Une collègue bien coquine

La rédaction 5 avril 2023

Achille, 27 ans, accepte de nous raconter son histoire de sexe au bureau avec une collègue pendard qui avale son sperme jusqu’à la dernière goûte !

Je bosse dans une startup, open-space, liberté de création, on travaille beaucoup, mais dans une super ambiance. La honte quand Mathilde m’a demandé de lui prêter mon téléphone. Je lui ai tendu naturellement sans penser que l’écran en cours d’affichage était … mon pénis … à moitié dans la bouche d’une femme. J’ai voulu reprendre mon portable, mais Mathilde a slidé pour en voir plus et, à ma grande surprise, elle m’a souri. « Mais c’est que tu as une sacrée bonne queue mon salaud ! Je testerais bien aussi un de ces jours, ça te tente ? » L’opportunité était trop belle. Voici donc notre histoire de sexe !

Les lèvres douces de ma collègue

Mathilde est une femme très séduisante, extrêmement bien foutue, le soir même c’était plateau de sushis et sexe à gogo ! En vérité, on a mis les bouchées nipponnes au réfrigérateur et on a commencé à baiser dans la cuisine. Après tout, nous étions là pour ça ! Ma collègue m’a étonné, car, dès qu’on s’est embrassés, nos mains sous nos vêtements, elle m’a demandé si je voulais bien la photographier elle aussi, comme la fille qu’elle avait vue. J’ai sorti mon téléphone de ma poche, elle, ma queue de mon pantalon, la fête pouvait débuter ! Je bandais déjà bien dur lorsque Mathilde a posé ses lèvres sur mon gland. Elle s’est agenouillée sur le carrelage froid et, tout en me pompant avec de plus en plus d’entrain, s’est déshabillée pour bientôt m’apparaître dans son plus simple appareil.

J’ai fait voler ma veste et ma chemise puis nous sommes allés dans ma chambre, Mathilde marchait devant moi en roulant effrontément du cul, pas de doute, cette femme était vraiment balancée comme une pin-up ! Elle s’est jetée sur le lit, me faisant signe que je pouvais me faire plaisir à l’immortaliser et a commencé à adopter des poses de plus en plus chaudes. Elle se caressait la chatte, écartait ses fesses pour m’offrir son petit trou en cadeau, sur le dos ou carrément en levrette. J’ai sorti les préservatifs du tiroir de ma table de nuit et je l’ai rejointe, la pipe, abandonnée tantôt, a repris ses droits. Rares sont mes amantes qui arrivent à m’avaler en gorge profonde, pour Mathilde, visiblement, c’était une formalité.

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Ma bite au fond de la chatte

Elle n’a même pas voulu que je lui lèche le minou, elle a enfilé une capote sur ma bite et a avancé le bassin, face à moi, jusqu’à ce qu’elle se soit totalement empalée. Sa chatte était chaude et très serrée, elle mobilisait son périnée et ses muscles vaginaux pour amplifier son étreinte, son fourreau était un paradis. Je ne sais pas trop si c’est moi qui l’ai baisée ou si c’est elle qui m’a baisé moi ! Une tempête ! Elle a joui trois fois sans que j’aie à donner le moindre coup de reins, elle répétait que ma queue était bonne, que je lui faisais du bien, je me contentais de regarder et jouer au photographe. Enfin elle s’est un peu fatiguée et j’ai pu prendre les choses en main. J’ai attiré son corps au bord du lit, j’aime être debout pour baiser, j’ai plus de force dans mes va-et-vient et j’avais besoin de toute mon énergie face à ce démon insatiable. J’ai fini par lâcher mon portable, j’étais en sueur alors que Mathilde, elle, était fraîche comme une rose. J’ai toujours une pensée incongrue qui me traverse l’esprit pendant le sexe, là je me suis dit qu’il fallait que je me remette au sport !

Le cul bien mouillé de ma collègue

Mais le cul ouvert à quatre pattes de ma dragonne réclamait à nouveau mes mâles assauts. J’ai changé de capote et j’ai osé poser mon gland sur le cratère de son anus. Pas de cris d’orfraie en provenance de Mathilde, au contraire, j’ai reçu un encouragement sous forme d’un rauque « Oh oui, vas-y ! Encule-moi ! Encule-moi fort ! » Et elle s’est reculée d’un coup, se fourrant la moitié de ma longue bite dans son anneau. Cela m’a rendu fou, j’ai attrapé ses fesses à l’en griffer et je l’ai sodomisée comme un sauvage ! Le final a encore été une expérience inédite pour moi, après avoir joui une énième fois par l’anus, Mathilde s’est fait douceur et m’a caressé les couilles, j’ai repris mon souffle, attendu que mon rythme cardiaque redescende un peu et j’ai fini par éjaculer dans ma capote. Je me suis retiré et j’allais enlever le caoutchouc pour y faire un nœud, mais Mathilde m’a demandé de le lui donner et de m’allonger à ses côtés. Elle a attrapé le pochon visqueux et l’a essoré pour napper mon membre avec mon propre foutre puis elle s’est penchée et a lapé mon sperme jusqu’à la dernière trace. J’avais l’impression qu’elle dégustait un banana split. Désormais on baise ensemble le plus souvent possible, même dans les toilettes de la boîte. Nous ne sommes pas amoureux, mais pour le sexe, ça fonctionne !

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