Baisée à l’égyptienne

La rédaction 12 avril 2023

Kenza, 31 ans, une Egyptienne baisée par une énorme bite. La plus grosse qu’elle n’est jamais vue. Elle suce le gland avant de se faire enculer par cette queue énorme.

Je m’appelle Kenza et je suis une belle fleur d’Égypte. Comment en suis-je venue à écrire à interstron.ru ? C’est Pierre qui est responsable ! Je vous raconte mon histoire de sexe !

Le père célibataire

Je suis professeure de français dans un lycée français quelque part en Égypte. Pierre était le père célibataire d’un de mes élèves, il s’était installé pour une campagne de fouille et avait loué une immense villa avec piscine. Désirant absolument que son fils apprenne des rudiments d’arabe littéraire, il m’a demandé si je voulais bien donner des cours particuliers à son rejeton. Le job payait bien, j’ai dit oui de suite.

Il n’a pas fallu attendre la quatrième leçon pour qu’il m’invite à dîner un soir, j’étais lasse, j’ai accepté avec plaisir. Mon élève est rapidement monté se coucher, nous sommes restés tous les deux, le ciel limpide nous offrait un spectacle digne des mille et une nuits, il m’a proposé de me baigner, j’ai répondu que je n’avais pas de maillot, il m’a rétorqué qu’il n’en avait pas non plus et, le temps d’ôter chemisette et short, il plongeait nu dans le bassin.

La chatte égyptienne

Le clair de lune avait dû me jouer des tours, j’avais vu une troisième jambe lorsqu’il s’était jeté à l’eau. L’offre était alléchante. J’avais envie de me rafraîchir, Pierre avait été un hôte d’une gentillesse franche, je me suis déshabillée et je l’ai rejoint. Il a nagé vers moi et je me suis accroché à lui par les cuisses, le baiser qui a suivi était naturel, sensuel, beau.

J’ai commencé à frotter mes pointes de seins sur son torse, il bandait fort et j’ai perçu le volume du mastodonte qui lui servait de sexe ! Jamais je n’avais caressé, touché, vu, encore moins été prise par une telle bête ! J’ai glissé une main apeurée dans l’eau pour tâter l’hydre, c’était gigantesque dans ma petite paume. Pierre m’a saisie par les fesses, moi toujours collée à lui, nous sommes sortis de l’onde bleutée. Depuis je suis victime d’un carme, ce serpent de mer a pris possession de mon corps et de mon âme. Une divinité de l’ancienne Égypte m’a ensorcelée, cet obélisque, surmonté d’un pyramidion épais et tout doux, est devenu ma religion.

L’Egyptienne suce une queue énorme

Et lui, expert es-hiéroglyphes et es-sexe m’a tout fait accepter, jusqu’à, comme un Champollion démoniaque, la ficher dans ma petite rosette ! Jamais je n’aurais cru cela humainement possible ! À son tour, il a été mon formateur, m’expliquant comme je devais m’y prendre pour sucer un tel mastard ! Je le branle toujours beaucoup au début de chaque séance de plaisir, j’adore sentir le volume de sa verge grossir, grossir, jusqu’à atteindre sa taille optimale.

Son bout coule abondamment, là, soit je lèche sa liqueur salée, soit je m’en sers pour lubrifier son gros gland et son méat. Le plus simple ensuite pour le prendre en bouche et lui donner la fellation que je veux lui offrir, c’est de me glisser sous lui, la tête renversée. Lentement ma mâchoire accepte l’intrus, j’assouplis mes lèvres et millimètre par millimètre, son chibre gagne du terrain jusqu’à finir au fond de ma gorge.

La bite de l’homme célibataire

Pierre, pendant ce temps-là, a toujours le même rituel, il m’étire le bout des tétons pour les faire bander à mort, après il sort son portable et me photographie avec son bâton. Il adore sa bite ! Il raffole que je la lui suce ! Souvent je le fais éjaculer une première fois en le branlant ou en l’avalant loin. Il aime que je mange tout son foutre et j’avoue m’en délecter aussi.

Une fois la première “traite” effectuée, son engin perd un petit peu de sa superbe, c’est plus facile pour moi de m’empaler dessus. C’est toujours moi qui suis au-dessus pour le départ de la course, il
faut que mon vagin apprivoise cet alien, je sens que ça se distord en moi, mon ventre gargouille, tout prend sa place et le voilà au fond de ma chatte.

Le lubrifiant n’est pas de trop, mes nymphes sont au bord de la rupture tant il est gros en moi, je le sens bouger un peu, il donne des à-coups sanguins dans sa hampe. C’est systématique à cet instant, je mouille intensément, d’autant plus quand il fait rouler ma perle sous son pouce pendant ce temps ! Là, je sais que je peux me lâcher, je n’aurais pas mal. Je me laisse porter jusqu’à l’orgasme, jamais je n’ai joui comme ça avant Pierre.

Un cul égyptien

Il a su déchiffrer tous mes signes intimes. La suite est sans limite, on cède à toutes les fantaisies. Le plaisir assoupli mon anneau secret, il vient quasi toujours me laminer encore, mais en levrette, puis je sens ma chatte béante abandonnée par son phallus priapique, du gel coule sur mon petit trou, qu’il étale à l’aide de son gland.

Une tape sur les fesses, je dois me cambrer alors, je recule vers sa queue et le gros fruit rouge pénètre mon sanctuaire. Pierre me laisse inspirer plusieurs fois profondément et lorsque je lui prends les couilles dans la paume, c’est le signal, il peut m’enculer tant qu’il veut !

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