Une cougar baisée par un jeune étudiant

La rédaction 14 avril 2023

Virginie, une femme mûre baisée en levrette par un jeune étudiant de 20 ans. La cougar en manque de sexe s’est fait limée par le petit jeune.

Avant de vous raconter mon histoire de sexe, je suis une femme de 45 ans et à cet âge-là, beaucoup d’hommes vous font sentir que vous ne les intéressez plus. Que vous êtes fanée et plus digne d’un intérêt sensuel ou sexuel. Je trouve cela extrêmement injuste et surtout, je ne veux pas baisser les bras face à ce constat effrayant. Ils ne savent pas ce qu’ils perdent ! Comme je suis une femme très à l’écoute de ses désirs et pleine de libido, j’ai décidé de ne pas me laisser abattre et de me trouver un lot de consolation chez les personnes qui, elles, ne boudent pas leur plaisir des femmes, quel que soit leur âge.

Les talents de la cougar

J’ai eu envie de me taper un bel et jeune éphèbe et ce, malgré mon mariage plutôt stable et fidèle. J’en avais juste assez de ne plus voir les hommes se retourner sur moi dans la rue, alors que je suis toujours une pin-up flamboyante qui n’a pas à rougir de ses atours. J’ai remarqué qu’il restait encore quelques mecs avec un semblant de liberté dans leurs goûts.

J’ai pour habitude de m’asseoir à une terrasse de café fréquentée par des étudiants dans l’après-midi. Le même groupe de jeunes gens y est souvent attablé et parmi eux, il y a ce garçon, toujours en t-shirt, le corps puissant et sec moulé dans le tissu, un regard rêveur sous des boucles brunes qui lui tombent sur les yeux.

Je l’ai remarqué, car je l’avais déjà surpris en train de me fixer. J’ai d’abord pensé qu’il m’avait prise pour une autre femme de sa connaissance, mais non, au fil des jours, j’ai vu qu’il me saluait et qu’il semblait avoir un intérêt sincère pour ma personne. Il serait idéal pour mes petites expérimentations, car je le trouvais beau à tomber.

La cougar dévoile son fantasme

Un jour, j’étais assise juste à côté d’eux et il est resté après le départ de ses amis, prétextant quelques révisions à faire. Il m’a invitée à me joindre à lui et m’a proposé un café. J’ai plutôt commandé deux coupes de champagne, car il était 18 heures et que je voulais fêter sa tentative audacieuse.

Je lui ai expliqué ma théorie, que les hommes ont des fantasmes de jeunettes et que moi, je comprends, car je les ai aussi pour de jeunes hommes et, plus que tout, je souhaite ardemment être désirée par eux pour me sentir vivante. J’avais été très cash, et il avait souri par-dessus sa coupe en écoutant mes élucubrations de femme qui jouait cartes sur table. « Je suis étonné que vous sentiez les hommes se détourner de vous, a-t-il dit, car vous êtes resplendissante. Et très désirable. »

Le jeune étudiant ne s’est pas fait prier

Il savait s’exprimer, en plus d’avoir un charmant minois ! De fil en aiguille, il m’a proposé de monter dans sa chambre d’étudiant pour me prouver que je méritais de ressentir tout le désir d’un homme pour moi. L’offre était charmante, et elle répondait exactement à mes souhaits les plus ardents. Je me suis empressée d’accepter et je l’ai suivi.

J’espérais juste qu’il ne serait pas trop inexpérimenté, mais en même temps, ce que je recherchais, c’était cette intensité du désir d’un jeune homme, cette folie du désir qui broie tout sur son passage, et aussi de savoir que me baiser lui ferait sa semaine, qu’il repenserait à moi, et que ce serait un événement dans cette journée si pleine de promesses. Une fois arrivée dans son modeste studio, il m’a embrassée passionnément contre le mur du couloir tout en tentant d’enlever son pantalon. J’ai senti cette puissance du désir dans ses gestes et dans son empressement, dans sa trique irrépressible.

La queue de l’étudiant

Entre deux caresses et baisers, nous avons atteint son lit et je me suis agenouillée à ses pieds pour me jeter sur cette queue impatiente. Son excitation était telle que je sentais son cœur battre dans son membre à mesure que je me faisais baiser la bouche. « Prends-moi en photo », ai-je ordonné. Je voulais qu’il garde une trace de moi, et je me sentais si désirée pour une fois que je voulais que ce moment soit enregistré.

J’ai ouvert la bouche et joué avec sa queue face à l’objectif. Je me suis bien amusée, car il semblait fasciné par mon aisance à me la jouer actrice X avec sa bite. Je me suis installée sur un fauteuil près du lit en sous-vêtements, sans me départir de mon attitude provocante. Je ne voulais pas qu’il me pénètre tout de suite. J’ai massé l’entrée de mon vagin pour l’humidifier, ainsi que ma rosette, à l’aide de mon autre main. Mes dix doigts s’affairaient à m’exciter, tandis que lui, captif, continuait à me prendre en photo, puis mes doigts se sont enfoncés en moi pour me préparer à sa future entrée dans mon jardin secret.

La cougar baisée en levrette

Je me suis couchée sur le lit, cul en arrière, mes trous stimulés offerts à tout ce qu’il voulait en faire. Il s’est jeté sur moi et m’a prise en levrette, sans oublier pour autant de prendre une photo de sa pénétration victorieuse.

Il m’a limée comme j’en rêvais, avec cette trique dure digne d’un étalon de 20 ans, avec la puissance de son désir dans ses mains qui m’agrippaient les hanches pour mieux me baiser. Hum, j’avais tant attendu ça ! Je me sentais enfin désirée à juste titre, absolument désirable. Je remercie cet éphèbe de m’avoir redonné le moral.

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