’avais jamais osé sauter le pas, mais une bonne copine m’a conseillé le médecin marocain qui lui a fait ses deux liposuccions. Là-bas, c’était moins cher et aussi bien fait qu’en France. J’ai pris rendez-vous à l’hiver 2017 en espérant me défaire de mon plus gros complexe. Mon cul.
Complexée du cul
Le premier jour sur place, j’ai profité du bel hôtel que je m’étais offert, avec hammam et tout le tralala. Je pensais dans mon maillot de bain : « Bientôt, tu n’auras plus ce catafalque à cacher sous le paréo ». Je devais voir le Docteur le lendemain. On prendrait les mesures avant mon passage au bloc dans la semaine. J’avais quelques doutes, mais j’ai mis ça sur le compte du stress du bistouri.
Ma première surprise, ça a été la salle d’attente. Il y avait du beau linge, entre les Marocaines très chics et quelques Européennes qui avaient des sacs à main plus chers que mon appartement. J’ai plaisanté à ce sujet avec les secrétaires. L’une d’elles m’a répondu, en français nickel : « Le Docteur est très populaire pour son travail. Il y a aussi des patientes qui attendent juste pour lui dire bonjour, qui portent des bonbons… » Ses collègues ont pouffé. Quel était le secret du chirurgien ?
J’ai compris quand ça a été mon tour. Le Dr. était très séduisant dans sa blouse blanche. Bien fait, avec une petite barbe taillée courte. Un nez busqué et des lèvres charnues. Il avait aussi des yeux verts qui faisaient contraste avec son teint bronzé. Je suis entrée dans son bureau mais il n’y avait pas de chaise. J’ai demandé où m’asseoir et le chirurgien m’a montré un canapé en cuir. Il s’est assis à côté de moi et son parfum d’orient m’a envahie.
Viens voir le docteur !
J’avais chaud et froid en même temps. L’effet de ce bel homme cumulé avec l’air climatisé (pourtant, il ne faisait même pas vingt degré dehors). Le Dr. m’a demandé d’une voix grave ce que j’attendais de la liposuccion et nous sommes partis dans une grande conversation sur tous mes défauts.
J’ai cru qu’il voulait me vendre plus d’opérations mais au contraire, il m’a rassurée. « Vous êtes une belle femme et je n’ai pas l’impression que le problème soit physique. Plutôt… psychologique. On va regarder ça de plus près. » Impossible de résister quand il a commencé à me déshabiller… à la façon d’un amant… pas du tout d’un chirurgien. Quand j’ai été nue, pour la première fois depuis que j’avais pris du poids avec mes grossesses, je ne me suis pas sentie gênée.
Le Dr. m’a pris par la main pour me faire tourner et il m’a regardée sous toutes les coutures. Quand il m’a attirée vers lui, j’ai fondu comme un loukoum au soleil.
Un frisson m’a envahie quand le chirurgien m’a fait allonger sur le cuir froid du canapé. Il s’est déshabillé. Il était devant moi maintenant, sexe tendu. Une belle bête. Nous avons commencé à nous masturber mutuellement mais il a remarqué mes légers tremblements.
Un chirurgien très… culotté
Alors il m’a pris dans ses bras puis il s’est allongé sur le canapé. Cette fois-ci, avec moi au-dessus de lui. Mes épaules étaient contre son torse et sa bouche juste à hauteur de mon oreille. Je n’ai pas compris les cochonneries qu’il s’est mis à me murmurer en arabe, mais ses doigts qui commençaient un trifouillage de ma chatte et de mon cul étaient très clairs !
– Allez, on ouvre ! m’a-t-il dit en Français, cette fois.
J’ai senti son index et son majeur s’écarter doucement dans mon petit trou d’amour. Hmmm, les cochonneries ont repris à mon oreille, avec quelques mots dans ma langue :
– Je sens ton jus de cul, Ayana… Sent comme mes doigts rentrent…
Je me sentais en effet terriblement excitée par ses caresses et par la situation. Nous étions quand même juste à côté de sa salle d’attente pleine de femmes qui auraient tuées pour être à ma place !
J’ai senti une rondeur remplacer les doigts, son gland large. Il l’a enfoncé entre mes fesses centimètre par centimètre tout en plaquant sa main sur ma bouche. Car je m’étais mise à miauler sous l’effet de ce beau gourdin qui glissait en moi comme un serpent… Miaou, miaou, comme c’était bon, de le sentir dans mon trou !
Os cul tation en profondeur
J’ai fermé les yeux et serré les fesses. Ma respiration s’est accélérée en même temps qu’il me perforait plus fort. Il avait calé ses pieds contre l’accoudoir du canapé et me faisait maintenant sauter sur sa bite comme un kébab qu’on embroche. Ma chatte était encore plus trempée que mon cul, ses couillasses faisaient « ploc ! ploc ! » en venant taper dessus.
– Oui, Ayana ! Ton cul est parfait !
Ce grognement de mon chirurgien m’a électrisée. J’ai mordillé ses doigts toujours plaqués sur ma bouche. Sa queue était prise dans l’étau. J’ai ondulé, me faisant moi-même rentrer ce gros pieu dans le cul. Le chirurgien ne parlait plus mais lâchait des gémissements.
Je suis montée et descendue par vague rapide, le miel bouillonnait, je le sentais qui vibrait dans la tige… Mes cris filtraient à présent dans la salle d’attente car le Dr. n’avait plus la force de plaquer sa main. Oui, enfin ! Il m’a attrapée par les hanches et m’a plaquée à fond sur lui, cul pressé et bite tout au fond de mon anus. J’ai joui à la première coulée de son nectar avec des miaulements de chatte comblée.
Je ne vous raconte pas la tête des patientes quand je suis sortie du cabinet. J’avais pourtant remis de l’ordre dans mes cheveux mais mes joues rouges et ma démarche de travers ont suffi à confirmer les soupçons. Finalement, j’ai renoncé à l’opération et je suis rentrée en France. Ma confiance est depuis aussi gonflée que mon meilleur attribut !
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