Analement votre !
21 juin 2020Vanessa, 32 ans.
Je m’appelle Vanessa, j’ai 32 ans et je mesure 1 m 72 pour 60 kg et voici mon histoire de sexe.
On me dit mignonne et sexy. Depuis 5 ans, je suis en couple avec mon compagnon Jérémy. Nous nous entendons très bien et nous sommes très amoureux l’un de l’autre. Il est beau, intelligent, grand, sportif, drôle et très sympa… que de qualités ! Mais surtout, c’est un très bon amant, me faisant découvrir de merveilleux plaisirs, et notamment l’incroyable jouissance que peut me procurer la sodomie. Au début de notre rencontre, j’étais plutôt passive et je prenais déjà beaucoup mon pied, mais je me suis rendue compte que le fait d’être un peu plus provocatrice m’excitait beaucoup.
Un jour, alors que nous étions en 69, j’eus envie de tenter une nouvelle expérience. J’ai glissé mon doigt dans ma bouche pour l’humecter de salive et je l’ai rentré dans son petit trou, tout en reprenant ma fellation. Très rapidement, il explosait dans ma bouche en longues giclées. Ayant réalisé qu’il appréciait l’anal autant que moi, j’ai pensé qu’il faudrait un jour inverser les rôles…
Un samedi soir, après un bain à deux qui nous a bien excités, je le pousse sur le lit en lui disant : « Pour une fois, c’est moi qui dirige la séance, et tu auras une jolie surprise ! ». Je quitte la chambre pour mettre des bas noirs, un porte-jarretelles ultra sexy et de jolis escarpins.
Revenue dans la chambre avec un tube de lubrifiant caché dans la main, je lui demande de se mettre à quatre pattes et lui menotte les mains dans le dos. Il a la tête dans l’oreiller et le cul en l’air, bien offert. D’une voix que je veux sadique, je lui glisse : « maintenant, tu es en mon pouvoir, et tu vas endurer tout ce que tu as l’habitude de me faire subir. » Alors que je suis derrière lui, je commence à faire passer sa belle queue entre ses jambes, pour la faire passer avidement dans ma bouche. Après l’avoir délicieusement pompé, je tiens fermement sa bite dans ma main et m’occupe de ses fesses. Je les caresse, les embrasse, leur donne quelques claques, les mordilles, les lèche. Jérémy, très réceptif, tressaute et frémit. Progressivement, ma langue approche de son sillon.
Mon homme se cambre encore davantage et écarte les jambes. J’abandonne alors son gros dard pour écarter ses globes à deux mains avant d’y plonger mon visage, et titille le tour de sa rondelle avec ma langue. À peine ai-je commencé qu’il se met à gémir. Je lèche son petit trou avec délectation, fais couler ma salive et tente de le pénétrer avec ma langue en pointe. Mais l’accès est bien défendu. Aussi, j’enduis mon doigt de gel et, lentement, l’enfonce dans son anus. Je sens que mon amour est super excité et qu’il prend du plaisir. Je reprends ma fellation et, quand mon doigt est bien au fond de lui, je commence un lent mouvement de va-et-vient en introduisant un deuxième doigt, m’amusant à faire claquer le reste de ma main sur ses fesses. Bientôt, Jérémy est prêt pour la « surprise ». Ayant peur qu’il s’ankylose, je lui retire les menottes et m’éclipse dans la pièce d’à côté, tout en lui ordonnant de ne pas bouger. J’enfile alors un gode ceinture spécial anal, que j’ai commandé sur Internet, puis revient dans la chambre où mon amant m’attend, tranquillement allongé sur le dos. Debout sur le lit, jambes légèrement écartées, je lui demande « comment me trouves-tu mon chéri ? »
S’il a d’abord du mal à cacher son étonnement, il me répond « Waouh !… Eh bien… c’est assez surprenant… t’es vraiment une ravissante petite salope ! » J’enduis mon gode de lubrifiant et, tout en riant, je me mets à le branler comme si j’étais un mec. Je m’agenouille entre les jambes de Jérémy, lui glisse un oreiller sous les fesses et fait rentrer progressivement l’engin dans son cul. Quand il est bien au fond, je m’active doucement tout en branlant sa queue dure comme du béton. Le regardant droit dans les yeux, je lui dis : « Je te sodomise mon chéri, t’aime ça ? » Il me répond que oui et m’incite à continuer. Je m’approche et lui murmure : « Tu sais que ça m’excite beaucoup de t’enculer… je mouille de plus en plus. »
Nos lèvres se rencontrent, nos langues se caressent, je l’embrasse fougueusement et lui susurre à l’oreille : « J’ai mis ma langue dans ta bouche et je te prends le cul avec un gode… Tu m’excites trop… Je suis trempée… Je t’aime mon chéri ! – Moi aussi je t’aime, me répond-il. Tu es une adorable petite enculeuse ». Jérémy est aux anges. Je relève ses jambes, les maintiens par ses chevilles bien écartées et j’accélère le rythme. Je me souviens du plaisir que je prends quand mon chéri me baise avec vigueur et je ne veux pas qu’il jouisse trop vite. Alors, je me retire et lui demande de se remettre à quatre pattes.
Je le caresse tendrement pour faire baisser la tension puis je me place derrière lui et positionne à nouveau le gode entre ses fesses. Tandis que je l’enfonce bien au fond, Jérémy pousse un petit cri de plaisir. J’agrippe alors fermement ses hanches et me mets à le tringler de plus en plus vite. Je suis surexcitée, je me sens vraiment dominatrice et je remercie mentalement mon homme de me donner ce plaisir que si peu d’amants sont capables de donner à leur femme. Pour asseoir encore plus cette sensation de pouvoir, je me dresse sur mes jambes en appuyant mes mains sur son dos.
Je retire entièrement le gode de ses fesses et le rentre doucement, pour que mon amour sente bien la longueur du sexe qui le sodomise, le retire à nouveau puis l’enfonce d’un seul coup bien au fond de son cul. À chaque coup de boutoir, il pousse des « mmmh ! » de plaisir. La base du gode claque sur ma chatte et mon clito et je sens la jouissance m’envahir peu à peu. Je décide alors de donner le coup de grâce. Je me penche pour frotter mes tétons durs comme du bois sur son dos, puis plaque mes gros seins contre lui en approchant ma bouche pour le mordre et l’embrasser dans le cou. Tout en lui tringlant le cul, je prends son chibre en main et le branle de plus en plus rapidement. Pour couronner le tout, je murmure à son oreille : « Tu la sens bien ma queue dans ton anus ? Je te baise bien le cul ? Tu sais que je vais jouir tellement, ça m’excite de te prendre les fesses ? Dorénavant, je te sodomiserai au moins une fois par mois ! » C’en est trop : mon mec se tend comme un arc, est secoué de spasmes et son membre gicle une belle quantité de sperme dans ma main et sur le lit. Après nous être reposés dans les bras l’un de l’autre, je reprends mon amant dans ma bouche pour le réveiller. Lorsqu’il est bien dur, je me positionne de manière à ce qu’il ait une vue imprenable sur mes fesses. Je lui tends le tube de lubrifiant et, tout en écartant mes deux globes, lui dit d’une voix suppliante : « S’il te plaît mon amour, encule-moi ! »
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« Mon doigt a bougé doucement entre ses lèvres et je pouvais facilement l’introduire dans sa fente. À cet instant-là, Élodie a gémi légèrement et j’ai constaté qu’elle mordait ses lèvres pulpeuses. Après plusieurs minutes de ce doux massage, j’ai eu l’idée de goûter sa mouille abondante. Mais au lieu de lécher mon doigt, j’ai décidé de prendre un gros grain de raisin dans ma main et de l’introduire dans cette chatte qui me donnait envie. » René, 45 ans.
« Je me suis foutue à poil et je me suis exécutée. Il a pris quelques photos puis, sans lâcher son appareil, il s’est agenouillé sur le lit. Il m’a bien humé le cul qui dégageait une odeur corsée… Je n’avais pas eu le temps de me rafraîchir dans la journée ! J’avais chaud, et je sentais ma petite chatte suintante de mouille. J’ai dit à Yvan : « Lèche-moi bien le cul, puis sodomise-moi, ce soir j’en ai envie. » Maya, 33 ans.