Une rencontre pleine de sensations fortes
9 décembre 2021Lucie a profité du confinement, passé en solitaire dans sa petite chambre d’étudiante, pour s’amuser en ligne avec Édouard, étudiant lui aussi. Enfin, le retour à la vie “normale” aidant, le virtuel va laisser place au réel pour une rencontre pleine de sensations fortes.
Ce confinement a été un enfer ! Je pense que beaucoup d’étudiants et d’étudiantes se sont retrouvés dans mon cas, à devoir jongler entre les cours en distanciel et la drague virtuelle. Moi, j’ai commencé à avoir des échanges très chaud avec un certain Édouard, de ma promo.
Quand nous apparaissions en ligne les premiers jours, et que je découvrais le visage de tous mes petits camarades de classe, c’est sur lui que j’ai flashé, immédiatement. On a ouvert une conversation privée et on s’est presque tout raconté par écrit : nos expériences sexuelles passées (j’en avais très peu, lui un peu plus), nos fantasmes, nos limites… Nous avions très envie de nous voir et dès que les contraintes sanitaires se sont assouplies, il est venu me rejoindre dans ma chambre d’étudiante. Il nous tardait de rattraper le temps perdu !
À l’instant où je l’ai vu je me suis dit « Ouah, il est encore plus beau en vrai » et, ne sachant pas trop quoi faire, je suis tout de suite allée l’embrasser.
Un vrai baiser, passionné, avec la langue.
C’était formidable de pouvoir le toucher enfin, en vrai, j’avais tellement fantasmé sur lui, c’en était indécent. J’avais tout imaginé de lui, sauf son parfum, que je découvrais puissant et boisé.
Un vrai parfum de mec mature, j’ai adoré.
Il a retiré très vite mon petit haut et je me suis laissé faire. J’avais peur de ne pas être à la hauteur de ses espérances, c’est la première fois qu’il me voyait nue, mais vu ses petits yeux pétillants, j’avais fait mouche ! J
’étais tout à fait son type, manifestement. Tendrement, il a commencé par lécher tout doucement mes petits tétons qui se sont durcis au contact de son souffle.
Ça me faisait des petits guilis, et c’était super excitant de le regarder faire avec tant d’application.
Il s’est ensuite attaqué à mes seins avec sa langue, ratissant le plus large possible pour englober mes gros globes en faisant de grands tours. J’avais la poitrine complètement humide, et paradoxalement, complètement en feu. Je ne savais pas que j’étais si sensible des seins, Édouard maniait la cartographie de mon corps comme un véritable explorateur niveau expert.
Il m’a soufflé à l’oreille « Tu as une poitrine formidable, Lucie. Puis-je te voir nue ? Je suis sûr que le reste est incroyable également… » Oh là là ! J’avais connu un amant auparavant, qui n’aimait pas mes cuisses « qui ressemblaient à des cure-dents » et j’avais très peur qu’Édouard ne s’enfuie en découvrant mes deux petites baguettes. Il s’est agenouillé devant moi et a retiré mes jolis petits souliers vernis et ma jupe plissée, en me laissant mes longues chaussettes blanches.
Il serrait contre lui mes jambes, comme un animal de compagnie qui vient se frotter à vous. J’avais l’impression d’être une petite poupée de porcelaine que l’on prenait soin de déshabiller avant de jouer avec. Et j’adorais ça.
Une fois nue, il n’a pas pris la poudre d’escampette, bien au contraire ! Il s’est mis au niveau de ma chatte et n’a pas tari d’éloge à son sujet : « Oh elle est magnifique ! Je n’en ai jamais vu de si belle ! Je peux la lécher ? »
C’est la première fois qu’un homme me proposait un cunnilingus, et j’étais trop curieuse pour pouvoir lui dire non ! Édouard s’est déshabillé intégralement (tout en cachant son sexe, par pudeur, sûrement) a ramené son nez au niveau de ma fente, et l’a effleurée du bout de ses doigts.
En prévision de ce moment torride, je m’étais bien rasée le minou au préalable (j’avais lu que c’était un impératif dans un magazine féminin !). Bien m’en a pris car au premier contact de ses doigts, j’ai senti ma peau avoir la chair de poule.
Il ne m’avait pas encore vraiment touchée que tous mes sens étaient déjà en éveil et que je sentais mon clitoris, brûlant.
Petit à petit, il s’est frayé un chemin vers mon clitoris et m’a léchée, dans de grands lapements bien appuyés, ça m’a fait un bien fou ! Sa langue se promenait partout : sur mes grandes lèvres, dans les parties les plus rosées, près de ma petite cave, et surtout, sur mon bouton érigé. Il a même fait quelques tours du côté de mes cuisses, à l’intérieur, là où la peau est plus fine.
Je me caressais les seins en même temps, de plaisir. Je commençais à comprendre que mon clito et ma poitrine étaient connectés l’un à l’autre, et tout naturellement, je les stimulais en même temps. Édouard s’en est aperçu et m’a demandé, très gentiment, s’il pouvait glisser sa bite entre mes seins.
J’allais enfin faire plus ample connaissance avec le membre de Monsieur. Il m’a présenté son entrejambe, et voilà qu’une bonne queue, bien grosse et bien longue, assez foncée me faisait maintenant face. Je ne l’aurai pas imaginé aussi bien monté, c’était une belle surprise, bien qu’un peu angoissante, également.
Édouard s’est donc placé sur mon buste et m’a montré comment comprimer mes deux petits seins sur sa bite : aucun doute, il était vraiment bien plus expérimenté que moi.
Je me laissais faire en caressant et appuyant mes seins sur sa magnifique queue au rythme de son bassin et de ses va-et-vient. Je voyais son gland, rouge vif, s’approcher de mon nez puis disparaître, englouti par mes deux petits monts laiteux.
C’était une pratique absolument fabuleuse. J’ai appris, plus tard, en faisant une recherche sur internet, qu’on l’appelait “la branlette espagnole”. Je connais très mal la culture hispanique, mais force est de constater que je me débrouillais très bien à ce petit jeu.
Édouard m’a ensuite demandé si on pouvait aller plus loin. Il savait que je n’étais plus vierge ; je m’étais fait dépuceler par mon précédent copain, celui qui trouvait que j’avais des jambes coton-tige. Mais il semblait sentir également que j’avais quelques appréhensions. J’avais besoin d’être manipulée avec beaucoup de douceur. Il m’a alors pris dans ses bras, et m’a serré très fort, contre lui.
Tout en continuant à me câliner, il s’est allongé derrière moi, et je l’ai senti frotter son gland contre ma petite cavité. J’avais envie de lui hurler qu’il pouvait y aller, « bien fort », mais il a pris son temps et m’a pénétrée très tendrement, en cuillère. Il me murmurait de jolis mots doux à l’oreille « Qu’est-ce que tu es belle Lucie ! Je n’ai jamais fait l’amour à une femme aussi éblouissante. Merci de m’autoriser à venir en toi… » C’est fou à quel point ces mots ont eu un effet de dingue sur ma lubrification.
Plus sa voix se faisait suave, plus mon sexe s’ouvrait, comme une fleur un matin de rosée.
Et c’est à ce moment que j’ai découvert que mes oreilles étaient directement connectées à mon sexe. Décidemment, cet homme savait appuyer habilement sur les bons boutons pour m’enflammer et m’éveiller au sexe.
À cet instant, j’ai regretté de ne pas l’avoir connu plus tôt ; il était bien plus débrouillard que mon abruti d’ex. Nous avons essayé d’autres positions, pour voir si je me sentais mieux, je me suis mise à quatre pattes, un peu au-dessus de lui et en missionnaire. Ma position préférée ? Au-dessus de lui !
C’est moi qui contrôlais tout et je m’appliquais à faire quelques délicieux basculements, mon clito a joué au silex contre son pubis, et je me suis très vite embrasée.
Je crois même avoir ressenti un orgasme, mais je n’en suis pas sûre. Vous savez comme c’est fugace, ce genre de choses, ça m’a pris un peu par surprise et puis, tout d’un coup, j’ai eu envie qu’il se retire. Comme si j’avais fini. Je lui ai donc demandé de « sortir du trou », la bite encore bien rigide.
Le pauvre avait encore les couilles juteuses et m’a demandé comment je préférais qu’il se termine, lui aussi.
Tout naturellement, je lui ai présenté mes seins pour que Monsieur s’astique la bite au-dessus de moi. Par moments, je la prenais aussi en bouche pour le faire venir un peu plus vite. Pour tout vous avouer, je n’allais pas plus loin que le gland : sa bite était trop grosse pour rentrer dans ma bouche en entier, et quand bien même, j’avais peur de paraître gourde, je n’avais jamais vraiment sucé de bite, au sens noble du terme.
Je lui malaxais donc en même temps les couilles, en me disant que si j’appuyais dessus, peut-être que ça le ferait juter.
Je n’y suis pas allée trop fort et j’ai senti qu’Édouard aimait bien ça, il n’arrêtait pas de me dire : « Qu’est-ce que tu es belle, Lucie. Tes seins, ton visage, ton corps… qu’est-ce que c’est beau. Bordel ! Qu’est-ce que c’est beau. »
Soudain, de grands jets de sperme ont jailli de son sexe et sont arrivés direct sur ma poitrine.
Je l’ai regardé, l’air coquin, et très fière de l’avoir “terminé”. Nous nous sommes ensuite longuement câlinés et nous avons parlé de notre avenir ensemble.
Édouard est accro. Encore lové dans mes bras, il se projette dans une vie à deux, pour se voir tous les jours, et se découvrir, sexuellement.
Nous avons commencé à nous aimer à distance avant de nous aimer, réellement, en vrai. Et je trouve que c’est un très joli début…