Je t’aime autant que j’aime te baiser !

La rédaction 12 mars 2023

Alexandre, 27 ans, vit au Pays basque, il nous raconte ses moments de sexe les plus coquins avec sa dulcinée qu’il adore baiser dans toutes les positions et dans chaque coin de la maison !

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Après m’avoir permis de prendre des photos de toi en petite tenue, tu as fini par accepter (et apprécier) que je capture ta nudité, ton intimité et que j’immortalise nos jeux sensuels. Et voilà qu’aujourd’hui, c’est à ton initiative que nous partageons notre histoire de sexe avec notre magazine préféré ! Alors, ma douce Charline, je ne voulais pas envoyer ces clichés sans te dire à quel point tu me foudroies. Lorsque je suis allongé sur le lit, te toisant à moitié nue et que tu retires ta culotte pour me rejoindre, la faisant rouler paresseusement sur tes cuisses, là, ton regard se fixe sur mon érection sous les draps.

Ta chair contre ma chair

Tu t’approches en ondulant des hanches, tu dodelines du popotin comme jamais et tu tires sur la couette pour vérifier où en est mon obélisque. Tes yeux brillent immédiatement, je sais comme tu aimes l’idée que tu me fais bander à mort. Et pour bander, je bande ! Ton rituel commence, tu t’agenouilles à mes pieds, tu te caresses, les seins, les hanches, la chatte, les pressions d’un body sautent, l’agrafe d’une brassière abdique, tu me montres des parcelles de toi. Jamais tout, tu entretiens l’excitation. Le dieu Priape t’attend, tu aimes ma queue autant que j’aime ta fente humide et ton pubis glabre. Tu souffles dessus pour provoquer des soubresauts, parfois tu la prends délicatement entre tes fines phalanges, tu la manipules pour la regarder sous tous les angles. Je suis fan de cette dévotion, ce rituel qui précède l’acte de chair en lui-même.

Tu te penches alors tel un officiant vers un autel païen, tu t’inclines devant mon monolithe sacré, en embrasses chaque centimètre carré, ce qui me fait bander davantage. Je sais que mon sexe est voué aux gémonies… ou au paradis, mais ta bouche est tellement chaude quand mon bout en franchit les lèvres. Tes fellations sont une ode à mon mât, ta façon d’enrouler ta langue autour de la couronne de mon gland me rend dingue ! Tu commences toujours par te concentrer sur ma belle turgescence, gobant juste ma grosse perle sensible, agaçant mon frein pour mieux me recalotter avant d’exhumer à nouveau la muqueuse fragile et de la recouvrir de ta salive onctueuse. Enfin tu entames ta pipe à proprement parler, ma queue disparaît dans ta gorge au fur et à mesure que tu élargis le passage par je ne sais quel miracle. Tu engloutis toute la longueur et joues avec ta langue encore et encore, je suis systématiquement à la limite de l’éjaculation quand tu décides de stopper cette douce torture.

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Le goût de ta chatte

Si tu ne viens pas me présenter ta chatte en t’accroupissant au-dessus de mon visage, je sais exactement ce que tu vas faire, d’une main assurée tu tires sur ton string pour dénuder ta fente et tu t’installes à califourchon sur moi, cul tourné vers moi, tu écartes les fesses afin de me régaler de mon spectacle préféré : ton abricot trempé et ton anus rose qui s’épanouit, rien que pour mon plaisir. Tu glisses ton sillon humide sur ma queue, je dois donner des pulsions pour redresser mon sexe et, dès que tu le sais à l’orée de ton fourreau, tu recules ton derrière, t’empalant d’un coup ! Cette sensation, mon amour !

Ton corps me rend dingue !

Tu te fonds sur moi, m’enserrant avec grâce et lubricité en même temps. Je sens les à-coups de ta main qui branle ton clitoris, tes doigts effleurent par la même mes bourses qui se nappent de ton élixir abondant. Tu accélères la cadence, ton cul devient vivant et se meut par sa seule volonté, ta main est en staccatos de plus en plus vifs sur ta perle, tu jouis. Je ne te vois pas, mais ton corps se balance en arrière et tu gémis crescendo, ton fourreau pulsant autour de ma queue toujours emprisonnée. Tes cuisses tremblent, il faut attendre que ce tsunami reflue, ta tête te tourne, tu t’écroules sur moi pour de longs baisers tout en caressant ma bite enduite de tes sécrétions intimes. Enfin, tu me donnes le choix des armes, soit jouir dans ton petit trou, me branler sur tes seins ou encore finir dans ta bouche et te regarder déguster mon sperme.

J’opte pour cette conclusion pour ce premier envoi, tes yeux fermés disent tout le plaisir que tu ressens lorsque mon foutre gicle en quantité et que ton palais déborde de ma semence chaude. Je sais que tu le savoures, que tu aimes ma crème. Puis tu avales tout, heureuse de m’avoir, encore une fois, fait monter au septième ciel. Merci ma douce Charline, pourvu que notre histoire dure encore longtemps. Mais pour l’heure, je bande d’avoir écrit ces lignes, je vais donc venir te rejoindre dans la salle de bain pour te baiser debout contre le meuble à double vasque !

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