Merci Patrick !
17 novembre 2022Raph, 40 ans, souhaite assister à une partouze pour son anniversaire. Ses copains lui organise ce spectacle coquin dans un hôtel de charme !
Mes amis m’ont demandé ce qui me ferait le plus plaisir pour mon anniversaire. J’ai répondu, mi-sérieux, mi-rigolard, que j’adorerais assister à une partouze. C’était mon plaisir voyeuriste qui s’exprimait. Pour mes 40 ans, mon désir était de voir de belles personnes copuler entre elles. C’était un cri du cœur. Ça, c’était un truc que je n’avais jamais eu l’occasion de vivre et une case que je voulais cocher au moins une fois dans ma vie. Surtout que j’étais fraîchement divorcé et que j’avais plus que jamais envie de m’amuser. Mon ami Patrick m’a dit qu’il avait deux copines bisexuelles, Elsa et Sandrine, qui justement adoraient coucher ensemble et laisser quelques hommes participer.
C’était comme un hobby du samedi soir, une fantaisie sexuelle qu’elles adoraient pratiquer. J’ai été bien entendu très intrigué par ces deux amies si libérées. Patrick a organisé une rencontre avec elles deux et elles étaient très amusantes ; le courant est passé tout de suite entre nous. Je me suis senti libre de partager mes fantasmes en leur disant que pour le moment, j’avais surtout un désir de voyeur et que j’avais envie de les voir en action tout en les prenant en photo, pour m’improviser caméraman de leur jouissance. Elles ont été emballées par mon approche car elles adoraient les sex tapes, elles les collectionnaient à vrai dire !
Elles m’ont ensuite présenté deux amants avec lesquels elles faisaient souvent l’amour, des valeurs sûres en termes d’ambiance caliente, selon elles. C’étaient deux quadras de bonne composition, en forme et très ouverts d’esprit. Mon ami Pierre participerait également, pour ajouter un gai luron aux festivités.
Partouze à l’hôtel
Rendez-vous fut donc pris dans une suite à l’hôtel de charme du coin, pour donner un peu de piment à l’aventure. J’étais tout excité à l’idée de ce que j’allais y voir, ce film X grandeur nature qui se déroulerait à quelques centimètres de moi. Sandrine, Elsa, et les trois quadras sont arrivés dans la suite. Je les ai accueillis. Il y avait de quoi s’étaler : grand canapé, grand lit, grands espaces. Tout le monde était fébrile et très stimulé par la situation. L’atmosphère était chargée d’une belle énergie sexuelle. Sandrine et Elsa n’ont pas attendu d’avoir fini leur verre pour se mettre à se tripoter.
Elsa a renversé Sandrine, qui avait gardé ses bas noirs et son corset bleu qui lui sublimaient la peau. Habituée à leurs deux corps dansant la danse de l’amour ensemble, celle-ci s’est laissé faire. Elsa a entrepris de la faire mouiller, jusqu’à tremper tout ce qu’elle touchait. Elle l’a doigtée, caressée, léchée, sous le regard attentif des hommes. Sandrine était si excitée qu’Elsa a pu enfoncer en elle plusieurs doigts et jusqu’à sa main entière, qui était assez fine pour entrer dans son vagin. Elles avaient commencé par ce geste assez spectaculaire, rendu possible par l’excitation extrême de la receveuse. Les hommes se sont approchés pour regarder de plus près et se positionner autour d’elles, leurs corps désormais dénudés montrant tous les signes de leur appétit pour ces deux amantes dévergondées. L’un s’est posté au-dessus du visage de Sandrine qui était allongée sur le canapé, en train d’être pénétrée par sa copine, et il s’est mis à lui baiser le visage, à faire coulisser sa bite bien dure dans sa bouche, qui était grande ouverte sous le plaisir saisissant qui la faisait miauler comme une chatte.
Un autre homme s’est collé contre Elsa pour lui caresser le cul et la doigter elle aussi. Les deux hommes autour d’elles tenaient les jambes de Sandrine bien écartées pour qu’elle reçoive les caresses d’Elsa et ils caressaient les deux femmes. Elsa a léché son amie, l’homme derrière elle lui a fait un anulingus en même temps, et Sandrine de son côté, suçait le mec qui était près d’elle. C’était captivant à regarder et j’ai braqué mon appareil photo sur chaque parcelle de leurs corps ainsi que sur leurs visages assoiffés de jouissance collective. J’ai fait des gros plans sur leurs parties génitales et puis sur le ballet de leurs corps tous ensemble. Mon ami Pierre les a rejoints et il a baisé Sandrine sur le canapé, en missionnaire, les jambes de son amante ornées de talons aiguilles relevées de part et d’autre de sa tête. Elsa, elle, était debout contre un accoudoir et se faisait enfiler par-derrière par le mec qui était contre elle. Elle semblait bien se moquer de qui il s’agissait, tant qu’elle se prenait une bite bien dure dans le con. Les filles en redemandaient, c’étaient elles les décideuses des vices qui avaient cours. Pendant qu’elles se faisaient toutes deux baiser, le troisième partouzeur s’est approché de Sandrine pour se faire sucer à son tour. Chaque homme avait une bouche ou un sexe pour épancher son désir, et les filles les prenaient en elles avec force.
Puis Elsa s’est assise sur le visage de son amie en face-sitting. Sandrine adorait ça et elle la léchait par en-dessous pendant que les autres hommes léchaient les seins d’Elsa et lui caressaient le clito. Elsa a joui. Il fallait maintenant donner son plaisir à Sandrine. Le groupe fut déplacé dans la chambre, où Sandrine a sucé Pierre tandis qu’elle se faisait enfiler à quatre pattes par un autre mec. C’était une apothéose de stimulations pour elle et j’ai filmé son visage quand elle a joui, la transfiguration de ses traits, moment sublime qui fut le plus beau des cadeaux d’anniversaire.
A lire aussi :
La petite partouze dans la prairie