« Je vous prête ma femme ! »
14 septembre 2023Aurélien a toujours souhaité voir sa femme s’offrir à d’autres hommes. Puisqu’au mois de mai, on fait ce qu’il nous plaît, Irina, sa charmante épouse a pris le dicton au pied de la lettre. C’est ce moment immortalisé sur pellicule qu’Aurélien nous partage.
Aurélien avait insisté. Il lui avait fait lire le témoignage sur les joies du pluralisme masculin, et avait juré ses grands Dieux que rien ne l’exciterait plus que de voir Irina baiser avec un autre homme.
Et elle avait craqué. Il ne restait plus qu’à le trouver. Le petit chanceux fut un voisin professionnel de la belle aux cheveux blond vénitien. Le mari candauliste savait qu’elle avait flashé sur ce dentiste occupant le cabinet mitoyen du sien. Samuel avait tout pour plaire et faisait une cour intensive à Irina.
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Aurélien organisa la rencontre qui se déroula au domicile du couple, la mise en scène était simple, Samuel et son hôte attendraient qu’Irina fasse son apparition dans la tenue de son choix.
Ils ne furent pas déçus, vêtue d’une robe rouge et de hauts talons compensés, elle les toisa et aussitôt les mains masculines vinrent ausculter ce corps tant rêvé, soulevant les pans écarlates.
Bas noirs, porte-jarretelles et string corail, Irina exhalait déjà les parfums si caractéristiques du désir féminin.
Aurélien connaissait ses fragrances intimes par cœur, pas de doute, elle avait envie de sexe. Du reste, elle ne fut pas longue à extraire les queues de ces messieurs de leurs pantalons. Tandis qu’elle commençait à branler son époux d’une main, elle sentit les doigts du beau dentiste lui pétrir les fesses.
Aurélien percevait que la pression de la paume de sa femme sur son pieu était plus intense que d’habitude, l’émotion d’avoir un autre homme que lui touchant son corps amorçait, il le comprenait fort bien, un certain effet.
La robe envolée, le trio s’allongea sur l’immense sofa en cuir blanc, les choses sérieuses pouvaient débuter. Aurélien, dans son rôle d’invitant attentif à la satisfaction de Samuel, lui laissa la première pénétration tandis qu’il donnait son gros chibre aux jeux buccaux de sa moitié.
Irina prenait un plaisir tout particulier à pratiquer la fellation, et même si l’engin de son mari était de bonne taille, elle le suçait avec délectation, parcourant sa grande hampe de coups de langue irrésistibles et gobant le gland avec une gourmandise insatiable.
Sentir les lèvres de sa compagne se déformer autour de son sexe, emportait toujours Aurélien très loin, à la limite du délice.
Cette fois, les sensations étaient décuplées par la vision de Samuel s’approchant du sexe de sa femme. Ce dernier s’était d’abord appliqué à déguster le bel abricot tout lisse d’Irina. Une cuisse sur son épaule, il s’était agenouillé pour admirer la fente délicate, cette cicatrice rose et discrète qui cachait un gouffre des plus soyeux et qui perlait déjà d’envie. En se contorsionnant, Aurélien pouvait deviner les mouvements de tête entre les jambes écartées de sa femme.
La turlute qu’elle lui donnait en même temps était onctueuse, très sensuelle, elle lapait les couilles tout en avalant son gros mât au plus profond de sa gorge et gémissait, profitant d’un cunnilingus qui la laissait tout sauf indifférente. Si peu indifférente qu’elle dû abandonner son ouvrage de tailleuse de pipe, le plaisir l’emporta une première fois. Ce diable de dentiste était doué et de ses doigts et de sa langue, il ne lui avait fallu que quelques minutes pour faire chavirer Irina. Aurélien était impressionné par tant de dextérité, mais voulait plus, il souhaitait voir son épouse pénétrée, véritablement possédée par une autre bite que la sienne.
Son vœu fut exaucé alors que la gâterie recommençait, Irina ayant repris son souffle après son premier orgasme, il sentit les premières secousses typiques d’une bonne baise dans les règles de l’art. Samuel, en cuillère, était parti à l’assaut de la chatte offerte dans des ondulations de bassins saccadées et vives ; d’abord sans pousser sa pénétration jusqu’au bout, le fameux “shallowing”, cette intrusion juste à l entré de la cavité vaginale, lente et suavement sonore, avec ses bruits mouillés, pour s’aventurer dans de très amples mouvements de cames qui faisaient claquer le cul diaphane d’une Irina à l’agonie.
Ses petits seins en poires se déformèrent bientôt et apparurent au regard de son époux. Visiblement son amant avait gagné en assurance et venait de l’inciter à s’installer en levrette. Ce qu’Aurélien ignorait et qu’il allait découvrir avec autant de fierté que d’excitation, c’est que sa reine avait donné un sésame secret à son baiseur, un « Tu peux me faire ce que tu veux, me prendre par où tu veux. Fais-moi ce que tu aimes », chuchoté à l’oreille.
Dans sa posture de “sucé”, il avait perçu les gémissements de bonheur et les paroles crues échangées, mais n’avait encore rien vu réellement, or cette session existait avant tout pour qu’Irina jouisse sous deux queues bien sûr, mais également afin qu’il puisse se régaler visuellement, qu’il puisse l’admirer prise sous le joug du désir et par une bonne bite bien bandée !
Enfin, son vœu se réalisait pleinement, à quatre pattes, sa compagne, non seulement, ne lâchait pas sa sucette, mais il comprit à son mouvement de reins qu’elle cambra fortement, qu’elle était en train d’offrir son cul à Samuel. Elle si rétive à la sodomie…, cette journée entrait définitivement dans les annales !
Il ne put voir la légère grimace de douleur lorsque le gland força l’anneau délicat, un filet de salive améliora la lubrification naturelle recueillie à la source de sa chatte, et la hampe imposante s’enfila sans problème au fond du rectum chaud et accueillant.
Samuel fut très doux au départ, coulissant lentement, apprivoisant le conduit serré, c’est son amante qui lui fit comprendre qu’il pouvait déchaîner les foudres de son sceptre et lui planter énergiquement dans le fondement en reculant les fesses pour aller à la rencontre du mâle bassin.
Attrapant ses hanches, il l’encula aussi fort qu’il put, bien campé, les deux pieds fermement ancrés au sol. Il lui décolla même les genoux du sofa à plusieurs reprises !
Elle ne put que cesser de piper son mari par intermittence tant les assauts la portaient vers le plaisir, elle lâcha la queue de son conjoint lorsque son second orgasme fit irruption.
Des picotements dans la rondelle, comme des chatouillements le long des nymphes, tout son con et son anus se contractèrent pour faire naître une vague puissante qui envahit tout son corps, elle renversa la tête en arrière et poussa un long mugissement de satisfaction.
De nouveau, les hommes accompagnèrent leur amante commune dans sa redescente, la saturant de baisers tendres et de douces caresses, elle avait les yeux brillant d’une fièvre toute dédiée au bonheur qu’elle ressentait à, finalement, se donner sans pudeur à ces deux mâles tout autant attentionnés qu’endurants.
Irina remit de l’ordre à sa chevelure, réajusta ses bas et son porte-jarretelles qui avait tourné puis se laissa glisser lentement sur le parquet, à genoux, les lèvres humides, elle attira les deux pénis en érection jusqu’à sa bouche luisante de gloss.
De son côté aussi, quelques fantasmes traînaient dans un recoin de sa libido, et avaler deux belles queues de concert était tout en haut de la liste. Du bout des doigts elle parcourait les cuisses de ces messieurs, agaçait le creux poplité de l’un, gratouillait l’aine de l’autre et alternait ses succions de gauche et de droite. Pas ambidextre, mais pas non plus gauche de la main droite, elle branlait une tige tout en engloutissant le gland “concurrent”, elle palpait un scrotum en léchant les couilles d’en face pour finir par gober les deux appétissants fruits roses et tendres en même temps.
Sensation garantie pour tous ! Irina goûtait les huiles salées des méats émus, appréciait les tressautements des chibres lorsqu’elle taquinait les freins. Aurélien sentait la présence et la pression d’un autre sexe masculin contre le sien pour la première fois de sa vie, et cela aussi l’excitait un maximum.
Il n’était pas au bout de ses surprises ! Après avoir longuement sucé ses baiseurs, embrassé leurs sucres d’orge, pourléché leurs belles couilles et s’être même aventurée à expérimenter leur petit trou à coups de langue timide, Irina leur réservait une dernière initiative qui allait les mettre tous deux d’accord : une double pénétration, en alternant, parité oblige, la cavité investie par chacun ! Les deux auraient donc le droit à son cône secret.
Samuel s’allongea sur leur couche de fortune, sa verge bandée à mort ressemblait à un paratonnerre attendant la foudre, en lieu et place, ce furent les fesses bien écartées d’Irina qui vinrent se poser en haut du monolithe.
Un peu comme une capsule s’arrime à la station spatiale internationale, la manœuvre fut lente, mais précise et le pieu se fixa pile au centre de la cible, les chairs déjà éprouvées s’ouvrirent sans difficulté, l’anus avala tout d’un coup le phallus jusqu’aux bourses.
Ne restait plus à Aurélien qu’à se faufiler entre les jambes et les pieds mêlés afin d’investir la chatte de son aimée.
La fente était délicieusement mouillée, la cyprine brillante coulait sur la queue sodomite de Samuel, il entra dans le moelleux de cet abricot si familier et perçu tout de suite la différence d’étroitesse des lieux ! La présence d’un second pénis dans le cul de sa belle, qu’il sentait à travers la fine et fragile cloison, rétrécissait le passage par devant, il était serré et commença à limer sa femme avec une détermination bestiale et amoureuse.
Le regard d’Irina n’était que flammes et passion, fichée sur le chibre brûlant de leur invité, elle se donnait entièrement, les cuisses largement écartées, elle n’avait d’yeux que pour son voyeur de mari. Celui-ci se régalait de tout, de ses sensations inédites sur sa bite allant et venant au voisinage de celle de Samuel, du corps délié, tout en courbes harmonieuses de son épouse, de la jouissance qu’elle concevait, elle aussi, d’être possédée ainsi par deux mâles affamés et excellents amants.
Puis Aurélien s’allongea à son tour, à plat dos sur le divan, il désirait sucer les seins adorés de sa douce qui glissa sa queue dans sa fente et, d’une main, écarta l’un de ses globes pour libérer le passage à la seconde verge qui cherchait l’accès à son trou du cul une fois de plus.
De nouveau doublement investie, Irina pressentit que l’épilogue de ce fol après-midi était proche, Samuel lâcha son premier jet dans le rectum bouillant, il sortit sa bite pour asperger les belles petites fesses de son sperme épais en criant son orgasme.
Sur un geste d’Aurélien qui voulait un final en apothéose, elle s’accroupit devant son mari pour recevoir son éjaculation puissante sur le visage.
Il se vida les couilles en râlant de satisfaction.
C’est ainsi maculée de partout qu’Irina ramassa sa robe et gagna la douche, laissant un Aurélien exsangue et ivre de bonheur tout comme Samuel, étonné et ravi de l’avoir enfin possédée.